lundi 5 décembre 2011

ELLE S'APPELAIT SARAH



Nous venons d'analyser ce film en cours de français et nous voulons partager avec vous tout ce que nous avons repéré.

FICHE TECHNIQUE DU FILM
Titre : Elle s’appelait Sarah
Réalisation : Gilles Paquet-Brenner
Scénario : Serge Joncour et Gilles Paquet-Brenner
Date de sortie : 13 Octobre 2010
Durée : 111 minutes
Pays d’origine : France
Genre : Drame
Acteurs principaux : Kristin Scott Thomas : Julia Jarmond
Mélusine Mayance : Sarah Starzynski
Niels Arestrup : Jules Dufaure
Frédéric Pierrot : Bertrand Tezac

Synopsis: Elle s'appelait Sarah est un film réalisé par Gilles Paquet-Brenner d'après le roman de Tatiana Rosnay. Ce film est basé sur un fait historique réel qui s'est déroulé en 1942 à Paris : La rafle du Vel d'hiv. Ce film raconte l'histoire d'une journaliste Américaine qui emménage dans un appartement à Paris dans les années 2000.Cette journaliste est chargée d'écrire un article sur la rafle du Vel d'hiv, mais tout à coup elle s’intéresse par le destin d’une jeune fille qui s'appelait Sarah, et elle va peu à peu essayer de retrouver les traces de cette jeune fille. La relation qui lie Julia à Sarah c'est que l'appartement où elle vient d'emménager, appartenait à la famille de son mari. La famille de son mari à emménagé dans cet appartement en 1942 et Julia cherche à savoir qui habitait dans cet appartement avant que la famille de son mari s’y installe. Pour retrouver la trace de Sarah et de sa famille elle décide de se rendre au mémorial de la Shoah. C'est ainsi que Julia apprend qu'une famille de juifs vivant à Paris habitait dans l'appartement qu'elle occupe maintenant. Elle y retrouve aussi les deux parents qui ont été déportés et sont morts à Auschwitz mais elle ne retrouve nulle part la trace de leurs deux enfants Michel et Sarah. Puis c'est ainsi qu'elle mènera des recherches auprès de Michel et surtout de la petite Sarah, où la recherche de la vérité dévoilant d’un enjeu personnel dans un mystère familial.

Thème aborde : Le thème principal c’est la recherche de la vérité et les conséquences qu’elle apporte à nos vies : l’homme a l’espoir d’oublier son passé et commencer une nouvelle vie sans souffrance, mais c’est toujours impossible parce que la vérité persiste et elle fera son apparition un jour plus tard ou plus tôt. Nous devons l’accepter parce qu’elle fait partie de notre identité. Un exemple c’est la vie de Sarah, car elle a toujours essayé de cacher qu’elle était juive pour éviter la souffrance. Un autre thème abordé c’est comment un passé dur peut avoir de l’influence sur notre bonheur. Enfin on peut voir comment le destin fatal de la famille a influencé sur la profonde tristesse de Sarah.


ANALYSE DU SCÉNARIO

État initial : Au début du film on peut voir deux petits enfants qui jouent dans leur chambre. Tout à coup on écoute quelqu’un qui frappe à la porte : c’est un agent de la GESTAPO qui demande où sont les enfants et le père de la famille Strarzynski. Sarah décide de cacher son frère dans le placard et elle ferme la porte avec une clé. Ensuite,Sarah et ses parents seront conduits au Vel d’Hiv.
En parallèle, soixante ans plus tard, la vie de Sarah se croise avec celle d’une journaliste, Julia, laquelle est chargée d’écrire un article sur la rafle du Vel d’Hiv. à Paris.

Complications qui apparaissent et leurs conséquences : Quand Sarah et sa famille sont arrivés au Vel d’Hiv avec les autres juifs, une femme qui en sortira leur dit qu’ils vont y rester longtemps .Tout à coup Sarah se rappelle son frère fermé à clé au placard et elle lui demande si elle peut lui ouvrir la porte. Mais son père se méfiant d’elle, ne laisse pas que Sarah lui donne la clé. Effectivement ils voient comment la femme s’en va, et ils sont déportés au camp de Beaune-la-Rolande. Dans le camp la famille est séparée, mais pourtant Sarah réussit à s'enfuir avec une amie qu’elle a connue dans le camp et l’aide d’un officier qui a eu de la pitié pour elle. Ensuite elles arrivent chez les Dufaure et ils aident Sarah à retourner à Paris pour sauver son frère, mais son amie, qui était malade, finit par mourir. Quand ils sont arrivés dans l’appartement du Marais, Sarah rencontre son frère mort à l’intérieur du placard. Julia, la journaliste, qui est en train d' emménager dans l'appartement qui appartenait à la famille de son mari, découvre que là habitait la famille juive de Sarah . Julia va continuer ses recherches d'une manière de plus en plus personnelle et elle découvre qu’elle est enceinte .Son mari lui demande d'avorter, cependant elle réfuse et voyage à New York, la ville où elle a grandi, pour continuer à la recherche de Sarah.

Résolution : Julia découvre que Sarah a été élevée par la famille Dufaure et après elle s'est mariée à un Américan. Ensuite elle va à New York est elle trouve la famille du mari de Sarah. L’actuelle femme du mari de Sarah lui dit que Sarah est morte mais qu’elle a un fils qui habite en Italie. Alors, Julia va à la rencontre du fils de Sarah qui ne reçoit pas bien la nouvelle que sa mère était juive, parce qu’il ne veut pas accepter l’idée que tout sa vie a été un mensonge. Après cette rencontre il décide d’aller visiter son père qui lui donne une boîte contenant des souvenirs de sa mère quand elle était petite et qui démontrent qu’elle était juive. Il lui dit aussi que sa mère n’ai pas eu un accident et que la vérité c’est qu’elle s’est suicidée. Jules, blessé par la découverte de la vérité, se rend compte qu’il n’a jamais connu sa mère.

État final : Quelques années plus tard, Jules appelle Julia pour se rencontrer. Elle va avec sa fille, qui avait déjà deux ans, dans une caféteria au top d’un gratte-ciel, où Jules l’attendait à une table. Il reste content de la revoir, et ils parlent pendant toute la soirée. Soudain il regarde la fille de Julia et il se rend compte qu’elle s'appelait Sarah comme sa mère. Jules s’émeut, et le film termine avec l’image de la nouvelle petite Sarah en train de jouer.

COMENTAIRE CRITIQUE ET OPINION PERSONNELLE
À mon avis, je trouve très intéressant le thème de la rafle juive à Paris, lequel je ne connaissais pas auparavant. C’est très intéressant aussi l’alternance entre la période de la Seconde Guerre Mondiale et la période actuelle, la première vue avec le regard d’un enfant et la seconde avec les yeux d’un adulte qui regarde de l’extérieur. Normalement, les films où il y a deux vies qui se croisent sont un peu confus mais dans ce cas la couleur aide à bien les situer car la période plus ancienne présente une couleur plus jaunâtre.
Pour conclure, le thème sous-jacent plus important c’est la recherche de la vérité et l’impossibilité de la cacher même quand elle nous blesse. Comme dit l’éclairé Voltaire « On doit aimer la vérité et pardonner les erreurs ».

Ana Belén Gomes Paz. 2º Bachillerato A


COMMENTAIRE RÉALISÉ PAR MARTA MATOS, ÉLÈVE DE 2º BACHILLERATO A.

Ce film est basé dans un roman de Tatiana de Rosnay et réalisé par Gilles Paquet-Brenner en 2010.
La première image qu’on voit ce sont des enfants qui jouent, plus précisément il y a un gros plan d' une petite fille appelée Sarah. Nous trouvons un état initial où on nous présente la protagoniste Julia Jarmond, une journaliste américaine qui est mariée à un architecte français et qui habite avec lui et sa fille à Paris. L’appartement où ils vont emménager se trouve au Marais et appartenait à la famille de son mari donc il veut faire des travaux de restauration pour qu’ils vivent là. Julia décide de faire un article sur le Vel’ d’Hiv (Vélodrome d’Hiver), une arrestation massive des juifs qui avait lieu à Paris pendant la Seconde Guerre Mondiale. Pendant qu’ils commencent à s’y installer, Julia commence à découvrir des pistes jusqu'à ce qu'elle découvre que dans cet appartement-là vivait une famille des juifs autrefois. Elle s'interésse à cet évènement et commence à enquêter plus en profondeur . Elle rapidement découvre une histoire qui va l'accompagner en parallèle pendant le reste du film, l’histoire de Sarah.

Sarah était une petite fille juive qui habitait au Marais en 1942 et qu’un jour a été arrêtée avec ses parents. Mais, avant son arrestation, elle cachait son petit frère dans un placard et gardait la clé avec elle pour pouvoir lui ouvrir la porte quand elle reviendrait à la maison. Malheureusement elle n’avait pas aucune idée où elle serait emmenée. Une fois qu’ils prennent conscience d’où ils sont (au Vel D'Hiv), ils perdent l’espoir de sauver l’enfant qui restait à la maison, les gendarmes les séparent et tout semble perdu.
Plus Julia s’interroge, plus elle découvre et plus elle se sent engagée avec l’histoire de cette fille. Elle veut chercher la vérité, chercher cette fille si elle est encore en vie et écouter son histoire racontée par elle-même, son expérience et sa survie.
Cependant, des choses se passent dans sa vie : elle découvre qu’elle est enceinte et elle reste très heureuse mais cet enthousiasme meurt quand son mari lui dit d’avorter avec l’excuse qu’elle n’est plus jeune pour avoir un enfant et que son style de vie ne permet pas un nouveau membre dans la famille. La relation entre Julia et Sarah commence a être évidente.
De nouvelles informations sont dévoilées par Julia. Sarah peut s’échapper avec une autre fille grâce à l’aide d’un policier et elle est accueillée par un couple qui avait perdu son fils, cette situation va faire qu’ils l’habillent avec des vêtements de garçon et comme ça elle pourra passer inaperçue pour la police car elle veut aller a son appartement pour libérer son petit frère.
Lorsqu'ils sont arrivés à l’appartement, beaucoup du temps avait déjà écoulé et une autre famille habitait là. Ils ouvrent le placard, et le petit garçon qui restait là silencieux, comme sa sœur lui avait dir pour le protéger, était mort.
Il arrive un moment où Julia est tellement engagée dans cette histoire que ses instincts ne la laissent pas avorter comme son mari veut, elle sent qu’elle ne peut pas mettre un point final à une vie quand elle a juste découvert que le petit fils de cette famille juive était mort si jeune.
Julia continue avec sa recherche et des pistes la font rencontrer celui qui avait été le mari de Sarah, celui-ci habitait à Manhattan. Il lui dit que Sarah s’était suicidée mais que son fils ne savait pas la vérité sur sa mère car elle n'avait jamais voulu qu'il la connaisse. Sarah croyait que s’il ne savait pas qu’elle était juive ça pourrait le protéger et l'éviter toute l’horreur quelle avait connue. Sachant cela Julia décide d’aller à Florence où le fils de Sarah se trouve pour lui raconter la vérité de sa mère. Au début, le fils de Sarah, déjà un homme, ne pouvait pas croire un mot de ce que Julia lui disait et lui demande de partir. Pourtant le fils de Sarah voyage aux États-Unis pour parler avec son père et il avoue tout.
À la fin, notre état final nous montre comment Julia habite à Manhattan avec sa fille et que son mari habite à Paris, ils semblent divorcés , ou aparemment il a déjà une autre femme (peut-être la raison réelle pour laquelle il ne voulait pas que Julia ait un autre enfant). Julia et le fils de Sarah se sont à nouveau rencontrés et ils semblent plus intimes, plus amis, ou peut-être plus que ça.
Soudain, une petite fille apparait, la nouvelle fille de Julia, celle qu'elle a appelé Sarah.

C’est un film plein d’émotions où on peut toujours se mettre dans la peau des personnages et sentir exactement tout ce qu’ils sentent. C’est aussi une histoire qui touche beaucoup nous montrant la souffrance que les juifs ont expérimentée, mais surtout, qui nous fait nous poser une question : est-ce qu’on veut toujours savoir la vérité ou est-ce qu’on vit mieux dans l’ignorance ?

COMMENTAIRE RÉALISÉ PAR INES BOUAZZA, ÉLÈVE DE 2º BACHILLERATO B

Elle s’appelait Sarah est l’histoire de deux jeunes femmes , Sarah ,
une jeune fille deportée au Vél d'Hiv en 1942 et de Julia Jarmond une
journaliste américaine qui fait une enquête sur la rafle du Vélodrome d'Hiver à Paris. Leurs vies se rejoignent et pendant tout le film on les voit en alternance. Les principaux thèmes abordés montrent comment le passé peut
mélanger le présent, car Sarah essaie toujours de fuire son passé
jusqu´à ce quelle se suicide. Un autre thème abordé est
limportance de la famille , puisque Sarah fuit du centre de
concentration principalement pour aller rejoindre son petit frère.

Le film se déroule entre les années 1942 et 2009, en alternance entre
le passé et le présent.
En 1942, à l'âge de 10 ans, Sarah Starzynski (Mélusine Mayance) ment aux
autorités françaises qui collaborent avec les Allemands que son frère Michel est à la maison oú elle l´avait enfermé dans un placard pour le cacher. Elle lui avait demandé de rester là à l'attente de son retour.Elle prit la clé avec elle lorsqu´ elle et ses parents furent transportés vers le Vélodrome d'Hiver par la Police de
Paris et les services secrets français où ils furent détenus dans des
conditions inhumaines.
Les déportés sont transférés à la Beaune-la-Rolande, le camp de détention de transit de déportation, oú ils sont gardés dans des conditions inssuportables avec une chaleur brûlante sans avoir suffisamment d'eau . Les hommes sont déportés les
premiers au camp d'extermination d'Auschwitz, suivis par les femmes.Quant aux enfants ,la police parisienne les garde après les avoir cruellement séparés de leurs mères.

Sarah tente de s'échapper avec une amie, Rachel dès qu'elle découvre un petit trou dans le sol .Sarah arrive à gagner la sympathie d´un gardien, et le supplie de les
laisser s´enfuir afin qu'elle puisse sauver son frère.Après une hésitation, il les laisse partir. Après une longue marche à la recherche d´un endroit sûr , Sarah et
Rachel, s'endorment dans l'étable d'une maison de village .Le lendemain,elles sont découvertes par les propriétaires,un couple de personnes âgées qui décident de
les aider. Rachel tombe très malade, alors ils appellent un médecin,un officier allemand,qui leur demande s'ils savent quelque chose au sujet d'une deuxième enfant et les avertit des conséquences désastreuses de cacher des Juifs,mais ne continue pas son enquête.Cependant Rachel meurt et son corps est caché. Quelques jours plus tard, Jules et Geneviève, le vieux couple , ramènent Sarah à son appartement de famille à Paris. Sarah court vers son appartement, frappe à la porte furieusement. Un garçon, âgé de douze ans, ouvre. Elle se précipite dans sa chambre et déverrouille l'armoire.Horrifiée,elle découvre son frère mort, et se met à hurler
d´horreur et de douleur.
Après la guerre, Sarah reste avec le vieux couple à la ferme, en compagnie de leurs deux petits-fils, qui la traitent comme leur propre sœur, jusqu'à ses 18 ans. Dans des lettres, le couple décrit la tristesse et la mélancolie de Sarah . A ses 18 ans, Sarah elle part aux Etats-Unis,avec l´espoir de fuire son passé et change de nom en
utilisant celui de la famille Dufaure avec qui elle avait vécu.Sarah se marie et a un fils, Guillaume.Elle arrête la correspondance avec le vieux couple.
Lorsque son fils a 9 ans, Sarah n´a plus le courage de supporter la mort de son frére ,dont elle se sent résponsable et se suicide en conduisant et en choquant contre un camion. Cependant son fils avait toujours cru que sa mort était dûe à un accident . Dans le présent, le mari de la journaliste française Julia (Kristin
Scott-Thomas) hérite l'appartement de ses grands-parents (son père âgé était le garçon qui avait ouvert la porte à Sarah, en août 1942).
Ayant déjà fait un article sur la rafle du Vel 'd'Hiv', Julia découvre que la famille de son mari avait acquiert l´appartement au moment de la rafle, et elle commence à enquêter sur ce qui était arrivé 65 ans plus tôt.Alors son beau-père , connaissant l'histoire et pour protéger sa mère âgée (qui avait été la femme du couple qui avait pris possession de l'appartement saisi) , trouve indiscrète Julia, mais il se rend compte qu'il devra lui raconter l'histoire . Alors Julia poursuit son enquête afin de trouver la moindre trace de Sarah,et decouvre à Brooklyn sa
mort et arrive à localiser son fils en Italie. Elle le rencontre et confirme à sa grande surprise qu´il ne connait pas l'histoire de sa mère, et même pas qu'elle était juive, il pensait seulement qu'elle était française. Il refuse de croire ce que lui raconte Julia et la rejette. Plus tard, son père mourant lui avoue le
secret de Sarah, et la raison de son suicide . Quant à Julia ,elle découvre qu'elle est enceinte, après avoir abandonné l'espoir d'un deuxième enfant malgré plusieurs tentatives.Mais son mari refuse d´ avoir un autre enfant . Il veut
lui faire subir un avortement, en disant qu'il est trop vieux, même qu'il chérit leur fille adolescente, Zoé. Elle hésite à se faire avorter, et conserve finalement l'enfant. Plus tard, elle divorce et s'installe à New York City,oú elle donne naissance à une fille.
Julia rencontre Guillaume dans un restaurant où il lui donne des informations supplémentaires sur sa mère. Julia était accompagnée de sa fille bébé.Guillaume pensait que le nom de la petite fille était Lucy, mais il se rend compte que Lucy est le nom de la girafe jouet, et que la petite s´appelle Sarah. Il en est très ému.

C´est une très belle et émouvante histoire qui prouve que dans la vie il y a beaucoup de hasard et que les destinées et les chemins se croisent.



ANALYSE DU FILM “ELLE S’APPELAIT SARAH”

                « Elle s’appelait Sarah » c’est un film réalisé par Gilles P aquet-Brenner en 2012. Ces acteurs et actrices principaux son Kristin Scott Thomas, Mélusine Myance , Frédéric Pierrot, entre beaucoup d’autres.
                Ce film nous raconte deux histoires apparemment déconnectés mais, en effet, une des histoires est le passé de l’autre.
                Le film commence avec deux enfants qui jouent dans un lit quand des hommes en uniforme entrent chez-eux pour les conduire où commence la déportation des Juifs en France durant la collaboration : le Vel’ d’Hiver. Pour protéger son frère, Sarah, l’une des deux enfants, le ferme dans un placard caché. A partir de ce moment-là commence l’histoire de cette fille. Parallèle à cette histoire, une journaliste américaine mariée à un architecte français qui est en train de faire un reportage sur le sujet du Vel’ d’Hiver, découvre des choses et elle rejoint toutes les pièces pour construire le puzzle que c’est la vie de cette fille. Tout ça commence parce que, la maison qu’elle et son marie vont habiter, qui était à son beau-père, a appartenu à une famille juive pendant la collaboration française avec les nazis et, curieusement, cette famille a été la famille de Sarah.
                Les deux histoires se développent avec des scènes terribles et  des grands traumatismes psychologiques chez Sarah qui l’a conduite  à la fin de l’’histoire et à une situation différente de la vie de la journaliste qui a eu une enfant avec laquelle se présente la dernière scène, la même qu’au début du film.
                La forme comment l’auteur nous raconte les deux histoires en parallèle est très bien structurée parce qu’il nous permet un développement constant des deux. Au même temps, il y a des aspects de la réalisation du film que marquent la séparation parfaite des deux situations. Un des ces aspects sont les couleurs du film, qui sont très obscures dans toute l’histoire de Sarah et moins obscures quand nous sommes au vingt et unième siècle. Mais, l’aspect que j’ai  pu le plus observer c’es la contraste sonore du film. Il y a un bruit presque assourdissant quand nous sommes dans la vie de Sarah jusqu’à ce qu’elle trouve la famille qui l’a accueillie, mais dans l’histoire de la journaliste on peut écouter un silence très calme et apaisé jusqu’au moment où elle change sa vie par les problèmes familiers. Je crois que le bruit a un rôle très important en montrait aux spectateurs l’état d’esprit des personnages et, dans ce cas, celui de Julia et Sarah. 
                J’ai bien aimé ce film, bien que ce soit très dramatique en raison de l’époque où nous étions. Toutes les productions littéraires, cinématographiques, musicales, etcétéra, qui se remontent à cette période de l’histoire ont une charge émotionnelle très forte et elles sont d’une dureté psychologique qui nous fait presque toujours les aimer. Je ne comprends pas pourquoi les êtres humains ont cet instinct mais, à mon avis, c’est bon parce que des choses comme celle-là ne devraient pas être un tabou parce que, bien que cela nous coûte beaucoup les croire, toutes ces choses-là  ont vraiment eu lieu et nous, les êtres humains ,nous sommes ceux qui les avons provoquées.
Ana Teresa Carrilho, 1º Bachillerato A




ELLE S’APPELAIT SARAH

Date de sortie: 13 octobre 2010
Durée: 1h 51 min
Réalisé par: Gilles Paquet-Brenner
Genre: Drame

Résumé du film:
Le film commence avec les petits enfants, Sarah et son frère, qui jouent dans leur chambre. Et tout de suite, la police arrive à la maison pour les conduire au Vél’ d’Hiv, et enfin  rentrer  en Allemagne.
Sarah cache son petit frère dans un placard, et garde la clé avec elle, et lui promiet qu’elle rentrera chez-eux pour le libérér. Enfin elle sort avec la police, sa mère et  son père, et partent tous ensemble au Vél’ d’Hiv.
Parallèlement, le film nous raconte aussi l’histoire de Julia, une journaliste américaine, qui vit à Paris avec son mari et sa fille.
Et une histoire  va se mettre dans l' autre, car Julia, pour son travail, doit faire un rapport, sur le soixantième anniversaire du Vél’ d’Hiv, et celui-là va lui permettre de connaitre l’histoire de Sarah.
Sarah, est une fille de 10 ans, qui a été capable de s’échapper avec une autre fille, du camp de concentration, et elle est capable de survivre et faire sa vie.
Elle est accueillie par un couple, et lui demande de rentrer chez-elle pour libérér son frère, mais quand elle arrive là, son frère est mort.
Maintenant, nous nous apercevons que Julia est enceinte, et que son  mari ne veut pas avoir le bébé et essaie de la convaincre d’avorter, mais elle ne veut pas.
Julia va découvrent des informations, et elle parle avec son gendre in law et découvre que la maison qu’il à habiter c’est la même maison que Sarah à vivre quelques années avant.
Sarah à la fin  va se suicider et Julia, va raconter toute l’histoire de Sarah à son fils, qui dans un premier moment ne la crots pas, mais qui , après avoir parlé avec son père sur ça et savoir que c’est la vérité, la recherche pour savoir plus. Le film termine avec Julia, disant que sa fille s’appelait Sarah.

Commentaire:
J’ai vraiment beaucoup aimé ce film. À mon avis, c’est un film très original et intéressant.
L’histoire est très frappante, et le moment qui  m'a  marqué le plus, à été probablement, quand Sarah rentre chez elle et regarde son petit frère mort.
Mais au même temps, en partie, je suis contente, car elle s'est sauvée, et n’est pas alleé au camp de concentration .
Son suicide à été une chose très triste, car je ne l’attendais pas, mais je comprends pourquoi l’auteur a choisi cette fin pour elle.
C’est sans aucun doute, un film que je recommande à tout le monde ! 

Raquel Boullosa. 1º Bachillerato B.




Commentaire du film « Elle s’appelait Sarah »

À mon avis ,ce film est vraiment exceptionnel car le réalisateur a été capable de nous montrer  l´histoire de deux vies qui changent radicalement à cause de leur passé.
D’autre part ,on montre un point très important de la II Guerre Mondiale que c’est l’invasion nazi de la France, quand les propres Français, vus par l’histoire comme les héros de la Guerre, ont été capables de faire des choses terribles les uns contre les autres.
C’est une partie de l’histoire qui était bien cachée par le gouvernement à cause de sa nature honteuse, mais c’est important d’informer et d’admettre les erreurs faites.

Beatriz Monteiro 1 BACH A


jeudi 17 novembre 2011

ÇA MARCHE 2




Les élèves de Quatrième B écrivent des poèmes « À la manière de Pierre Gamarra »

MON CARTABLE
Mon cartable sent mille fleurs
tous les jours sans fin,
les jeux dans la boue
et les lettres de la Saint Valentin.
Les baisers de ma grand-mère
et les après-midi avec toi
tous les bonbons que je préfère
et les canards qui disent: " Quack! Quack! "

Guilherme Oliveira


MA TROUSSE
Ma trousse a une odeur,
Ma trousse sent les peintures à l'huile,
Qui sont gardées avec mes pinceaux,
Et que j'ai utilisés pour dessiner des oiseaux.

Daniela Mederos Valdivia

MON JOLI BUREAU
Mon petit bureau
avec mille couleurs
plein de crayons et de stylos
il fait mon bonheur.

Joao Gomes de Araujo

MON CARTABLE

Mon cartable a deux odeurs,
Mon cartable sent la rose,
Le parfum du matin à sept heures,
Et ma chemise turquoise.

Inês Dias

MA TROUSSE

Ma trousse a mille couleurs,
Crayons marron et verts.
Ma trousse a mille odeurs,
Par exemple, elle sent la mer…

Inês Deira Afonso

mardi 15 novembre 2011

LE PORTABLE NOIR de JEAN MOLLA



Une fois analysé ce récit fantastique (Le portable noir) en classe, nous avons passé une épreuve écrite pour évaluer notre expression écrite niveau B1. Voilà les points à traiter dans notre épreuve et quelques examens réalisés par les élèves de Première.

SERS-TOI DES POINTS CI-DESSOUS POUR FAIRE TON ANALYSE:

. Résumé du récit fantastique
. Qui sont les trois personnages principaux?
. Relève la palette de sentiments et d'émotions des personnages
. En quoi la chute pourrait-elle être associée à celle d'autres nouvelles que tu as lues?
. De quoi parle l'auteur?
. Commentaire critique et opinion personnelle

Examen de l'élève Afonso Amado. 1º Bachillerato A

Alors que Pauline se promène aux bords de la Vonne elle se rend compte que sur le ponton il y a un téléphone portable qui est sur le point de tomber dans la mer. Bien que Pauline ait la sensation de l’avoir volé elle ne resiste pas à éprouver ce luxueux téléphone portable et pour voir si tout marchait bien elle appelle sa grand- mère, sa correspondante anglaise Louise et son amie française Camille. Pauline décide d’apporter le portable avec elle et rejoindre ses amis. Alex, sa meilleure amie et Sebastien, le garçon amoureux d’Alex et que pauline aimait aussi en sécret en refoulant sa jalousie et sentiment d’abandon. Ça marque l’état initial de la narration ,où Pauline prend le portable.
La première complication qui apparait c’est la mort de la grand-mère de Pauline et celles de ses amies qu’elle avait appelées avec le portable. Pauline découvre aussi que les noms de tous ceux qu’elle avait appelés sont enregistés dans la liste du portable et avant d’en tirer une conclusión elle décide d’appeler une personne au hasard du répertoire du portable pour découvrir que cette personne était morte aussi. Pauline essaie de penser que ça n’était plus qu’une terrible coïncidence et qu’il n’était pas logique de penser que le portable était le responsable mais ça c’etait vrai. C’était "lui" qui avait tué ses amies.
Dans la nouvelle situation Pauline comprend le pouvoir qu'a le portable de tuer les personnes qu’il appelle. Pauline devient très abattue et triste, inconsolable à cause de ce qu’elle avait fait, donc elle décide de détruire le portable.
Dans la seconde complication apparue,Pauline n’est pas capable de détruire le portable parce qu’il y a quelque chose qui ne la laisse pas le faire, donc elle le met dans le tiroir de son bureau.
Pauline essaie d’oublier ses amies mortes et le portable,pour continuer sa vie normale, mais la rivalité entre elle et Alex augmente à cause de Sebastien.
La troisième complication apparaît quand Sébastien décide de visiter en sécret Pauline. Alex dévient très fâchée ,et il y a une grande dispute entre les deux filles . Alors à un moment donné plein de rage froide, et poussée par la haine ,la colère et la jalousie accumulées ,Pauline décide d’appeler Alex.
La mort d’Alex ne touche pas Pauline parce qu’elle s'est autoconvaincue qu’elle n’avait pas tué son amie, elle l’avait juste appelée.
Enfin Pauline peut avoir une relation amoureuse avec Sébastien, elle vit quelques temps de bonheur et de joie, de désir et plaisir.
La quatriéne complication apparait quand un jour Pauline oublie son portable chez Sébastien et il l’appelle por lui dire qu’elle l’avait oublié et qu’il le faisait bien dès son portable noir.
A l’etat final ,il y a l’horreur finale, cette fois ce cera le portable qui prendra Pauline parce qu’il l’aportera à la mort.
À mon avis , cette nouvelle a été géniale et elle a attiré beaucoup mon attention aussi bien que celle de mes copains.
Le thème abordé par l’auteur avec cette nouvelle peut être une réflexion sur ce qui peut se passer quand quelqu’un a un grand pouvoir et l’utilise mal ou même de quoi est capable la méchanceté des personnes surtout quand elles sont passées par la colère, la rage et la haine au regard des problèmes amoureux. Cette nouvelle peut être une métaphore du pouvoir et de la puissance des nouvelles technologies surtout de la communication.
Moi , je crois que ce que l’auteur fait c'est une réflexion sur l’importance qui a le fait d’avoir un très grand pouvoir, qu’il faut avoir de la responsabilité et savoir l’utiliser correctement .
Personnellement je crois que Jean Molla a fait un très bon travail en choisissant un environnement très realiste où tous les lecteurs, surtout les jeunes, peuvent s’identifier.
D’autre fois, l’objét choisi comme outil pour tuer , le portable, un objet du quotidien, à première vue très ordinaire ,mais qui a le pouvoir de tuer quelqu´un et qui a l’avantage de passer complètement inaperçu.
Láuteur fait dans cette nouvelle, l’entrée d’un object surnaturel dans un cadre complètement réaliste en changeant brusquement la vie des personnages avec lesquels on peut très facilement nous identifier. Ce sera pourquoi je pense que le lecteur devient attiré por la nouvelle, pour savoir ce que fera Pauline avec ce pouvoir et pour se demamder, au même temps, ce qu’il ferait si c'était lui qui avait le portable.
Comme toutes les novelles à chute les ressemblances avec toutes les autres que jài déjà lues sont évidentes pour la surprise finale, l’élément le plus fascinant de toute nouvelle à chute et aussi par tous les détails que l’auteur laisse au cours du texte, comme l’ódeur à terre humide par exemple, que seulement quand nous relisons le texte nous nous rendons en compte que c'est en rapport avec la terre où les victimes du portable sont enterrés.
Donc, bien que cette nouvelle ressemble à toutes les autres,je crois qu’elle se ressemble le plus à “la photo qui tue” et aussi à une de mes séries favorites, “Death Note”.
Je crois qu’il faut remarquer la ressemblence entre tous les trois surtout à cause de l’introduction du surnaturel sur la forme d’un objet à premiere vue ordinaire mais qui a un pouvoir très grand et change complètement le cadre réaliste où il est introduit, dans le “portable noir” un portable, dans la “photo qui tue” un appareil photo et dans “Death Note” un cahier .
Dans tous les trois à partir du moment que l’objet est apparu notre attention se tourne vers le personage qui l’a trouvé pour découvrir ses décisions et ce qu’il va faire avec ce pouvoir.
Voilà porquoi j’ai tellement aimé cette nouvelle, pour la combinaison de l’élèment surprise avec la précision des détails donnés au lecteur et la combinaison du surnaturel avec le monde réel qui me font penser à ce que je pourrais avoir fait à mon tour avec le pouvoir du portable si c'était moi qui l’avait retrouvé...


Examen de l'élève Maria Freitas. 1º Bachillerato B
“Le Portable Noir” est une nouvelle à chute écrite par Jean Molla, un écrivain français né au Maroc.
“Le Portable Noir” est une nouvelle à chute qui se trouve dans le livre: La revanche de l´ombre rouge, un livre écrit par Jean Molle en 2007.
Cet écrivain est un auteur de nouvelles pour la jeunesse.
Dans la nouvelle il y a un téléphone portable avec un drôle de pouvoir capable de transformer tous les événements.
La nouvelle commence avec: “ Il était posé”, cette introduction était écrite avec des gros caractères et avec ça les lecteurs peuvent savoir que justement le portable va devenir l´un des personnages de la nouvelle.
L´action commence dans un espace ouvert près de la mer sur un ponton.
Pauline, un des personnages principaux, avec ses amis Alexandre, qui est appelée Alex et Sébastien son ami se promènent. Mais Pauline était seule et elle découvra un portable noir, luxueux, qui brillait et avec les cinq barres de la batterie.
Pauline se demande pourquoi le portable était lá car il était sur le ponton très proche de la mer.
Pour vérifier l´etat du portable, s´il fonctionnaît, elle appelle sa grand-mère et elle fait aussi des appels internationaux un à son amie française et un autre à sa correspondante anglaise. Avec ces appels ,elle vérifié que le portable était une merveille.
Le portable la tentait beaucoup. Donc elle se promène avec sa meilleure amie Alex et son copain Sébastien, et elle ressent de la honte car elle sait que rester avec le portable est un vol mais elle était fascinée avec l´objet et décide de ne rien dire à ses amis sur le portable.
En ce moment de la nouvelle le lecteur ressent des sentiments de la protagoniste comme la solitude.
Ici nous pouvons trouver aussi un triangle amoureux entre les jeunes qui va provoquer une rivalité et une concurrence entre les filles, Pauline et Alex car elles sont tombées amoureuses de Sébastien.
Chez Pauline elle découvre que sa grand-mère était morte et elle commence à se méfier et elle soupçonne que la mort de sa grand-mère était en rapport avec elle et le portable car la mort de sa grand-mère a eu lieu le même jour qu´elle l´avait appelée et parce que avec de nouveaux appels internationaux à ses amies elle découvre qu´elles sont mortes aussi.
Avec beaucoup de soupçons, Pauline va au répertoire du portable pour donner une réponse logique à tous les événements.
Au répertoire elle trouve beaucoup de noms avec la lettre “A” et elle se demande comment une personne peut connaître et avoir tant d´amis dont les noms commencent par cette lettre.
Pauline observe tout ça et commence à avoir des sentiments comme l´angoisse et le malaise car elle pense que le portable a des caractéristiques diaboliques et une forte puissance.
Dans le répertoire avec beaucoup de numéros elle choisit un numéro au hasard et elle appelle ce numéro et demande pour le nom qu´il y a dans le portable. La dame qui parle avec elle lui dit que cette personne était morte.
Pauline commença à avoir sa gorge sèche et ses jambes flageolèrent.
Avec le mélange de sentiments comme l´angoisse, le peur, le malaise et l´accumulation de tous ses sentiments Pauline ne sait pas ce qu´elle va faire.
Sébastien et Alex visitent Pauline pour essayer d´améliorer le sentiment de chagrin que Pauline a.
Le lendemain Sébastien va chez Pauline, l´embrasse et parle ave elle mais il lui dit qu´Alex ne peut pas découvrir ça car elle est quelqu´un d’ une jalousie maladive.
Ave tous les événements et les sentiments l´auteur donne aux lecteurs des pistes sur la fin et aussi il donne analyse beaucoup de sentiments de le heroine de la nouvelle, Pauline. Mais avec la fin les choses changent.
Avec le temps et une fois qu´Alex a dit à Pauline d´oublier Sébastien, car il est son copain on dirait que Pauline a accepté cette situation, mais ce n’est pas comme ça puisque elle est aussi amoureuse de Sébastien . Alors, poussée par un sentiment de rage, Pauline appelle Alex pour lui dire qu´elle va oublier Sébastien, par contre Alex ne lui dit rien.
Avec cet appel Pauline connaît ce qui va se passer mais elle s´en fout car elle aimait beaucoup Sébastien et elle éprouve une jalousie très grande.
Après la mort d´Alex, Pauline aura un sentiment d´auto persuasion car elle se convainc elle même qu´elle n´était pas une meurtrière.
Finalement Sébastien demande à Pauline où est son portable et elle lui dit qu´il ne marche pas. Chez Pauline elle reçoit un appel de Sébastien, il lui dit que le portable fonctionnait três bien car il l´appelle avec son portable.
Avec cette chute le lecteur peut dire que “le sortilège se retourne contre le sorcier”
L´auteur introduit le portable dans le récit car celui-ci est un objet du quotidien des jeunes et avec ça l´auteur accroche les lecteurs dans la nouvelle les motivant avec beaucoup de “passion” quand ils le lisent.
Avec le personnages jeunes l’auteur joue aussi avec les sentiments de la protagoniste qui sont très bien analysés.
Personnellement la première fois que j´ai trouvé qu’elle ressemblait énormément la nouvelle à chute “ La photo qui tue”, et cette nouvelle ne m´avait pas paru très fantastique, mais avec la lecture pendant le cours de français et avec une bonne analyse je l’ai trouvée plus intéressante et je comprends maintenant un peu mieux les pistes laissées par l´écrivain et le thème de la nouvelle.
Je crois que les jeunes aiment beaucoup cette nouvelle car l’écrivain sait comment transmettre les sentiments de la protagoniste et aussi car le choix d’un objet si courant dans la vie de toute la jeunesse fait que lecteur s’identifie facilement.
Cette nouvelle à chute était très associée à la nouvelle à chute d´un écrivain anglais “La photo qui tue” car à la fin il y a un événement qui change complètement la situation dans laquelle se trouve le protagoniste. Ici, dans “Le Portable Noir” était l´appel de Sébastien à Pauline et dans la nouvelle “La photo qui tue” était la photo que le frère du protagoniste a fait de la ville.
C´est une bonne occasion pour dire que dans cette nouvelle la puissance de l´objet et les choses que Pauline a faites avec ça se sont retournés contre elle.

jeudi 3 novembre 2011

LE BAL . IRÈNE NÉMIROVSKY


Après avoir analysé ce roman en classe on a passé une épreuve écrite. Voilà les questions qu'on nous a posées et ensuite notre professeur a choisi quelques examens pour les publier.

SERS-TOI DE CES QUESTIONS POUR CONSTRUIRE TON ANALYSE DU ROMAN D’IRÈNE NÉMIROVSKY
1. Le roman “Le Bal” rend compte d’un milieu où les gens apparaissent comme unis par le paraître, l’argent, et non par un véritable amour. À la fin les masques tombent… Montre-le.
2. Le Bal s’apparente aussi à une « nouvelle » . À quoi le voit-on ?
3. Quel est le thème central dans « Le Bal » ?
4. Le registre du Bal est généralement dramatique. Comment provoque-t-il l’émotion du lecteur ?
5. Le récit se termine par une chute inattendue, un renversement. Pourquoi le geste d’Antoinette la fait devenir une adulte ?

Extrait de l'examen de Jesús Paz Vieites (2º bachillerato A)

L'histoire du roman est basée sur la famille Kampf, une famille juive qui est devenue très riche en peu de temps, ils sont ceux qu'on appelle de "nouveaux riches".
Madame Kampf veut donner un bal pour être connus dans la ville (ils avaient décidé d'habiter dans un quartier riche à Paris). Avec ce bal, elle voulait être connue, elle voulait que sa famille, avec un pouvoir économique, puisse entrer dans la société aristocratique.Les nouveaux riches n'étaient pas bien vus par la société. Madame Kampf le savait, et là on trouve la principale raison pour laquelle elle ne laisse pas Antoinette, sa fille, aller au bal. Son excuse c'est qu'Antoinette est très jeune encore. Mais la vérité, c'est qu'elle ne veut pas être découverte.Cette famille est un exemple aussi de comment l'argent peut cacher des sentiments réels qu'on ressent, et peut nous changer aussi. À la fin de la nouvelle, quand Madame Kampf a accepté finalement que personne n'irait à son bal, elle dévoile tous ses sentiments et opinions envers son mari "ils ne sont pas venus à cause de toi, bien sûr qu'ils savent d'où on vient..." et M. Kamf à son tour fait pareil "si je ne t'avais pas rencontrée... tu n'étais pas intelligente, belle, mais j'ai cru que tu me respecterais si j'avais du succès et on devenait riches..." Madame Kamf explose et ça provoque que son mari dise tout sur sa femme aussi. Les masques de l'argent sont tombés et la vérité est sortie.
Ces nouveaux riches et l'effet de l'argent sur les gens, c'est, à mon avis, le thème central de "le Bal". C'est vrai que l'auteur cache tout ça avec l'histoire d'Antoinette, une fille qui veut être considérée comme une femme, mais ceci n'est pas le thème. L'auteur qui était aussi riche, connaissait des gens de l'aristocratie et elle savait combien les gens peuvent changer à cause de l'argent.
Irène N. veut aussi nous montrer, à mon avis, que tous ces masques que les riches portent, ça ne va pas finir là. Leurs enfants vont tout apprendre, comme c'est le cas d'Antoinette. À la fin de la nouvelle, elle a eu l'occasion de mettre un masque (sa mère la voyait comme une fille nulle et incompétente, et ne la tratait pas comme sa fille, et après le bal, où personne ne vas aller, elle voit que sa fille a toujours été là, avec elle, elle l'aime vraiment,elle est douce...) Ce n'est pas seulement l'argent ce qui change les personnes, mais aussi, la jalousie et l'égoïsme.
Cette histoire nous est racontée comme si c'était une nouvelle, mais à vrai dire ce n'est pas une nouvelle à chute car c'est un texte long, mais ce n'est pas un roman, non plus, parce que la fin est inattendue, il y a une chute. On pourrait considérer ce livre comme une nouvelle aussi parce qu'il y a un moment dans la nouvelle (après le quatrième chapitre)où le lecteur pense à ce qui va se passer.
Quand Antoinette jette les enveloppes dans la Seine, on se demande comment finira le récit. Antoinette sera-t-elle prise? est-ce que'elle va tout dire?. Un roman, on le lit, une nouvelle, elle nous fait penser, elle nous fait imaginer. On a envie de lire. Le registre de l'histoire est dramatique. On voit comment Antoinette est vraiment désespérée de ne pas avoir l'amour de sa mère, pour qu'elle devienne aimée parce qu'elle est déjà une" femme". Madame Kampf est très rude avec sa fille et les domestiques (peut-être à cause de son passé) et, le plus important, on ne voit pas d'amour entre la mère et le fille. Antoinette ne comprend pas pourquoi sa mère l'ignore.
L'auteur veut que nous, les lecteurs, prenions une position vis à vis d'Antoinette, qu'on la comprenne et que nous nous sentions comme elle. L'auteur veut qu'on se sache pas quoi penser en deux moments: le premier, quand elle jette les enveloppes dans la Seine, et le second, à la fin, quand elle console sa mère en disant "pauvre maman", C'est en ce dernier moment qu'on se sent déçus parce que jusque-là on avait cru qu'Antoinette était "la personne bonne dans l'histoire". Ce mélange de sentiments on l'a vu dans la nouvelle "Pauvre petit garçon" où on ressent de la pitié pour un enfant qui deviendra Hitler et quand on apprend ça, il nous répulse. C'est le mélange des sentiments ce que l'auteur recherche et, je crois, elle retrouve. Elle veut aussi nous montrer que la société aristocratique n'est pas tout comme on le croit. Il y a des problèmes, la rudesse, l'égoïsme, etc. Le plus intéressant dans la nouvelle c'est la fin, la chute dans la nouvelle. Ce "pauvre maman" nous montre qui est vraiment Antoinette : une personne egoïste, sans scrupules, égocentrique, qui se bat seulement pour ses intérêts à elle.Elle dit qu'elle est une femme, mais elle ne sait pas comment l'être. Elle n'avait pas l'amour de sa mère, et dans un acte de rage, elle jette les enveloppes dans la rivière. Elle ne le savait pas, mais ça lui fera devenir une femme. Elle a pris des décisions pour être là où elle voulait: aimée par sa mère et considérée comme une femme par nous, leslecteurs, et sa propre mère, qui donnera toute sa confiance à Antoinette. Elle nous montre son egoïsme et son egocentrisme, justement comme sa mère. À mon avis, Le Bal a beaucoup d'idées pour être une nouvelle courte et la chute lui domme un nouveau niveau, les lecteurs l'aiment plus. C'est aussi une nouvelle un peu autobiographique et j'ai aimé.On voit comment avec un peetit acte provoqué par la rage et la jalousie, tout peut changer. Pourtant, je crois qu'à la fin, on ne pourra pas éviter toutes les vérités dans nos vies, elles sont là et à un moment donné, elles vont sortir de la cachette où on les avait mises. On peut vivre dans un mensonge, mais on ne peut pas éffacer définitivement la vérité de nos vies.

mercredi 26 octobre 2011

LE MIROIR nº 3

Nous avons lu et analysé le journal Le Miroir que nos camarades de Première ont publié au mois de juin dernier. Cette année c'est notre tour, et nous souhaitons pouvoir offrir un journal aussi bon que le leur pour le vendre aux parents à la Journée Portes Ouvertes qu'on célèbre en juin tous les ans. On a déjà commencé à y penser!!!!

mardi 18 octobre 2011

LES VOLEURS D'ÉCRITURES de Azouz Begag



Comme je veux améliorer mon français pour passer mon diplôme ,j'ai accepté de lire et d'analyser le livre que ma prof m'a prêté. Dès le début j'ai adoré.

“Les voleurs d’écritures” d’Azouz Begag c’est une histoire qui nous montre comment la société traite les immigrants et, d’un point de vue plus profond, comment les personnes se laissent influencer.
Cette histoire est racontée sous la vision d’un jeune garçon qui est fils des immigrants en France. On peut voir les sentiments et pensées des personnages et ils nous touchent beaucoup. En premier lieu, il y a la mère qui reste à la maison et s’occupe de ses enfants. C'est quelqu'un qui a le désir que son fils arrive três loin dans sa vie profesionnelle pour avoir une bonne et heureuse vie, pas comme la sienne. D’autre côté, il y a le père, un honnête monsieur qui travaille beaucoup en différents postes pour apporter de quoi vivre à sa famille. Finalement, le protagoniste, c'est lui qui va nous faire voir tous les événéments d'une forme touchante.
On voit dans cette nouvelle une grande variété d’émotions. Au début, notre protagoniste est soumis à une forte pression , celle d'étudier ,pour atteindre de bons résultats, obtenir un bon travail et changer la situation économique de ses parents. Mais malhereusement il souffre une expérience qui va lui faire changer complètement de chemin dans sa vie: la mort de son père.
À partir de ce moment-là, pour lui ,tout est perdu, rien n’a de la valeur. Il commence à sortir avec un groupe de jeunes garçons, aussi fils des immigrants, qui font du cambriolage. Ce groupe-ci ne lui considère pas un grand ami car il est très studieux et appliqué et il n’a jamais rien volé,bref, ils se moquent de lui. C’est là quand il décide changer,et il va participer dans un vol pour montrer qu’il est un homme et comme ça il pourra être accepté dans le groupe. Ils vont voler dans une bibliothèquepuisquils croient que là il y a de l'argent.

Ils y sont rentrés et pendant que le chef de file, Vincent, cherche l’argent, le protagoniste prend un livre: “Le Viel Homme et La Mer” et il commence à lire sans se souvenir quelle était la raison pour laquelle il était là. Soudainement, deux gendarmes les arrêtent el les conduisent au poste de police. Maintenaint le sentiment qui s'installe chez notre protagoniste c’est la peur. Après des heures de questions, les jeunes garçons sont liberés, les livres les avaient pardonnés. “Le Viel Homme et La Mer” était le premiér livre que le jeune garçon acheterait avec fierté.

Je crois qu'on peut voir dans le livre comment les immigrants reçoivent un traitement différent de la part des autres. Par exemple, le père du garçon travaille beaucoup d’heures et ne peut pas gagner assez d’argent pour que sa famille vive aisement. Les enfants des autres immigrants voient la situation économique et sociale où ils se trouvent et ils sont fâchées avec la société, ils n’ont pas une bonne éducation et la seule issue qu'il leur reste c'est voler. La police est aussi très brute et stricte avec les immigrants.
Pourtant ,on voit ce jeune personnage qui est né dans un monde avec peu d’opportunités pour lui mais qui très bien élevé.C'est quelqu'un qui connaissait ses valeurs,et bien qu'il sorte à un moment donné,du bon chémin a cause de son désespoir , enfin il gagne de la conscience et retourne: le garçon est en train de voler la bibliothèque et après avoir été arrêté , il retourne à la librairie pour acheter le livre. Comme conclusion je dirais une citation:" Ne juge personne pour son âge ni pour la couleur de sa peau. Je recommande sa lecture vivement.


Marta Matos-Lopes, 2ºBach A

jeudi 13 octobre 2011

LE VISITEUR d'Éric-Emmanuel Schmitt



Notre professeur nous a proposé de lire de différents livres aux élèves qui désirent passer leur diplôme B2 ou C1 cette année. Comme elle savait que j'aimais le théâtre elle m'a donné ce livre de Schmitt que j'ai adoré. Voilà l'analyse que j'ai faite.

"Le Visiteur" est une pièce de théâtre avec 17 scènes, écrite par Éric-Emmanuel Schmitt, le même auteur de “Oscar et la dame rose”. En fait, plusieurs simillitudes joignent les deux oeuvres: une briève mais complexe question abordée dans le deuxième livre est plus profondisée dans la pièce de thêatre: Dieu, existe-t- il? Quel est son rôle, d’après nous? Et pourquoi, s’il existe vraiment, ne fait-il rien malgré tout le malheur que nous souffrons aujourd’hui?.

L’histoire est simple, mais originale. Un ancien et malade Freud reçoit, lors de l’emprisonnement de sa fille Anna (pour avoir “insulté” un officier nazi qui venait leur “rendre visite”), un mystérieux jeune homme, beau et plein de vie, dans son appartement. Au début, il pense que c’est juste un autre malade; mais, après, quand il l’a hipnotisé et lui a demandé certaines choses, le visiteur lui répond en racontant un événement qui appartenait à Freud lui-même, et que personne d’autre ne le connaissait. Le psychanaliste commence à douter de sa vraie identité. Le nazi, qui retourna un peu plus tard (il essayait de faire du chantage à Freud pour lui escroquer plus d’argent, mais celui-ci réussit à l’éloigner grâce à une petite aide de son visiteur) en lui disant qu’un mythomane, un fou, s’est évadé de son asile; donc le psychanaliste pense que ce jeune homme est en réalité l’évadé.

C’est à ce moment-là qu’une longue discussion se déroule: quand le “fou” lui demande pourquoi il ne croit pas en Dieu, Freud lui répond, presque comme un homme desespéré, en disant que Dieu ne tient jamais ses promesses. L’inconnu défend Dieu: pour lui, l’homme est la source de tous les maux.
Le nazi revient à nouveau, cette fois-ci pour lui dire que sa fille était sûre et qu’on avait trouvé le fou évadé. Freud se rend compte alors que peut-être, pendant tout ce temps-là, il n’avait pas été en train de parler avec le mythomane, mais avec une incarnation de Dieu.
L’inconnu lui rappelle quelques choses déjà oubliées: s’il avait crée les hommes, ce fut par amour; ceux-ci sont complètement libres et responsables, donc, Dieu laisse d’être omniscient et se trouve incapable de changer les choses; et, malgré tout le mal provoqué par l’homme, c’est la bonté qui les aide à retrouver leur chemin à nouveau.
Anna revint en ce moment-là, et, à l’insistance de son père, connaît le visiteur: cependant, elle voit un homme qui la poursuivait plusieurs fois, et elle n‘était pas interéssée. Freud a des doutes encore une fois, mais, à la fin, s’abandonne à l’opinion de cet inconnu et lui demande de faire un miracle. Ce dernier s’en va, laissant le psychanaliste perturbé et sans savoir quoi dire et en quoi croire, pour, selon lui, “préserver le mystère de Dieu”. Freud essaie de lui tirer dessus avec un revolver, pour voir s’il réussira à s’en échapper, mais il rate son tir.

La pièce, écrite d’une façon simple et facile à comprendre, aborde quelques thèmes qui ont toujours inquieté l’homme et donne même des hypothèses, de possibles réponses à ces questions. L’intéressant ici c’est le constraste entre l’athée pur et rationaliste de Freud et l’inconnu, qui répresente la foi et le mystère. Le dialogue est profond, et quelques fois même humoristique, nous laissant entrer petit à petit dans l’esprit des personnages. Ici, l’intéressant n’est pas de convertir des personnes, mais de nous rappeler pourquoi on croit vraiment en Dieu, après tout, et quel est notre rôle et responsabilité envers Lui.
Bref, j’ai beaucoup apprecié le livre et je le recommends vivement à celui qui puisse être interessé à le lire.




Matilde Contreras de Passos de Abreu Rocha. 2ºBAC-B. Avril 2012

Le Visiteur – Éric-Emmanuel Schmitt

Après Lucía, c'est moi qui a lu ce livre, conseillé par ma professeur Julia.
Ce livre est une pièce de théâtre divisée en 17scènes, et elle traite d’une conversation entre le père célèbre  de la psychanalyse, docteur Freud, et Dieu dans la peau d’un inconnu. La conversation a lieu à Vienne, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Les thèmes abordés sont principalement deux : la question sur l’existence de Dieu, et, s’il existe, pourquoi il permet que de mauvaises choses arrivent.

L’histoire commence avec Freud et sa fille, Anna, dans leur maison à Vienne. Un officier nazi est rentré là et il arrête Anna car elle l’avait insulté. Freud reste seul et il reçoit la visite d’un jeune homme. Il commence à parler et lui raconte une historie de la vie de Freud que seulement il connait, de quand il avait seulement cinq ans, et c’était là qu’il commence à découvrir que personne ne l’entendait et ne lui répondait pas. L’inconnu dit «Il ya toujours quelqu’un qui t’entend. Et qui vient.». Et Freud est étonné et commence à lui poser des questions, comme «Qui sont vos parents ?» et «Quand avez-vous connu Sigmund Freud ?» auxquelles l’inconnu répond avec des réponses étranges, comme qu’il est orphelin de naissance et qu’il connaît Freud depuis qu’il a 5 ans. Freud commence à comrendre, mais le nazi retourne et lui dit que Walter Oberseit, un fou, s’est échappé de l’asile et qui raconte des histoires. Freud croit que c’est l’inconnu. Et il arrête d'y croire.
Freud refuse de croire en Dieu, malgré les nombreuses preuves que l’inconnu lui donne. Il dit qu’il a passé sa vie à défendre l’intelligence contre la bêtise, Dieu lui a répondu qu’il fallait céder parce que cet esprit a besoin d’avoir foi et de croire : besoin de Dieu. Freud dit que ce n’est pas son esprit qui veut croire mais la bête qu'il y a chez lui.
Et la conversation continue. Et après Freud dit que s’il avait Dieu devant lui il lui demanderait des comptes, des comptes pour le mal qui existe dans le monde, dans les rues de Berlin, de Vienne  et des autres cités d’Europe. Il voit Dieu comme quelqu'un d' égoïste. Il accuse Dieu de faire de fausses promesses. La promesse que tout ira bien. Il accuse Dieu de faire les hommes méchants, et de permettre le mal. Dieu lui répond qu’Il a fait l’homme libre, pour le bien et pour le mal, «sinon la liberté  ce n’est rien.».

Après Freud continue à lui demander pourquoi Dieu a crée les hommes méchants et permet le mal, pourquoi il crée les hommes s’ils se tuent entre eux : «Pour la raison qui fait faire toutes les bêtises, pour la raison qui fait tout faire, sans quoi rien ne serait…par amour». Sa phrase m’a beaucoup touchée. Je crois que c’est la phrase la plus belle du livre! C’est ça ce que les chrétiens catholiques croient, que Dieu est vraiment amour. 

J’ai aimé ce livre parce que je crois que c’est impressionnant ce que Schmitt est en train de dire. Ce qu’il veut nous transmettre. Le livre finit avec Anna de retour  à la maison, et avec la disparition de l’inconnu.
Je recommande ce livre à tout le monde et je remercie beaucoup ma professeur Julia de me l’avoir prête pour le lire. Merci !


mercredi 12 octobre 2011

LE GRAND CAHIER. AGOTA KRISTOF



"Le grand cahier" est un roman écrit par Agota Kristof, écrivaine
hongroise qui vient de décéder au mois de septembre en Suisse et dont ses livres son écrits en français. Notre professeur nous a parlé en classe du décès de l'écrivaine hongroise et elle m'a conseillé de lire ce livre afin de connaître si c'était un livre qui valait la peine d'être analysé en cours de français cette année. Ma réponse a été affirmative.

L'histoire , d’après la biographie de l'auteur , on pourrait en déduire qu’elle se passe en Hongrie durant la guerre de 1956, mais en fait on ne peut pas être sûrs, car elle pourrait se passer aussi pendant la seconde guerre mondiale. La grande ville devient trop risquée pour vivre à cause des nombreux
bombardements , alors une mère décida d'envoyer ses deux jumeaux , Klaus et Lucas chez leur grand-mère à la campagne , mais ils ne l'avaient jamais vue
auparavant. Cette femme était sale , avare , méchante , quelqu’un qui ne donnait
rien sans rien recevoir.
Klaus et Lucas étaient obligés de travailler pour pouvoir manger et
vivre . Même si leur mère leur envoyait de l'argent et du linge , la
grand-mère vendait le linge et gardait l'argent pour elle.
Avec le temps ils se sont rendu compte qu'ils devaient devenir plus forts au
niveau moral et physique , donc ils commencèrent la réalisation
d'exercices qui les aidaient à s'endurcir , comme par exemple ils s'insultaient
pour que les mots ne les touchaient plus , ou bien ils se frappaient pour devenir
plus résistants et forts. . . En même temps ils ne négligeaient pas l'étude ,
ils faisaient leur instruction eux mêmes à l’aide d’une bible pour les
dictées ainsi qu'un dictionnaire pour l'orthographe et l'apprentissage
de nouveaux mots. Les deux gamins pour garder un souvenir de leurs
aventures ils écrivaient un « grand cahier » , d'ou vient le titre du
roman.
L'histoire se conclut par la mort de leur mère et leur nouvelle petite sœur
, puis leur grand-mère et leur père. À la fin, ces deux garçons décidèrent de se séparer pour la première fois de leur vie ,l’ un resta dans la maison de la grand-mère et l'autre s’en va de l'autre côté ,dans l’autre pays mais avant cela ,ils décidèrent de se partager le trésor que leur grand-mère leur avait laissé à sa mort. Pour moi, ce livre est très intéressant à lire , ça nous montre
comment deux garçons apprennent à devenir insensibles face à la cruauté de la vie et surtout de la guerre. On ressent beaucoup d'émotions différentes comme la solidarité , la cruauté en passant par la générosité. Ce que j'ai beaucoup apprécié c'est le réalisme de l’écriture de l'auteur et comment elle décrit tout sans pudeur.Je le conseille vivement. Pourtant ÂMES SENSIBLES S’ABSTENIR !!!!!.

Marjana Bouazza. 2º Bachillerato B.

lundi 10 octobre 2011

VIVE LA RENTRÉE!!!


Oui, nous sommes contents , très contents même car nous avons commencé une nouvelle année scolaire ,mais cette fois-ci elle a été spéciale. Nous, les élèves Comenius, nous sommes allés en Hongrie du 22 septembre au 1er octobre et nous avons suivi un programme fantastique. Si ça vous intéresse, cliquez sur notre blog "Entre deux eaux" et vous verrez...
Maintenant nous accueillons nos correspondants ici à Lisbonne du 7 au 16 octobre et nous avons préparé beaucoup d'activités pour eux.

lundi 8 août 2011

PRIX À L'ORIGINALITÉ





Voilà quelques photos originales prises par les élèves à Paris. Le prix à l'originalité a été décerné à Sara Pérez Ardila pour sa photo "La recherche depuis les hauteurs" où un homme vient de monter sur un lampadaire de Montmartre (photo prise le 7 avril 2011).Les titres "Attache-moi Paris!" "L'ombre de Notre Dame" et "L'imagination à voler" accompagnent les autres photos selectionnées.

SOUVENIRS DE PARIS












Voilà quelques souvenirs de notre voyage à Paris: quelques photos du groupe, quelques récits écrits par les élèves, la photo qui a réçu le prix à l'originalité... Enfin, encore une année, ce voyage restera dans la mémoire de tout le monde!!.


JOURNAL DE VOYAGE À PARIS

Du 7 au 12 avril 2011

Jeudi 7 avril :
Aujourd'hui à 6 h 30 du matin, nous sommes à l'aéroport de Lisbonne. Là, dans les comptoirs d'Air France, nous devions obtenir nous mêmes nos billets. Nous avons vérifié et on s’est rendu à l'aire d'attente où nous nous sommes rencontrés tous pour la première fois. Nous sommes arrivés à Paris après un voyage sans complications. À l'aéroport, nous avons pris un car qui nous a emmenés à l'auberge. Une fois là on a distribué les chambres. J'ai été dans la chambre no 26 avec Lorraine, Leonor, Rita, Joana, Francisca, Mariana et Athenea. Nous sommes montés aux chambres et avons laissé les valises. Ensuite, carte en main, on a pris la première direction de métro vers Montmartre où nous avons visité le Sacré Cœur. De là, nous sommes allés à la recherche du Bateau Lavoir et le Passe Muraille dans notre premier temps libre. À la fin de la recherche et de voir qu'il était encore temps, on a eu l'occasion de faire des achats au début et manger notre première crêpe. À la fin de notre temps, nous étions à la Place du Tertre, et nous sommes revenus à l'auberge, mais pas sans la première promenade devant le Moulin Rouge. Dans l'auberge nous nous sommes préparés un peu et on s’est rendu dîner au Flunch. Lorsque nous avons fini de dîner nous sommes retournés à l'auberge en faisait une promenade et nous nous sommes douchés et après être restés quelque temps dans la zone commune, on a fait trop de bruit…


Vendredi, le 8 avril :
Après le petit déjeuner et aujourd'hui on est allé au Louvre où, en raison de la grandeur du Musée on n’a pas pu le visiter au complet, mais c’était déjà une grande visite qui a duré jusqu'à l’heure de déjeuner. Après avoir mangé encore nous avons eu du temps libre et à la fin on a fait une promenade à travers les jardins Tuileries jusqu'à ce qu'il s'est terminé le temps de loisirs. De là, nous sommes allés à la place de la Concorde et de là vers les Champs Elysées, où nous sommes arrivés à l'Arc de Triomphe. Nous avons eu une fois encore un peu de temps libre et nous avons fait encore des achats. À la fin, nous sommes allés au Trocadéro où nous pourrions apprécier la grandeur de la Tour Eiffel. Là nous sommes montés en ascenseur au deuxième étage où nous avons vu Paris sous un autre angle. On nous a donné du temps libre, et certains sont descendus par les escaliers. Lorsque nous avons terminé, nous sommes allés directement dîner au Flunch, puis à l'auberge. À l'auberge on nous a grondés par notre comportement de la nuit précédente et Madalena et moi avons parlé au groupe sans la présence des enseignantes afin de résoudre nos problèmes et pouvoir donc continuer de profiter du voyage. À la fin de la conversation, les enseignants sont descendus et elles aussi , elles ont parlé avec nous . Bref nous avons été punis sans avoir le droit de quitter les chambres.


Samedi 9 avril :
Aujourd'hui, nous sommes allés à Versailles en car où nous avons vu les jardins et ses fontaines et le palais à l'intérieur. À la fin de la visite, nous avons mangé dans un restaurant Breton où nous avons mangé une crêpe salée et une autre sucrée. À la fin on est allé en car à Notre Dame où nous sommes allés à la cathédrale et certains ont pu voir une exposition sur les juifs français déportés pendant la seconde guerre mondiale. Puis nous sommes allés à la Sainte-Chapelle, à partir de là, nous sommes allés au quartier Latin, où nous avons eu quelque temps libre pour faire des achats encore. À la fin, nous sommes allés dîner au Flunch et, de là à l'auberge où comme une récompense pour notre bonne conduite nous pourrions rester dans la zone commune où nous avons rencontré les autres groupes d'étudiants.


Dimanche 10 avril :
Nous avons visité aujourd'hui le parc de la science de la Villette où nous avons pu interagir avec la science et la technologie par le biais de jeux et avec Explorer. Ensuite, nous avons vu un court 3D, puis un sous-marin, où nous avons appris pourquoi et comment un sous-marin plonge et on a mangé ensemble. À la fin nous avons pu voir un documentaire à la Géode. La Géode était une grande salle de cinéma où on passe les projections de films et documentaires, et bien que certaines personnes se soient endormies ,c’était quelque chose de beau et impressionnant. Une fois le film fini, nous avons continué l'apprentissage avec les jeux d’Explore et où nous avons vu une exposition de science fiction. Nous avons dîné dans le Flunch et de là on s’est rendu à l'auberge où bien qu'on aurait pu rester dans la zone commune on est monté dans les chambres plus tôt que prévu car on était très fatigués.


Lundi 11 avril :
Aujourd'hui, nous sommes montés aux tours de Notre-Dame de Paris où il était nécessaire d’ avoir trois professeurs, pour cela , Maria Cardoso devait passer par une jeune enseignante et nous l’avons traitée de Madame, Julia est restée en bas avec des gens qui ne voulaient pas monter.
Une fois que nous sommes descendus nous nous sommes promenés dans l'île de Saint-Louis et le Marais. Nous avons vu la façade du Musée Picasso sans le visiter car ils faisaient des travaux. Ensuite on a mangé et nous avons eu du temps libre. À la fin, nous avons visité le Pompidou où Barbara, Madalena, Christina et moi avons pu parler de quelques tableaux de Picasso, qui avaient été travaillés dans la classe de français. De là, nous sommes allés au Quartier Latin, faire encore des achats et on est allé à l'auberge .Nous sommes allés dîner à côté du Pompidou et au Pont Neuf on a pris le bateau-mouche qui nous a conduit par la Seine et nous avons appris comment était Paris la nuit. Ensuite, nous sommes allés à l'auberge où nous avons passé notre dernière soirée avec un peu de tristesse en pensant que le voyage avait déjà touche à sa fin.


Mardi 12 avril :
On a de moins en moins envie de dire Au revoir à Paris ! Et la vérité est que nous sommes tristes. Aujourd'hui, nous sommes allés au tombeau de Napoléon et aux Invalides. Nous avons pu voir certaines présentations très intéressantes sur la seconde guerre mondiale, les vêtements de Napoléon et d'autres. De là, nous sommes allés à la zone du Pompidou où nous sommes entrés dans un vieux marché devenu aujourd'hui ' hui un grand centre commercial. Nous avons eu du temps libre et avons mangé au Flunch et avec le temps supplémentaire, nous avons fait les dernières courses. À la fin, nous sommes retournés à l'auberge où nous nous sommes reposés un peu et nous avons pris la dernière photo de groupe. Et les enseignantes ont donné également des cadeaux aux gagnants de la preuve que nous avions faite pendant le temps libre. Nous avons pris le car et nous sommes arrivés à l'aéroport de Paris où nous avons eu les billets. A travers les vitres, nous avons vu et dit Au revoir Paris ! Nous sommes arrivés à Lisbonne, conformément à l'heure prévue et avant de ramasser les bagages, nous avons compté pour la dernière fois. Le conte est bon! Nous avons pris nos bagages et sortis à la rencontre de nos familles. On avait des sentiments mélangés : la joie de les voir et la tristesse d'avoir quitté Paris. Le voyage était terminé.

jeudi 5 mai 2011

ÇA MARCHE 1



Les élèves de Cinquième A ont fabriqué leur emballage de biscuits après avoir repéré quelques éléments d'un produit emballé: la marque du produit, la quantité, la date limite de consommation, le contenu et le prix de l'article.

mercredi 4 mai 2011

LE HÉRISSON



Le Hérisson est un film, français, sorti en 2009 et réalisé par Mona Achache, à partir du roman de Muriel Barbery, "L'élégance du hérisson".
Le film nous raconte l'histoire de Paloma Josse, une petite fille très intelligente et perspicace, qui décide de se suicider lors de son 12ème. anniversaire, car, selon elle, "elle ne veut pas vivre comme un poisson dans un bocal". Elle vit avec sa famille dans un luxueux appartement, où travaille Madame Michel comme concierge. Mme. Michel est une femme d'apparence brusque, sombre et ignorée par les habitants de l'immeuble, qui la prennent pour une concierge quelconque, laide et grossière. Cependant, Renée, comme s'appelle Mme. Michel, est en réalité une personne très cultivée, qui lit Tolstoï et voit des films d'Ozu; elle a une "cachette", pleine de livres, où elle s'entretient à lire tous les jours.
Paloma est la première à se rendre compte de l'intelligence de Renée. Quand Kakuro Ozu, un nouveau propriétaire japonais, est présenté à Mme. Michel, il s'intèresse beaucoup à elle, comme Paloma; les deux croient qu'elle n'est pas ce qu'on croit, et Paloma dit que, malgré "ses piquants, elle, à l'intérieur, elle est si raffinément élégante que le hérisson."
Ce sont ces deux personnages qui aideront Renée à sortir de sa réclusion. Paloma, fatiguée et dégoûtée par sa famille si bourgeoise, vide, et médiocre, utilise sa caméra pour les filmer et présenter ses parents et sa soeur, pour mieux montrer comment nous vivons tous "comme des poissons dans un bocal", vulnérables et soffocants: elle donne même des antidépréssifs au poisson rouge de sa soeur et le jette par le WC. Paloma voit la réalité d'une façon très péssimiste et cynique, ce qui choque sa mère et sa soeur (son père est très absent). Elle essaie de se cacher, mais elle est toujours découverte; c'est pour cette raison qu'elle dit que Mme. Michel a trouvé la cachette parfaite. Elle admire beaucoup Renée, et lui demande de se laisser suivre pour la filmer afin de mieux la connaître.
Mr. Ozu, de son côté, est très diffèrent des occidentaux; comme les Japonais, il est très calme, pacifique et simple. Il invite Renée à dîner et à sortir avec lui. C'est ainsi que, peu à peu, Mme. Michel commence à s'ouvrir.
À la fin, dans un "twist" du film, Renée découvre le poisson rouge de la soeur de Palome, qui avait été jeté dans le WC, et qu'on croyait mort. Au moment où elle sort de l'immeuble, le lendemain, elle est renversée par une voiture et tuée (le camion de la blanchisserie)
Paloma et Kakuro restent angoissés par sa mort. Mais, au lieu de poursuivre son plan de se suicider, Paloma est décidée à vivre, car finalement elle comprend que ce qui n'est important ce n’est pas mourir, mais ce qu'on est en train de faire à ce moment-là, ce qu'on fait à chaque instant: Renée, au moment de mourir, elle était prête à aimer.
Le film est très bien réalisé et nous parle des thèmes très intéressants. Le sens de la vie, par exemple, quand on est entouré par la médiocrité et l'hypocresie; l'importance de la mort et de ce qu'on a fait jusqu'à la fin; comment on croit seulement aux apparences, quand elles peuvent nous tromper; comment on voit, au lieu de regarder, d'observer.
Le film fait aussi une critique féroce de la haute classe sociale, avec des gens ignorants, indifférents et snobs.

Lucía Branco. 1º Bach



LE HÉRISSON

Ce film traite l'histoire de trois personnages principaux: Madame Michel, qui est la concierge du bâtiment où les autres deux habitent; Mr. Ozu, un nouveau voisin japonais; et Paloma, une fille qui a onze ans et qui est en train de planifier sa mort.
En premier lieu, c'est important de comprendre ce que le titre du film veut nous transmettre. L'expression 'le hérisson' est utilisée par Paloma pour décrire Madame Michel, mais, à vrai dire, elle n'est pas l'unique qui peut s'identifier avec cet animal: elle se cache des autres; à l’ extérieur, elle est difficile d'approcher et connaître et elle ne communique pas facilement ; elle a de fortes défenses. Pourtant, à l'intérieur, elle est vraiment charmante, chaleureuse et a des secrets et des histoires à découvrir.
Alors, on rencontre des personnages singuliers et avec des personnalités bien remarquées. D'abord Paloma, qui est une fille d'onze ans qui déteste ses parents riches et ce monde où elle habite, donc, déçue avec le monde des adultes et les , par exemple, de sa mère, qui consomme des médicaments pour tous ses problèmes et parle plus avec ses plantes qu’avec ses filles; ou la vie de son père, le typique homme d'affaires qui n'a pas du temps pour le consacrer à la famille, Paloma a la théorie qu’ils vivent tous dans une prison, comme un bocal, dont ils ne s'échappent jamais. Donc elle a pris la décision de se suicider le jour de son douzième anniversaire et, jusqu'a cette date, elle va filmer sa famille, ses voisins et cette forme de vie qu'elle déteste et par laquelle elle n'éprouve aucun intérêt.
D'autre part, on connait Madame Michel, la concierge, le vrai hérisson de l'histoire; elle est une dame très réservée, qui ne parle pas sur sa vie, qui se cache et se tait toujours. Quand elle connait Paloma et M. Ozu, sa vision du monde commence à changer - surtout car elle tombe amoureuse de M. Ozu: elle finalement reconnait ses sentiments et les accepte.
En dernier lieu on a M. Ozu, le nouveau voisin qui immédiatement gagne de l'intérêt pour elles, en les montrant le monde et la culture japonaise et leur donnant quelques leçons de vie, mais spécialement gagne de l’intérêt pour Madame Michel. Sa femme est morte, donc il est un solitaire comme elle; la différence, c'est qu'il est ouvert a faire des connaissances et à aimer les autres. On peut affirmer qu'il joue un rôle fondamental dans la conduction de Madame Michel avers l'amour.
L'histoire va suivre de près l’évolution des personnages pendant qu'ils se connaissent mieux. Pendant que Paloma critique tout le monde en tournant son film et en imaginant des plans pour se suicider, elle passe par un procès de transition, comme Madame Michel. Michel commence à changer d'avis, a être plus ouverte et à redécouvrir l'amour. Avec la fin tragique - la soudaine mort de Madame Michel, tuée par une voiture, justement quand elle était déjà changée et prête à aimer - Paloma comprend la valeur de la vie, la quantité de choses qu'elle a encore à faire, et ça lui fait laisser définitivement l'idée de se suicider.
Ce film est une vraie leçon de vie car il nous aide à constater comment nous avons très peu de temps et nous ne devons pas rester enfermés; on doit sortir, nous libérer, aimer, sentir sans peur, car la vie n'est pas longue et on doit la profiter.

Mariana Lima 1ºBac.B

QUELQUES REFLEXIONS SUR LE FILM "LE HÉRISSON"

- Le hérisson n'est pas le personnage central du film de Mona Achacha, mais c'est un personnage clé qui va sauver de manière indirecte le personnage de Paloma. En vérité, tous les personnages dans ce film sont indispensables et il faut dire qu'ils sont tous bien joués. C'est excellent pas seulement le jeu de chaque personnage mais plutôt les relations entre eux.

Marina Stussi. 2º Bachillerato

- Au début, elle était prête à mourir... On entre dans le monde de Paloma, une jeune fille de 11 ans habitant un immeuble de riches. Avec sa caméra, Paloma décide de filmer ses derniers moments de vie, car elle ne rencontre pas de sens à être vivante pour devenir "un poisson dans un bocal" comme tous les adultes qu'elle connaît.
Pourtant à la fin, elle était prête à vivre...

Joana Quaresma, 2º Bach.

- Paloma éffectivement, est une enfant différente aux autres. Elle a une mentalité d'un adulte, elle juge comment les autres se comportent. Elle vit dans un autre monde , son monde à elle, dans le noir et avec ses dessins. Elle veut se suicider car elle croit que le vie n'est pas juste.

Eunice Valente. 2º Bach.

- Le "conte" se déroule autour de Paloma mais les histoires des autres personnages sont aussi très importantes parce qu'elles vont toucher directement le changement de pensée de la jeune fille. Le personnage qui va changer Paloma va être la concierge de l'immeuble, Renée: une femme qui vit avec son gros chat, adore le chocolat noir et elle a une passion: la littérature, spécialement : le livre"Anna Karenina". Un autre personnage important c'est Kakuro, un Japonais qui vient s'installer dans l'immeuble.Bref, c'est la relation entre ces personnage celle qui va changer la vie (et la mort) de Paloma.

Julia Caballero. 2º Bach.

- Madame Michel, Renée, est un herisson parce que celui qui ne la connait pas, n'est pas capable de regarder plus de cette femme froide, un peu arrogante, qui n'a pas d'amis ou de relations avec quelqu'un qui puisse être considéré proche.Mais quand elle sort de sa cachette privée, quand elle veut montrer ce qui peut la définir: ses qualités, on voit que l'extérieur n'a jamais correspondu à la vérité. À mon avis, Mme. Michel a toujours été une femme renfermée, c'est quelqu'un qui a besoin de son temps pour s'attacher aux gens qui sont autour d'elle.Quand Paloma entre dans son monde,et traverse la porte de sa petite maison, une fenêtre s'ouvre pour elle, une fenêtre qui permettra Paloma d'explorer cet hérisson toujours renfermé dans son coin.

Ana Catarina Ferreira, 2º Bachillerato.

- Beaucoup de critiques sociales sont faites dans ce film. La relation que Renée ne comprend pas qu'elle puisse exister avec Kakuro, c'est une critique de la société qui fait des différences sociales sans voir l'intérieur des gens. Un exemple évident c'est quand Renée et Kakuro sortent dîner dans un restaurant et une voisine de l'immeuble leur dit très gentiment "bonsoir" sans reconnaître Renée. Quand elle reste complètement étonnée et demande à Kakuro pourquoi elle ne l'a pas réconnue, il lui répond que c'était "parce qu'elle ne l'avais jamais vue". Il y enfin la critique faite de la famille de Paloma qui nous montre encore une fois que "l'argent ne fait pas le bonheur".

Ana Isabel Salamanca. 2º Bachillerato.

- Le film commence en noir et il finit en noir aussi, donc c'est un film clos. Je crois que c'est un film très bon et que le thème de la mort est bien abordé car effectivement on montre que la mort est plus que la fin des battements cardiaques.

Mariana Fandiño. 2º Bachillerato.

- Tout le long du film on a vu des personnages se battent contre l'absurde de la société. Quand la réalisatrice nous donne sa phrase " l'important, ce n'est pas mourir, mais ce que tu en train de faire au moment de mourir", on voit que le bien n'a pas perdu la guerre mais il l'a gagnée. Malgré les apparences, il y a plus de vie que de mort. Au contraire que Camus, au début,Paloma accepte le suicide comme façon de s'échapper de l'absurde, mais comme lui, à la fin, elle finit par le refuser aussi.

Antonio Baptista. 2º Bachillerato.

- Avec cette belle histoire, on découvre que l'amitié n'a pas d'âge. Ce sont les gens qui importent, pas leurs rôles dans la société. La chose que j'ai aimée le plus a été la manière comment Renée change à travers le déroulement de l'histoire. Au début, on voit une femme lâche, moche et triste, dont la vie est une horrible routine. Seulement dans sa cachette elle est vraiment heureuse pourtant elle n'en parle jamais aux autres. À la fin, elle est heureuse, elle est prête à aimet et à être aimée. Elle semble même plus belle. Elle nous montre qu'on peut seulement être heureux si on fait confiance aux autres. Voilà la morale pour moi du film. Vivre est toujours bon, le suicide n'est jamais la solution à nos problèmes. C'est en aimant, en faisant confiance aux autres qu'on trouve la joie de vivre.

Alicia Calvo- Villamañán. 2º Bachillerato.