mercredi 26 octobre 2011

LE MIROIR nº 3

Nous avons lu et analysé le journal Le Miroir que nos camarades de Première ont publié au mois de juin dernier. Cette année c'est notre tour, et nous souhaitons pouvoir offrir un journal aussi bon que le leur pour le vendre aux parents à la Journée Portes Ouvertes qu'on célèbre en juin tous les ans. On a déjà commencé à y penser!!!!

mardi 18 octobre 2011

LES VOLEURS D'ÉCRITURES de Azouz Begag



Comme je veux améliorer mon français pour passer mon diplôme ,j'ai accepté de lire et d'analyser le livre que ma prof m'a prêté. Dès le début j'ai adoré.

“Les voleurs d’écritures” d’Azouz Begag c’est une histoire qui nous montre comment la société traite les immigrants et, d’un point de vue plus profond, comment les personnes se laissent influencer.
Cette histoire est racontée sous la vision d’un jeune garçon qui est fils des immigrants en France. On peut voir les sentiments et pensées des personnages et ils nous touchent beaucoup. En premier lieu, il y a la mère qui reste à la maison et s’occupe de ses enfants. C'est quelqu'un qui a le désir que son fils arrive três loin dans sa vie profesionnelle pour avoir une bonne et heureuse vie, pas comme la sienne. D’autre côté, il y a le père, un honnête monsieur qui travaille beaucoup en différents postes pour apporter de quoi vivre à sa famille. Finalement, le protagoniste, c'est lui qui va nous faire voir tous les événéments d'une forme touchante.
On voit dans cette nouvelle une grande variété d’émotions. Au début, notre protagoniste est soumis à une forte pression , celle d'étudier ,pour atteindre de bons résultats, obtenir un bon travail et changer la situation économique de ses parents. Mais malhereusement il souffre une expérience qui va lui faire changer complètement de chemin dans sa vie: la mort de son père.
À partir de ce moment-là, pour lui ,tout est perdu, rien n’a de la valeur. Il commence à sortir avec un groupe de jeunes garçons, aussi fils des immigrants, qui font du cambriolage. Ce groupe-ci ne lui considère pas un grand ami car il est très studieux et appliqué et il n’a jamais rien volé,bref, ils se moquent de lui. C’est là quand il décide changer,et il va participer dans un vol pour montrer qu’il est un homme et comme ça il pourra être accepté dans le groupe. Ils vont voler dans une bibliothèquepuisquils croient que là il y a de l'argent.

Ils y sont rentrés et pendant que le chef de file, Vincent, cherche l’argent, le protagoniste prend un livre: “Le Viel Homme et La Mer” et il commence à lire sans se souvenir quelle était la raison pour laquelle il était là. Soudainement, deux gendarmes les arrêtent el les conduisent au poste de police. Maintenaint le sentiment qui s'installe chez notre protagoniste c’est la peur. Après des heures de questions, les jeunes garçons sont liberés, les livres les avaient pardonnés. “Le Viel Homme et La Mer” était le premiér livre que le jeune garçon acheterait avec fierté.

Je crois qu'on peut voir dans le livre comment les immigrants reçoivent un traitement différent de la part des autres. Par exemple, le père du garçon travaille beaucoup d’heures et ne peut pas gagner assez d’argent pour que sa famille vive aisement. Les enfants des autres immigrants voient la situation économique et sociale où ils se trouvent et ils sont fâchées avec la société, ils n’ont pas une bonne éducation et la seule issue qu'il leur reste c'est voler. La police est aussi très brute et stricte avec les immigrants.
Pourtant ,on voit ce jeune personnage qui est né dans un monde avec peu d’opportunités pour lui mais qui très bien élevé.C'est quelqu'un qui connaissait ses valeurs,et bien qu'il sorte à un moment donné,du bon chémin a cause de son désespoir , enfin il gagne de la conscience et retourne: le garçon est en train de voler la bibliothèque et après avoir été arrêté , il retourne à la librairie pour acheter le livre. Comme conclusion je dirais une citation:" Ne juge personne pour son âge ni pour la couleur de sa peau. Je recommande sa lecture vivement.


Marta Matos-Lopes, 2ºBach A

jeudi 13 octobre 2011

LE VISITEUR d'Éric-Emmanuel Schmitt



Notre professeur nous a proposé de lire de différents livres aux élèves qui désirent passer leur diplôme B2 ou C1 cette année. Comme elle savait que j'aimais le théâtre elle m'a donné ce livre de Schmitt que j'ai adoré. Voilà l'analyse que j'ai faite.

"Le Visiteur" est une pièce de théâtre avec 17 scènes, écrite par Éric-Emmanuel Schmitt, le même auteur de “Oscar et la dame rose”. En fait, plusieurs simillitudes joignent les deux oeuvres: une briève mais complexe question abordée dans le deuxième livre est plus profondisée dans la pièce de thêatre: Dieu, existe-t- il? Quel est son rôle, d’après nous? Et pourquoi, s’il existe vraiment, ne fait-il rien malgré tout le malheur que nous souffrons aujourd’hui?.

L’histoire est simple, mais originale. Un ancien et malade Freud reçoit, lors de l’emprisonnement de sa fille Anna (pour avoir “insulté” un officier nazi qui venait leur “rendre visite”), un mystérieux jeune homme, beau et plein de vie, dans son appartement. Au début, il pense que c’est juste un autre malade; mais, après, quand il l’a hipnotisé et lui a demandé certaines choses, le visiteur lui répond en racontant un événement qui appartenait à Freud lui-même, et que personne d’autre ne le connaissait. Le psychanaliste commence à douter de sa vraie identité. Le nazi, qui retourna un peu plus tard (il essayait de faire du chantage à Freud pour lui escroquer plus d’argent, mais celui-ci réussit à l’éloigner grâce à une petite aide de son visiteur) en lui disant qu’un mythomane, un fou, s’est évadé de son asile; donc le psychanaliste pense que ce jeune homme est en réalité l’évadé.

C’est à ce moment-là qu’une longue discussion se déroule: quand le “fou” lui demande pourquoi il ne croit pas en Dieu, Freud lui répond, presque comme un homme desespéré, en disant que Dieu ne tient jamais ses promesses. L’inconnu défend Dieu: pour lui, l’homme est la source de tous les maux.
Le nazi revient à nouveau, cette fois-ci pour lui dire que sa fille était sûre et qu’on avait trouvé le fou évadé. Freud se rend compte alors que peut-être, pendant tout ce temps-là, il n’avait pas été en train de parler avec le mythomane, mais avec une incarnation de Dieu.
L’inconnu lui rappelle quelques choses déjà oubliées: s’il avait crée les hommes, ce fut par amour; ceux-ci sont complètement libres et responsables, donc, Dieu laisse d’être omniscient et se trouve incapable de changer les choses; et, malgré tout le mal provoqué par l’homme, c’est la bonté qui les aide à retrouver leur chemin à nouveau.
Anna revint en ce moment-là, et, à l’insistance de son père, connaît le visiteur: cependant, elle voit un homme qui la poursuivait plusieurs fois, et elle n‘était pas interéssée. Freud a des doutes encore une fois, mais, à la fin, s’abandonne à l’opinion de cet inconnu et lui demande de faire un miracle. Ce dernier s’en va, laissant le psychanaliste perturbé et sans savoir quoi dire et en quoi croire, pour, selon lui, “préserver le mystère de Dieu”. Freud essaie de lui tirer dessus avec un revolver, pour voir s’il réussira à s’en échapper, mais il rate son tir.

La pièce, écrite d’une façon simple et facile à comprendre, aborde quelques thèmes qui ont toujours inquieté l’homme et donne même des hypothèses, de possibles réponses à ces questions. L’intéressant ici c’est le constraste entre l’athée pur et rationaliste de Freud et l’inconnu, qui répresente la foi et le mystère. Le dialogue est profond, et quelques fois même humoristique, nous laissant entrer petit à petit dans l’esprit des personnages. Ici, l’intéressant n’est pas de convertir des personnes, mais de nous rappeler pourquoi on croit vraiment en Dieu, après tout, et quel est notre rôle et responsabilité envers Lui.
Bref, j’ai beaucoup apprecié le livre et je le recommends vivement à celui qui puisse être interessé à le lire.




Matilde Contreras de Passos de Abreu Rocha. 2ºBAC-B. Avril 2012

Le Visiteur – Éric-Emmanuel Schmitt

Après Lucía, c'est moi qui a lu ce livre, conseillé par ma professeur Julia.
Ce livre est une pièce de théâtre divisée en 17scènes, et elle traite d’une conversation entre le père célèbre  de la psychanalyse, docteur Freud, et Dieu dans la peau d’un inconnu. La conversation a lieu à Vienne, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Les thèmes abordés sont principalement deux : la question sur l’existence de Dieu, et, s’il existe, pourquoi il permet que de mauvaises choses arrivent.

L’histoire commence avec Freud et sa fille, Anna, dans leur maison à Vienne. Un officier nazi est rentré là et il arrête Anna car elle l’avait insulté. Freud reste seul et il reçoit la visite d’un jeune homme. Il commence à parler et lui raconte une historie de la vie de Freud que seulement il connait, de quand il avait seulement cinq ans, et c’était là qu’il commence à découvrir que personne ne l’entendait et ne lui répondait pas. L’inconnu dit «Il ya toujours quelqu’un qui t’entend. Et qui vient.». Et Freud est étonné et commence à lui poser des questions, comme «Qui sont vos parents ?» et «Quand avez-vous connu Sigmund Freud ?» auxquelles l’inconnu répond avec des réponses étranges, comme qu’il est orphelin de naissance et qu’il connaît Freud depuis qu’il a 5 ans. Freud commence à comrendre, mais le nazi retourne et lui dit que Walter Oberseit, un fou, s’est échappé de l’asile et qui raconte des histoires. Freud croit que c’est l’inconnu. Et il arrête d'y croire.
Freud refuse de croire en Dieu, malgré les nombreuses preuves que l’inconnu lui donne. Il dit qu’il a passé sa vie à défendre l’intelligence contre la bêtise, Dieu lui a répondu qu’il fallait céder parce que cet esprit a besoin d’avoir foi et de croire : besoin de Dieu. Freud dit que ce n’est pas son esprit qui veut croire mais la bête qu'il y a chez lui.
Et la conversation continue. Et après Freud dit que s’il avait Dieu devant lui il lui demanderait des comptes, des comptes pour le mal qui existe dans le monde, dans les rues de Berlin, de Vienne  et des autres cités d’Europe. Il voit Dieu comme quelqu'un d' égoïste. Il accuse Dieu de faire de fausses promesses. La promesse que tout ira bien. Il accuse Dieu de faire les hommes méchants, et de permettre le mal. Dieu lui répond qu’Il a fait l’homme libre, pour le bien et pour le mal, «sinon la liberté  ce n’est rien.».

Après Freud continue à lui demander pourquoi Dieu a crée les hommes méchants et permet le mal, pourquoi il crée les hommes s’ils se tuent entre eux : «Pour la raison qui fait faire toutes les bêtises, pour la raison qui fait tout faire, sans quoi rien ne serait…par amour». Sa phrase m’a beaucoup touchée. Je crois que c’est la phrase la plus belle du livre! C’est ça ce que les chrétiens catholiques croient, que Dieu est vraiment amour. 

J’ai aimé ce livre parce que je crois que c’est impressionnant ce que Schmitt est en train de dire. Ce qu’il veut nous transmettre. Le livre finit avec Anna de retour  à la maison, et avec la disparition de l’inconnu.
Je recommande ce livre à tout le monde et je remercie beaucoup ma professeur Julia de me l’avoir prête pour le lire. Merci !


mercredi 12 octobre 2011

LE GRAND CAHIER. AGOTA KRISTOF



"Le grand cahier" est un roman écrit par Agota Kristof, écrivaine
hongroise qui vient de décéder au mois de septembre en Suisse et dont ses livres son écrits en français. Notre professeur nous a parlé en classe du décès de l'écrivaine hongroise et elle m'a conseillé de lire ce livre afin de connaître si c'était un livre qui valait la peine d'être analysé en cours de français cette année. Ma réponse a été affirmative.

L'histoire , d’après la biographie de l'auteur , on pourrait en déduire qu’elle se passe en Hongrie durant la guerre de 1956, mais en fait on ne peut pas être sûrs, car elle pourrait se passer aussi pendant la seconde guerre mondiale. La grande ville devient trop risquée pour vivre à cause des nombreux
bombardements , alors une mère décida d'envoyer ses deux jumeaux , Klaus et Lucas chez leur grand-mère à la campagne , mais ils ne l'avaient jamais vue
auparavant. Cette femme était sale , avare , méchante , quelqu’un qui ne donnait
rien sans rien recevoir.
Klaus et Lucas étaient obligés de travailler pour pouvoir manger et
vivre . Même si leur mère leur envoyait de l'argent et du linge , la
grand-mère vendait le linge et gardait l'argent pour elle.
Avec le temps ils se sont rendu compte qu'ils devaient devenir plus forts au
niveau moral et physique , donc ils commencèrent la réalisation
d'exercices qui les aidaient à s'endurcir , comme par exemple ils s'insultaient
pour que les mots ne les touchaient plus , ou bien ils se frappaient pour devenir
plus résistants et forts. . . En même temps ils ne négligeaient pas l'étude ,
ils faisaient leur instruction eux mêmes à l’aide d’une bible pour les
dictées ainsi qu'un dictionnaire pour l'orthographe et l'apprentissage
de nouveaux mots. Les deux gamins pour garder un souvenir de leurs
aventures ils écrivaient un « grand cahier » , d'ou vient le titre du
roman.
L'histoire se conclut par la mort de leur mère et leur nouvelle petite sœur
, puis leur grand-mère et leur père. À la fin, ces deux garçons décidèrent de se séparer pour la première fois de leur vie ,l’ un resta dans la maison de la grand-mère et l'autre s’en va de l'autre côté ,dans l’autre pays mais avant cela ,ils décidèrent de se partager le trésor que leur grand-mère leur avait laissé à sa mort. Pour moi, ce livre est très intéressant à lire , ça nous montre
comment deux garçons apprennent à devenir insensibles face à la cruauté de la vie et surtout de la guerre. On ressent beaucoup d'émotions différentes comme la solidarité , la cruauté en passant par la générosité. Ce que j'ai beaucoup apprécié c'est le réalisme de l’écriture de l'auteur et comment elle décrit tout sans pudeur.Je le conseille vivement. Pourtant ÂMES SENSIBLES S’ABSTENIR !!!!!.

Marjana Bouazza. 2º Bachillerato B.

lundi 10 octobre 2011

VIVE LA RENTRÉE!!!


Oui, nous sommes contents , très contents même car nous avons commencé une nouvelle année scolaire ,mais cette fois-ci elle a été spéciale. Nous, les élèves Comenius, nous sommes allés en Hongrie du 22 septembre au 1er octobre et nous avons suivi un programme fantastique. Si ça vous intéresse, cliquez sur notre blog "Entre deux eaux" et vous verrez...
Maintenant nous accueillons nos correspondants ici à Lisbonne du 7 au 16 octobre et nous avons préparé beaucoup d'activités pour eux.