mercredi 30 mai 2012

PRIX À L'ORIGINALITÉ . PARIS 2012.

Comme tous les ans, on a décerné le prix à la photo la plus originale prise à Paris lors de notre voyage réalisé au mois d'avril.

Titre de la photo: Que c'est beau Paris à travers le temps!
Auteur: Lucía González. Troisième A.







mardi 15 mai 2012

STUPEUR ET TREMBLEMENTS, un roman d'Amélie Nothomb

Voilà le dernier livre que nous avons travaillé cette année en classe de Terminale . Les dix-neuf élèves qui ont étudié le français comme quatrième langue ont tous passé l'épreuve ci-jointe avec du succès . Félicitations et bonne chance dans les nouvelles études que vous allez bientôt commencer. Ah! et merci de toutes les dédicaces que vous avez écrites sur mon livre, jamais je ne vous oublierai. Ça a été un plaisir de faire votre connaissance et d'avoir travaillé aussi dur avec vous. Au bout de six ans ,je rentre en Espagne avec ma valise pleine de bons moments vécus ensemble. Vous resterez toujours dans ma mémoire. Au revoir!!!.



ANALYSE DU ROMAN “STUPEUR ET TREMBLEMENTS »
Sers-toi  des éléments ci-dessous pour faire ton analyse.

       1. La base du roman est autobiographique et dès le début on établit le style comique. Pourquoi ?
      2.  On peut lire ce roman comme une satire du monde de l’entreprise japonaise (lieu de travail, personnages, situations) pour cela l’auteur se sert de figures rhétoriques. Lesquelles ? . Donne des exemples.
      3.  Malgré la position de subordination et grâce à l’ironie, l’auteur se révèle supérieure aux autres personnages. Les rapports de pouvoir se voient renversés. Montre-le.
       4. Le style divertissant et moqueur permet à l’auteur de juger le traitement des femmes.
       5.  Conclusions


     Lucia Branco, 2º Bachillerato A  a écrit:

"   Stupeurs et tremblements" est un roman autobiographique écrit par Amélie Nothom et publié en 1999. Le livre présente une partie de sa vie, vécue  au Japon lors d'un contrat avec une grande entreprise, Yumimoto. Le roman analyse alors  cette expérience, qui dure un an au total. Au lieu d'écrire un roman autobiographique lourd, elle lui donne un style très personnel, incroyablement léger mais à la fois profond et comique.
     Cette comicité est importante pour l'auteur car elle permet de gagner la  sympathie du lecteur et c'est une façon de prendre le contrôle de la situation. L'ironie utilisée par l'auteur c'est sa manière personnelle de contrôler et d'accepter une période de sa vie que, si elle la prenait sérieusement, elle se serait probablement suicidée à cause des humiliations fréquentes. Le ton comique permet sa "réhabilitation", et montre sa supériorité, sa capacité de se moquer de ce qui avant l'aurait fait beaucoup pleurer.L'autre ton est le satyrique. La satyre, une forme littéraire qui a pour but de corriger les vices des gens, est ici montrée comme des formes rhétoriques telles que : la métaphore, l’hyperbole et la caricature. C’est important de savoir l’objectif de ce ton satyrique : l’auteur ne critique pas le Japon, elle critique le monde de l’entreprise et les abus de pouvoir présents dans ce monde. Avec ces figures rhétoriques, elle réussit à exprimer son indignation et à nous faire vraiment voir, avec un nouveau regard tout le microcosme des grandes entreprises. Par exemple, on peut deviner l’hyperbole, l’exagération dans des descriptions des lieux de travail. Ces lieux de travail paraissent plutôt des lieux de torture, où une personne doit souffrir « pour le bien commun de l’entreprise ». Même y parviennent des « crimes » , comme le viol émotionnel de Fubuki par son supérieur. Les situations et les personnages se dévoilent grâce à des caricatures ironiques. Presque tout le monde est caricaturisé : Fubuki, la froide beauté parfaite ; M. Omochi, présenté comme « une balle de graisse  vivante » ; le détestable M. Soito… Même le vice-président est caricaturisé, il est presque divinisé par Amélie.Les restantes situations sont décrites par des métaphores, qui ont pour but de dévaloriser ce qui est train d’être comparé. Un fois encore, l’auteur prend le contrôle de la situation. Une autre caractéristique du monde du travail au Japon, c’est l’hiérarchie rigide. Chaque employé a une place exacte dans la pyramide et il est conscient de sa `place. Il y a ceux qui dominent et ceux qui sont dominés. Amélie appartient théoriquement au dernier groupe. Cependant, avec son ironie efficace et impitoyable, elle devient une « dominatrice » car elle se montre supérieure à tout ce qui vient de lui arriver. Elle ne prend pas ses humiliations au sérieux. C’est à travers de ce contrôle de son passé, de soi-même, qu’elle réussit à renverser les rapports de pouvoir. Autrefois, elle était une simple subordonnée. Maintenant, elle la « reine » de son territoire. Par exemple, cette situation est montrée quand Amélie est nommée « dame pipi » dans l’entreprise. À cause de sa nouvelle fonction, elle doit nettoyer et surveiller les toilettes, aussi bien celles des femmes que celles des hommes. Or, il est évident que la présence d’une femme, occidentale en plus, dans les toilettes des hommes va les intimider, et il y en a quelques-uns qui laissent d’y aller à cause d’elle. On voit ici comment un travail qui apparemment serait l’humiliation absolue pour elle, se transforme en une situation complètement différente : Amélie est celle qui contrôle, celle qui domine ses supérieurs. Elle est donc, la supérieure à eux.
J    Je crois qu’un autre but de ce roman est celui de condamner le mauvais traitement des femmes dans le lieu de travail. Les entreprises sont très souvent misogynes : les femmes gagnent parfois moins salaire que les hommes, elles souffrent plus qu’eux pour avoir une promotion. C’est une situation terriblement injuste et Amélie le vit à la première personne. Mais, comme avant, au lieu de présenter un traité lourd sur les traitement des femmes, elle donne au roman un ton moqueur pour bien expliciter l’injustice existante. Avec cette ironie divertissante mais « coupante » elle exagère un peu la situation afin que nous puissions voir et comprendre bien ce qui se passe vraiment. En plus, de cette façon, un autre rôle très important est donné à l’auteur : celui de juge. Elle peut juger tout ce qu’elle veut car elle est la narratrice et c’est son passé ce qu’elle est en train de raconter, pas quelqu’un d’autre.
     En conclusion, il s’agit d’un roman très amusant, efficace et satirique qui présente une position contraire au monde injuste de l’entreprise, ses vices, ses abus de pouvoir, sa misogynie, son autorité et sa répression des « prises d’initiatives ». Car dans ce monde, il faut seulement obéir. Il n’y a aucune individualité, tout y est collectif. Un roman fabuleux , sans doute.



      Helena Holvikivi 2º bachillerato B a écrit:


     Ce roman d ’Amélie Nothomb a été publié en 1999. La base du roman est autobiographique car il raconte un épisode de la vie de l’auteur. Dès le début, le roman présente un style comique en premier lieu pour dénoncer la misogyne (en rendant compte du mauvais traitement d’Amélie dans l’entreprise) et aussi pour transmettre de la sympathie à travers la satire (forme littéraire dont l’objectif est de corriger les vices du comportement humain). Ce roman est une satire du monde de l’entreprise japonaise, donc il prétend corriger ce qu’il y a du mauvais dans ce monde. L’auteur se sert des figures rhétoriques telles que : l’ironie, la métaphore, l’hyperbole et la caricature. De cette manière, elle utilise la caricature pour déformer des personnages tels que  M. Saito  qui est présenté comme une personne grande et obèse, le vice-président comme Dieu , et le président comme le Diable. La protagoniste, qui est aussi la narratrice et l’auteur, descend les échelons de l’entreprise avec de l’humiliation car sa dernière tâche  consiste en rester aux toilettes comme « dame pipi ». Cependant, Amélie ne perd pas la face et accomplit sa tâche jusqu’à la fin, sans sentir aucune humiliation, donc à la fin la situation est renversée : Amélie se révèle supérieure aux autres personnages, grâce à l’ironie parce que à la fin elle se sent heureuse malgré la cru la froideur et la cruauté de l’entreprise, cela est montré à la fin du roman. Les derniers jours, quand elle est sur le point de finir son service, elle se trouve à un étage suffisamment haut qui lui permet de regarder et admirer la ville, et elle sent bien car pas tout le monde peut accéder à ce privilège-là. Amélie retourne en Belgique où elle publie son livre et son ancienne supérieure Mori (Fubuki) la félicite à travers une lettre écrite en japonais. Le style comique et moqueur permet à l’auteur de juger le traitement donné aux femmes dans le monde de l’entreprise japonaise où la femme a beaucoup de contraintes (elle doit se marier avant  les 25 ans par exemple). L’ironie en plus, lui permet de dénoncer la misogyne et encrer la fiction dans le réel. C’ est-à-dire, à travers son histoire elle dénonce la réalité des femmes. Amélie ne se décrit pas car c’est elle qui juge l’entreprise et la situation des femmes au travail. En conclusion, ce roman   autobiographique traite le monde l’entreprise japonaise qui est basé sur un modèle paternaliste où on doit avoir du respect , de  l’autorité et  de la loyauté. D’autre part, on voit les difficultés  qui souffre l’étranger qui ne s’intègre pas dans une société qui l’impose des règles si différentes. Enfin, dans ce roman il y a une quête d’identité de la part de l’auteur puisqu’elle est née au Japon et elle y a passé son enfance, mais plus tard elle est rentrée habiter la Belgique, et elle ne connait pas vraiment son identité. À travers ce roman, il y a une comparaison entre le monde oriental et l’occidental : la culture, la langue, les traditions sont très différents mais c’est surtout dans le monde de l’entreprise que les différences s’accentuent. En Occident, l’individu compte pour l’entreprise, tandis que dans l’entreprise orientale, l’individu est défini par elle. Par exemple, Fubuki lui dit qu’elle doit se consacrer seulement au travail et qu’elle doit souffrir pour monter les échelons de l’entreprise.
J    J’ai bien aimé le roman car il nous permet d’avoir des connaissances de deux mondes très différents en tous les aspects, et malgré la cruauté et l’autorité vécues, une personne peut surmonter les obstacles et être heureuse car la situation peut être toujours renversée.



LA RONDE une nouvelle de Le Clézio

Nous venons d'analyser cette nouvelle du reccueil "La ronde et autres faits divers" du prix nobel de littérature 2008, J.M. Le Clézio et après avoir fait l'examen, nous avons choisi celui de Daniel Oliveira et celui de Daniel Vázquez  pour les publier. 21 des 24 élèves  de Première ont réussi leur examen. Bravo!!.



Cette nouvelle raconte l'histoire de deux jeunes filles, Martine de dix-sept ans, une fille très timide, et qui manque de caractère, et Titi, une fille plus forte, de dix-neuf ans. Elles vont se rencontrer pour faire quelque chose, une épreuve, inconnue jusqu'à la fin. On découvre finalement que Martine va faire un vol, pour être acceptée dans le groupe d'amis, mais quand elle essaie de s'évader, elle est renversée par un camion bleu. 
La structure de la nouvelle est très simple, parce qu'elle est écrite à partir d'un fait divers:
Avant l'événement, on connait qui est Martine et Titi. On sait qu'elles se sont rencontrées pour faire quelque chose de dangereux, mais on en sait pas quoi. Elles prennent les vélomoteurs et vont commencer l'événement, l'épreuve, la ronde.
L'événement  commence avec le rendez-vous des filles, et aussi du petit ami à Titi, qui va lui prêter son vélomoteur. On ne connaît pas le nom du garçon, mais ce n'est pas nécessaire puisque l'auteur veut seulement créer la personnalité de Titi.
Martine ne voulait pas faire l'épreuve dans la ville, parce qu'il y avait beaucoup de gens, mais Titi l'impose cette condition. 
Après, la ronde commence. Les filles cherchent quelque chose, et elles sont dans la Rue de la Liberté. Martine écoutait les bruits des immeubles, les gens qui l’observaient et elle se sentait obligée de passer “l’examen”. 
Finalement, elles découvrent une dame avec un tailleur bleu, qui avait un sac noir, grâce à la lueur du soleil dans le fermoir du sac. C’était le moment. Martine commence à s’approcher de la vieille dame, qui découvre aussi qu’elle est en train d’être regardée par les filles. 
Il y a aussi un camion, qui fait une ronde dans la ville. Le camion, qui ressemble à un animal, roule à une grande vitesse dans les rues de la ville. 
Martine fait le vol et s’enfuit. Titi, qui avait la fonction de vérifier que Martine allait faire l’épreuve, pour être acceptée, était déjà partie.
 À la fin, Martine reste tombée dans le sol de la rue de la Liberté. Il y a aussi des méandres noirs à côté d’elle. Martine a été renversée par le camion.

Pour moi, le thème abordé dans cette nouvelle  est le passage de l’enfance au monde adulte et qui se fait  toujours avec e la souffrance. D'autre part, je crois que l’auteur critique l’exclusion dans la société, parce que Martine va passer l’épreuve pour être acceptée dans le groupe de Titi. 
Enfin, on peut aussi remarquer que tout cela peut être une punition. Martine a fait une infraction à la loi, et tout ce que nous faisons a des conséquences. 

Les personnages principaux de cette nouvelle sont: 
- Martine: Elle est une jeune fille de dix-sept ans, très timide et qui manque du caractère.
Elle est très jolie, mais elle n’aime pas les garçons. Elle représente la faiblesse. Martine regarde Titi comme une héroïne, donc elle va faire n’importe quoi pour être acceptée.
-  Titi: Elle est une fille de dix.neuf ans, copine de Martine dans l’école de sténotype.
Elle n’est pas jolie, mais elle a un petit ami. Elle représente la forteresse, et c’est elle qui va contrôler Martine pendant l’épreuve.
 Un autre symbole de la faiblesse est la vieille dame du tailleur bleu, qui va être volée.

Cette nouvelle a été écrite par Le Clézio ( prix nNobel de la Littérature en 2008) à partir d’un fait divers, un genre journalistique. Les faits divers parlent sur des événements de rupture avec le prévisible, avec le quotidien. Dans les faits divers, les personnages sont faibles (Martine), et il y a une fin tragique.

Le Clézio écrit à partir de ce fait divers-là une magnifique nouvelle courte. il utilise les couleurs, les bruits, le soleil comme des éléments symboliques:
Le bleu représente la mort, et il est présent dans le tailleur de la dame; c’est aussi la couleur du camion; le noir et le rouge, qui sont dans le sang, et aussi un autre élément très important: la lueur, provoquée par le soleil. C’est la lueur qui attire l’attention de Martine. Est-ce qu’on peut dire que le soleil a tué Martine? Peut-être.

L’auteur utilise aussi les bruits des immeubles, les bruits des gens, le bruit du camion pour représenter la fatalité en marche (dans la ronde). 
Tout ce que nous faisons a des conséquences. Comme j’ai déjà dit, on peut penser que l'auteur nous montre la punition de Martine, qui a fait une infraction à la loi. Elle a volé le sac, et après elle est tuée.

J’ai beaucoup aimé cette nouvelle parce que l’auteur donne des détails merveilleux et utilise beaucoup d’éléments symboliques pour nous raconter une histoire aussi simple comme un fait divers d’un journal. Absolument fantastique!!

 Daniel Oliveira Royo 1ºBachillerato A



“ La Ronde est une nouvelle qui se trouve dans le livre “La Ronde et Autres Faits Divers » du prix Nobel de littérature 2008, Jean-Marie Le Clézio.
            La nouvelle raconte l’histoire de deux filles, Titi de 19 ans, et Martine de 17 ans. Titi propose à Martine de faire ça ( à la fin le lecteur saura que le « ça » c’est voler) pour s’intégrer dans son groupe d’amis. Elles vont en ville et elles regardent le sac d’une vielle dame qui a une lueur très forte grâce au soleil. Martine vole le sac et Titi, qui est là seulement pour regarder si Martine aurait le courage de faire ça, sort. Martine, avec sa moto, rentre dans un carrefour et elle est renversée par un camion.

            Cette nouvelle est très bien écrite, non par l’histoire elle-même, mais par la forme comment l’auteur décrit les événements et comment ça aide le lecteur à prévoir la chute.
            En premier lieu, nous pouvons commencer à voir ça dans la description des personnages. Titi est une jeune fille avec des cheveux rouges et un caractère très fort, avec lequel, elle contrôle Martine. Martine, par contre, est une belle fille, avec peur des garçons et avec un caractère très faible, timide, et indifférente. Martine voit Titi comme une idole et essaie de faire tout ce qu’elle lui dit. Aussi elle veut s’intégrer dans un groupe. Le troisième personnage, qui n’a pas un rôle très important pour l’histoire mais si pour le sens du texte est la vielle dame. Elle est faible, avec un vêtement bleu, et un sac noir dont la lueur avait attiré l’attention de Martine, et elle aussi est une victime très bonne pour le vol.
            Avant le vol, il y a des éléments qui devraient être analysés aussi. Au commencement de la nouvelle, nous ne savions pas ce qu’elles sont en train de faire parce qu’elles seulement parlent de « ça ». Maintenant nous pouvons voir l’importance des descriptions comme les cheveux de Titi, de couleur rouge qui symbolise la violence, et le comportement de Martine, indifférent et d’accord avec ce que Titi dit. D'autre part, elles choisissent la ville comme lieu pour faire « ça » parce qu’il y a plus de personnes. Maintenant il y a un autre élément qui joue un rôle très important :  le bruit. Non seulement les bruits de la ville mais aussi, et principalement, les bruits du cœur de Martine. Le « bom, bom » permanent est plus fort quand le moment de la vérité (le vol) s’approchait.
            Au moment du vol il y a beaucoup d’éléments très importants. Le premier  c’est la lumière, qui fait briller le sac de la vielle dame. Ça va aider Martine, mais ça va se révéler un élément mauvais, parce que si on n’avait pas fait briller le sac, elle n’aurait pas, peut être, volé le sac et elle n’aurait pas été reversée par un camion, et c’est ici où le hasard apparaîtl. C’est le moment où toutes les personnes disent, « Si elle… », Mais la verité est que le hasard est l’élément le plus important de tous.

            Il y a aussi d’autres éléments qui aident l'auteur à construire  la nouvelle ,ce sont les couleurs : Le bleu du vêtement de la vielle dame et du camion représente un changement brusque, le rouge des cheveux de Martine, la violence, et le noir du sac et du sang de Martine la tragédie.
            Le titre la « Ronde », n’est pas un titre tiré au hasard. La ronde symbolise aussi bien la recherche des filles d’une victime que celle des animaux, comme la ronde des villes.
            Le principal thème abordé est l’intégration des ados dans les groupes d’amis qui symbolise une des moments les plus importants dans la vie des gens. On peut aussi penser à retenir  de ce texte que quelques actions ont une conséquence.
            Cette nouvelle a beaucoup d’influence du genre journaliste grâce a des grandes descriptions et le caractère tragique comme une bonne nouvelle de faits divers. On a aussi un contenu très moral où l’auteur montre comment toutes les actions ont des conséquences.
            J’ai beaucoup aimé l’histoire parce qu’il a beaucoup de descriptions, elle est très bien construite et elle n’est pas ordinaire, mais plutôt originale.

Daniel Vazquez 1º Bachillerato B

lundi 7 mai 2012

CONCOURS DE COURT-MÉTRAGES 2012. UN HOMMAGE À LA CRÉATION

Dans le cadre du concours de court-métrages organisé pour rendre hommage à la création, les élèves de seconde, première et terminale ont réalisé neuf films dont nous avons choisi quatre. Les voilà.





Devenir célèbre parfois a un coût très élevé...




Et si ce n'était qu'un ballon qui nous racontait son histoire d'amour?...







Une bénévole vient de naître...



Une journée à Lisbonne peut tout changer...