dimanche 10 octobre 2010

LA PHOTO QUI TUE d'Anthony Horowitz


Parmi les neuf histoires de cet auteur anglais nous avons choisi celle qui donne le titre au livre pour la lire et l'analyser. À partir de là et grâce à "l'expérience accumulée" depuis l'année dernière en nouvelles à chute, nous avons fait un atelier d'écriture pour créer nos propres histoires et les publier.


Commentaire réalisé par Alicia Pereira Calvo-Villamañán (2º bachillerato).
Comme dans toutes les nouvelles à chute, l’auteur a l’intention de nous provoquer un choc. Il nous raconte une histoire qui nous provoque du suspense, et on imagine, quand on est en train de lire, des milliards de fins différentes. Un bon auteur se différencie parce que la fin qu’il choisit ne se trouve jamais entre celles qu’on imagine. La fin de cette histoire, comme nous expliquerons plus tard, était inattendue mais pas terrible.
Du début on nous introduit rapidement dans l ‘histoire : à Londres ,un garçon qui devait acheter un cadeau d’anniversaire pour son père va dans un marché aux puces . Le conflit commence quand il trouve un appareil photo, un objet de provenance mystérieuse qui provoque chez le garçon deux sentiments contradictoires ;d’un côté il ressent de la curiosité et veut l’ acheter, mais de l’autre il n’a pas de confiance à l’appareil. Il ne se méfie pas de sa provenance, mais de l’ appareil lui même. Avant la résolution de l’histoire, Matthew, le garçon, se sent désespéré parce qu’il découvre la vérité, il découvre la raison pour laquelle l’appareil photo tue et il ne sait pas si sa famille va être tuée ou non.
C’est quand nous arrivons à la fin que l’histoire m’a déçue. La fin est originale. Je ne l’avais pas imaginée et je pense que je ne l’aurais jamais fait, mais je ne l’ai pas aimée. Je la trouve facile. Facile pas avec la connotation de simple, mais si comme la manière de provoquer du choc de la manière la plus facile. Londres va disparaître. Les gens qui étaient à Londres vont le faire aussi. Mais ça a des conséquences pour tous, pas seulement pour Matthew. On pourrait dire que Matthew sera celui qui souffrira le moins avec la destruction de Londres, parce que sinon l’alternative serait la mort de sa famille. Et encore plus, seulement la partie de Londres qui a été photographiée va être détruite. Matthew et sa famille sont complètement sauvés !
Une autre chose que je n’ai pas aimé est l’absence de information des personnages. On ne sait rien d’eux. Je ne pourrais pas décrire Matthew, parce que tout ce que je sais de lui est qu’il a peur de perdre sa famille et qu’il a seulement commencé a se promener seul quand il avait quatorze ans.
L’appareil photo joue un rôle important dans l’histoire. Pas seulement parce qu’il tue, mais aussi par la pression qu’il exerce sur Matthew et parce que de cette manière on nous apprend en certaine mesure une morale. Nos actes ont des conséquences pour nous et pour ceux qui sont avec nous, et des conséquences aussi à long terme, pas seulement immédiates. Et parfois nos actes portent préjudice aussi à ceux que nous ne connaissons pas, tous ceux qui ne sont pas en temps et lieu.
J’adore les mythes urbains. Je les trouve inquiétants et très amusants. Je crois que la meilleure manière de connaitre une culture bien est si on connait ses peurs. La peur est crée pour ce qu’on ne comprend pas, pour nos croyances et pour notre histoire. La preuve de ça est qu’ il n’y a pas les mêmes mythes dans toutes les cultures. L’un de mes mythes préférés est le mythe d’après lequel si tu prends une photo d’un ange cet ange protège ceux qui sont photographiés avec lui et les guide au paradis. Un ange est une chose si sacrée, si spirituelle que si on pouvait en prendre une photo , l’appareil aurait une connaissance, une vie individuelle. Il porterait l’esprit de l’ange et ferait son travail. Le diable était un ange, et pour ça il aurait les mêmes pouvoirs.
En résumé, ce n’est pas la meilleure histoire qu’on a lue en classe, mais c’est une bonne histoire en général. C’est ce qu’on appelle une lecture rapide juste pour s’amuser quand on n’a rien d’autre chose à faire.

3 commentaires:

  1. L’état initial de cette histoire finit avec l’achat de l’appareil photo et quand Matthew l’offre à son père. Le conflit commence quand Christopher prend deux photos qui provoquent le chaos entre la famille quand le cerisier et Polonius meurent. Pour résoudre le mystère, Matthew décide de développer les photos de l’appareil, et quand il découvre que cet objet a été présent dans des rituels sataniques il veut sauver la vie de sa famille qui est en danger. Quand l’histoire finit le lecteur reste avec l’incertitude de connaître l’avenir de la cité de Londres… L’idée est bonne, le livre est amusant, et la manière comment ça se termine est complètement choquante. À lire surtout si vous avez moins de 16 ans.

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  2. L’état initial de cette histoire finit avec l’achat de l’appareil photo et quand Matthew l’offre à son père. Le conflit commence quand Christopher prend deux photos qui provoquent le chaos entre la famille quand le cerisier et Polonius meurent. Pour résoudre le mystère, Matthew décide de développer les photos de l’appareil, et quand il découvre que cet objet a été présent dans des rituels sataniques il veut sauver la vie de sa famille qui est en danger. Quand l’histoire finit le lecteur reste avec l’incertitude de connaître l’avenir de la cité de Londres… L’idée est bonne, le livre est amusant, et la manière comment ça se termine est complètement choquante. À lire surtout si vous avez moins de 16 ans.
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  3. LA PHOTO QUI TUE d'Anthony Horowitz
    Kouakou est un prénom akan (groupe de peuples du Ghana et de Côte d'Ivoire), devenu aussi nom de famille. Il s'applique à un garçon né le mercredi (le jeudi chez les Baoulé). Le prénom correspondant pour les filles est Ahou.

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