vendredi 21 décembre 2012

Le dernier jour avant les vacances de Noël. Récit


Les élèves de seconde ont écrit des récits originaux. Nous espérons qu’ils seront nombreux à participer au concours littéraire qui aura lieu au mois de janvier. En attendant, voilà un échantillon de leurs productions.

Le dernier jour avant les vacances de Noël, Marie comme tous ses amis, devait aller à l´école même si'elle n'avait pas à faire plus d´examens. Ces derniers cours étaient comme chaque année: elle était fatiguée, ennuyée avec des cours dans lesquels on ne fait rien ou simplement on voit des films ; à tel point que l’on est fatigué d'en voir autant dans si peu de jours, et les jours semblent passer lentement par le désir d'atteindre les vacances. Mais, cette année, 2012, ce n'était pas comme les autres.

Finalement, le jour si attendu est arrivé, le dernier jour de cours. Tout s'est passé normalement et Marie a commencé à devenir nerveuse quand le professeur a dit qu'il donnerait les notes, mais soudain, comme les mayas avaient annoncé, le soleil s'est couvert, laissant seulement l'obscurité et le silence et Marie est restée sans connaitre ses notes....

Carmen Pérez 4º ESO A

lundi 17 décembre 2012

Les femmes du sixième étage

Peut-on voir un certain parallélisme entre l’Espagne et le Portugal des années soixante et le moment actuel ? Sofia Coronel a présenté en cours un exposé intitulé Émigrer ou rester? qui nous a apporté beaucoup d’information sur le présent. Voilà son analyse du film  Les femmes du 6ème étage, où elle commente le phénomène de l’émigration dans un contexte qu’on croyait dépassé.


Titre: Les femmes du 6ème étage
Réalisateur: Philipe le Guay
Acteurs: Fabrice Luchini, Sandrine Kiberlain, Natalia Verbecke, Carmen Maura, Concha Galán, , Lola Dueñas, Berta Ojea,, Nuria Sole.
Genre: comédie
Date de sortie: 16 février 2011

Synopsis
Ce film a lieu à Paris dans les années 60.
L’histoire se développe autour d´un homme, Jean Louis, et des bonnes Espagnoles qui ont migré en France à la recherche  de travail.
Les rapports et la vie commune entre Jean Louis et ces bonnes qui habitent au 6ème étage de son immeuble, vont faire qu’il pense à beaucoup de choses, entre elles, à son mariage.

Personnages principaux
Maria: Elle est une bonne qui vient d´Espagne et elle est engagée par la famille de Jean Louis.
Elle a un caractère très fort, elle est  courageuse, persistante, un peu timide et amusante.
Maria habite au 6ème étage avec les autres bonnes et pendant sa coexistence avec  Jean Louis, ils commencent à construire des liens.
Cette femme a un enfant qui est resté en Espagne.

Jean Louis: Marié avec Suzanne.
Homme d´affaires.
Simple, pratique, bonhomme, sensible et amusant.
Il admire la beauté de Maria et son caractère.

Suzanne: Mariée avec Jean Louis.
Elle est hystérique, râleuse, futile et jalouse.
Elle croit que le mariage est une question économique.
Suzanne évolue au long du film; À la fin, elle comprend les besoins de son mari.
Nous voyons aussi chez Suzanne un côté humain, elle est différente de ses amies parisiennes, tout à fait banales.

Personnages secondaires
Les bonnes: Mari Carmen, Amparito, Maria Isabel, Germanie, Pilar, la concierge, Dolores, Carmen, Teresa, Concepción.
Les enfants
Madame de Brossolette

Contexte Social
Le film se déroule dans les années 60, quand l´Espagne était sous la dictature de Franco (1939-75).
La migration était un fait très habituel dans ce moment à cause de plusieurs événements, entre eux, les bas salaires des travailleurs et l´ouverture des frontières.
L´Amérique traversait une crise économique et les émigrants commencent à partir en France, en Belgique, en Allemagne..
En 1962, l´émigration est déclarée légale.
Les travailleurs qui migraient, n´avaient aucune formation et leurs objectifs étaient de faire des économies pendant 2 ou 3 ans de travail et après, retourner en Espagne pour construire une maison, payer les études de leurs enfants.

Stéréotypes
On peut distinguer le caractère des femmes Espagnoles et des Françaises.
Les femmes riches Françaises sont futiles, elles ne font rien pendant toute la journée et au fond, elles ne sont pas contentes avec leur mariage, parce que pour elles, c’est une question économique.
Les femmes Espagnoles sont courageuses et elles travaillent beaucoup.
Elles vivent avec très peu et dans des conditions difficiles.
Pourtant, elles sont contentes et s´amusent.

Points à remarquer
L´entre aide des espagnoles.
La religiosité a une présence très grande dans la vie des bonnes espagnoles.
Contraste entre les riches et les pauvres
Futilité de Suzanne et ses amies
Courage des femmes de venir d´Espagne à un pays inconnu.
Loyauté des bonnes à l´employeur
Mauvaise éducation des enfants des riches.

Opinion personnelle
J´ai aimé ce film pour plusieurs raisons, entre elles, parce qu´on peut comparer très bien le caractère des espagnoles avec celui des françaises.
Il m´a aussi plu la relation entre les espagnoles et Jean Louis, et comment petit à petit, elles lui font libérer sa personnalité et son caractère amusant.
Je recommande ce film parce que c´est une manière de voir ce qui s´est passé avec les émigrants dans l´époque du régime franquiste.
J´ai aussi aimé voir la vie des espagnoles quand elles retournent en Espagne.


 Sofia Coronel. 2ºBB




jeudi 6 décembre 2012

Meilleurs voeux

Lés élèves de quatrième nous souhaitent de bonnes fêtes et leurs meilleurs voeux pour l'année 2013. Voici les cartes choisies dans chaque classe:

Andrea Escrivà Carreira. 2º B

Awinnie Monteiro. 2º A


Luis Siqueira Saldanha. 2º B


Maria Melo. 2º B

Raquel Lopes. 2º C


Sergio Rio. 2º A


Teresa Ocaña. 2º C



Catarina Marques Braga. 2º B

mardi 13 novembre 2012

Paris, quatre heures


La première séance de cinéma de cette année a été courte ; nous avons vu la cinquième partie d’un film, Nigth on earth (1991), du réalisateur Jim Jarmusch, et on a demandé aux élèves de Terminale de répondre à quelques questions pour vérifier s’ils avaient bien compris car les dialogues sont riches en jeux de mots et abondants en références culturelles.
Ce film présente cinq histoires qui ont lieu en même temps dans un taxi en différentes villes - Los Angeles, New York, Paris, Rome et Helsinki-  et les rapports qui s’établissent entre les chauffeurs des taxis et leurs clients. L'histoire que nous avons commentée est celle qui se déroule à Paris. Voilà la fiche du film, les questions proposées et les réponses d'un de nos copains.






Film: Nigth on earth
Réalisateur: Jim Jarmusch
Année: 1991
Langues: Anglais, français, italien, finlandais
Acteurs de l’histoire qui a lieu à Paris :
Chauffeur: Isaac de Bankolé
Cliente: Béatrice Dalle
Passagers première course: Pascal N’Zonzi et Emil Abossolo Mbo
L’homme de l’accident: Stéphane  Boucher
Paris, quatre heures

1. Nommez et décrivez les personnages qui apparaissent dans l’histoire.
2. De quel pays viennent les deux premiers clients du taxi? Et le chauffeur?
3. Avez-vous compris le jeu de mots qui fait autant rire les “diplomates”? Expliquez-le
4. Pourquoi le chauffeur fait descendre les deux passagers?
5. Commentez la réaction du chauffeur de taxi face à sa nouvelle passagère. Pourquoi est-il aussi étonné?
6.       Imaginez que vous conduisez un taxi et que vous faites un service nocturne. Décrivez votre passager et écrivez une conversation avec lui.

1.       Les deux premiers clients du taxi sont deux africains qui viennent d’une cérémonie à l’ambassade du Cameroun. Ils sont un peu ivres, ils aiment les blagues et ils se moquent continuellement du chauffeur. L’autre passage est une femme aveugle très intelligente qui impressionne le chauffeur par ses confidences, son autosuffisance, indépendance et notion de la réalité; il y a aussi l’homme avec qui le chauffeur a l’accident à la fin du film qui est très fâché et, bien sûr, le chauffeur, qui semble être très travailleur, curieux et capable d’avoir des argumentations avec ses passagers.
 
2.       Les deux premiers clients viennent du Cameroun et le chauffeur de la Côte d’Ivoire.

3.       Le chauffeur est originaire de la Côte d’Ivoire, il est donc ivoirien. Les diplomates se moquent de lui parce qu’il ne conduit pas très bien et ils lui disent qu’il “y voit rien”, qu’il n’est pas capable de voir la route.

4.       Parce qu’ils n’arrêtaient pas de rigoler et de faire de bruit et ils se moquent de lui. Il leur dit que le taxi est son instrument de travail, pas un jouet et qu’il est très fatigué et il ne veut pas de blagues. C’est pourquoi il les oblige à descendre du taxi.

5.       Parce qu’il supposait que cette femme aveugle serait très fragile, qu’elle aurait besoin d’aide et il trouve une femme indépendante, déterminée, intelligente, agressive, capable d’argumenter avec lui et elle lui dit qu’elle sent comme tout le monde, qu’elle n’est pas différente.

6.       5 heures, Lisbonne. Un homme entre dans le taxi. Il n’a pas l’air d’avoir été dans une fête ou similaire.
Chauffeur: Bon soir, Monsieur. Où est-ce que vous allez?
Passager: Bon soir, Monsieur. Avenue de la Liberté, s’il vous plaît.
Chauffeur: D’accord, Monsieur. J’ai passé la nuit à travailler et je n’ai pris que des bourrés. D’où est-ce que vous venez?
Passager: Je viens de faire la même chose que vous. Je travaille aussi la nuit.
Chauffeur: Qu’est-ce que vous faites? Êtes-vous gardien nocturne?
Passager: Pas vraiment, non. J’ai une entreprise et je dois y rester si je veux bien la maintenir.
Chauffeur: Très bien, monsieur. Et, dites-moi. Qu’est-ce que vous pensez de l’économie et des finances de notre pays?
Passager: C’est une question très pertinente, Monsieur. C’est très compliqué. Le gouvernement a augmenté les impôts, les plus jeunes ont plus de difficultés por la consommation et les entreprises, comme la mienne, ont des problèmes. Et nous devons aussi supporter l’augmentation des taxes mais c’est vrai que notre état a une dette brutale et que nous devons la payer si nous voulons nous maintenir dans cette situation d’intégration politique avec l’Europe. Vraiment, je ne sais pas si ça sera positif ou non. On verra.
Chauffeur: Très bien, Monsieur. On est arrivés. Ça a été un plaisir de faire votre connaissance.
Passager: Pour moi aussi, monsieur. Bonne soirée.

 
Tomás Ribeiro
2ème année de Bachillerato

vendredi 9 novembre 2012

"La photo qui tue" d’Anthony Horowitz


Les élèves de seconde ont lu La photo qui tue d’Anthony Horowitz et  nous avons emprunté à Sofía le compte-rendu de cette histoire de suspense qu’elle avait rédigé comme préparation à son examen oral. Pensez-vous que Mathew a raison ou plutôt que son imagination va trop loin ?


Image du Blog poeme2.centerblog.net                Mathew est un garçon qui vit à Londres . Il décide d’aller faire un tour au marché aux puces qui a lieu chaque samedi pas très loin de chez lui, même s’il sait que les affaires qu’on y trouve n’ont pas un grand intérêt; mais Mathew avait du temps à perdre et il voulait acheter un cadeau d’anniversaire pour son père.
                Quand il était sur le point de rentrer une Volkswagen rouge est arrivée et un home élégamment vêtu est sorti de la voiture. Il avait à vendre des vètements, des CD, une Gameboy, une tablette ouija et un appareil photo. C’étit un Pentax en bon état. Mathew a proposé 40 livres et l’homme a accepté. Ensuite l’homme lui a expliqué que les propriétaires des affaires qu’il vendait étaient trois étudiants de Beaux-Arts à qui il louait des chambres. Il y a trois mois qu’ils ont disparu et il vend leurs affaires parce qu’ils lui devaient le loyer.
                Mathew a photographié un miroir et quelques instant plus tard il est tombé,  il s’est brisé et le propriétaire a accusé un garcon qui passait par là en ce moment.
                Mathew prend l’appareil et il rentre chez lui. Il offre le cadeau à son père et celui-là prend deux potos: le cerisier du jardin et Polonius, leur chien. Le lendemain le cerisier était mort .
Mathew se sentait mal à l’aise mais il ne savait pas pourquoi. Ensuite sa mere est venue et a expliqué comment Polonius, qui ne courait jamais, s’était élancé sur la chaussée pendant la promenade,  une Land Rover l’avait écrasé et il n’avait pas survécu.
                Maintenant Mathew a les 24 photos qui étaient su la pellicule oubliée à l’intérieur de l’appareil photo: une photo de groupe, six personnes et les trois étudiants de Beaux –Arts, tous  vêtus de noir. Il regarde toutes les photos. Les étudiants s’étaient réunis dasn une maison abandonée, avec un grimoire et la tablette ouija pour tenter d’invoquer quelque chose. Mathew ne voulait pas regarder la photo de la créature invoquée, il avait peur.
                Il retourne chez lui, Mme Bailey, la femme de menage, lui dit que sa famille est allée au parc de Hampstead. Mathew y va pour les prévenir. Et il croit être arrivé à temps, tout allait bien mais Jamie, son petit frère, dit qu’il a pris une photo, une seule photo, une photo de Londres. Tout d’un coup le soleil disparaît et Mathew reste figé… comme sur une photo.
                J’ai aimé l’histoire parce qu’elle est originale et drôle mais je n’ai pas aimé la fin parce qu’elle est difficile à croire, elle est vraiment “tirée par les cheveux”.

Sofía Segura Falcão.

4º ESO A

dimanche 4 novembre 2012

"Petites pratiques germanopratines" d'Anna Gavalda

Cette année on a décidé de commencer par le début et nous avons proposé aux élèves de Terminale l'analyse de la première nouvelle de Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part, oeuvre qu'ils connaissaient déjà, comme vous savez. L'analyse qui suit est le résultat de l'interro du 26 octobre, c'est à dire d'un devoir sur table rédigé en 55'.
 
 
Analyse de la nouvelle ‘‘Petites pratiques germanopratines’’
« Petites pratiques germanopratines » est une nouvelle courte d’Anna Gavalda qui fait partie du livre Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part avec d’autres douze nouvelles de cet auteur.
 
Anna Gavalda est un ecrivain très à la mode en France et elle est une des plus connues nouvellistes femmes de ce pays. Elle est capable d’attirer l’attention d’un grand public à cause de sa façon de s’exprimer simple et directe et elle engage ce public avec des sujets qui ont quelque chose à voir avec des sujets de leurs vies.
 
L’histoire se déroule à Saint-Germain dès Prés, une partie de Paris  fréquentée par les secteurs les plus riches de la population et par les intellectuels parisiens. ‘‘Germanopratines » veut dire ‘‘ de Saint –Germain dès Prés’’. Le récit s’adresse à quelqu’un qu’on ne connaît pas mais on est capable de dire qu’il/elle a un rapport de proximité avec la femme qui est le narrateur de l’histoire.
 
‘‘Petites pratiques germanopratines’’ est un texte narratif, avec des dialogues qui révèlent la présence du discours direct. Dans le récit on est capable d’identifier une introduction quand la femme (qui est le personnage principale du récit et dont on ne sait pas le nom et qui est une femme d’âge moyen qu’on croit jolie) commence á décrire les circonstances de ce qui s’est passé, elle parle de Saint-Germain dés Prés, du Quartier Latin, de qu’elle était dans la rue pendant la matinée, etc. Après, la nouvelle commence son développement, la femme se croise avec un homme, ils se sourient et elle (qui était cultivée) se rappelle du poème de Baudelaire À une passante sur une situation pareille ; et l’homme s’est decidé à venir parler avec elle, il lui dit qu’il pense que ça serait une chose très stupide de se sourire et de ne pas se revoir et pour ça il l’invite à dîner dans un restaurant; elle accepte. Après la rencontre elle va à un café trés commun (Chiquito) pour se calmer et ensuite elle rencontre l’homme et ils vont dîner ; ils boivent des vins magnifiques et ils parlent des sujets intéressants mais jamais de choses personnelles. À un moment donné le téléphone de l’homme sonne et il répond. Puis il demande pardon à la femme et aux autres clients et le dîner continue. Quand ils étaient sur le point de sortir l’homme dévie son attention de la femme et de son blouson pour voir le message qu’il avait reçu, la femme était vraiment fâchée et quand ils arrivent au taxi qu’elle va prendre et l’homme lui donne ses números de télèphone elle décide de ne plus l’appeler, elle dit qu’elle a son orgueil. C’etait l’état final de l’oeuvre. La conclusion commence à partir du moment où elle avait décidée qu’elle ne voulait pas revoir l’homme. Quand ils commencent à marcher vers le taxi elle avait dejá décidé comment irait terminer ce rendez-vous. Finalement, dans l’histoire on voit très clairement un point d’inflexion quand l’homme n’a pas éteint son portable  et que la femme commence á penser que cet homme n’était pas aussi agréable et dévoué qu’elle le pensait.
 
Cette femme travaillait dans une maison d’édition, elle était cultivée et avec des préférences relativement raffinées mais elle était en même temps trés genuine. Elle garde clairement une relation avec la passante de Baudelaire mais on regarde ces deux femmes de deux points de vue différents, dans l’oeuvre d’Anna Gavalda on voit la femme, ses pensées et comme elle est interpelée par l’homme, dans le poéme de Baudelaire on voit comme un homme regarde une femme qui passe et  regrette de ne jamais la revoir. Malgré ces différences, dans les deux oeuvres on est capable de voir que cette femme est impossible d’atteindre par l’homme, même s’il s’efforce beaucoup, la femme est fugitive, indépendante et avec des convictions, á la fin, la femme s’en va, elle est disparue et les hommes seulement peuvent le voir ‘‘dans l’eternité’’.
Personnellement, j’ai beaucoup aimé  cette nouvelle, c’est une oeuvre avec une expression très claire, très directe, avec une simplicité qui la caracterise mais ça ne veut pas dire qu’elle soit  peu travaillée ou peu élaborée, au contraire, avec des pensées et des élaborations linéales l’histoire a une dimension qui est capable d’attraper  les lecteurs. Je pense que ‘‘Petites pratiques germanopratines’’ est une oeuvre très intéressante, avec laquelle nous sommes capables de comprendre beaucoup de choses et je recommande tout à fait sa lecture .
 
 
Tomas Ribeiro Rosa
2ème année  de Bachillerato
 

mardi 30 octobre 2012

Un livre qui a changé ma vie

Julia Fernández, professeur de français à notre lycée pendant six ans et créatrice de ce blog, a été notre première invitée. On lui avait proposé comme sujet un livre qui aurait beaucoup influencé sa jeunesse mais, le moment venu, ça a été une surprise qu’elle nous parle du livre que nous allions commencer quelques semaines plus tard. Elle a fait son hommage personnel à L’étranger et à son auteur. Le nôtre sera de lire l’œuvre d’un écrivain qui aurait eu cent ans en 2013.




Le 15 octobre Julia, notre professeur de français de l’année dernière nous a fait une visite pour parler sur le livre L’étranger de l’auteur Albert Camus.

Elle nous a dit que ce livre a provoqué un sentiment très fort dans sa personnalité.

Albert Camus a écrit L’étranger en 1942. Camus est un auteur très important dans la littérature française et aussi mondiale, et il a gagné le prix Nobel de littérature.
Camus a été un journaliste attiré par le parti comuniste.

Julia a lu ce livre quand elle avait 17 ans et à cette époque là l’Espagne avait une dictature avec Franco, et l’état faisait beaucoup de pression sur les personnes, ce qui provoquait un énorme mécontentement social.
Donc, pendant les annés 70, les jeunes principalement se sont révoltés à plusieurs reprises contre le régime, et avoir lu le livre de Camus, qui l’a marquée, sera aussi pour Julia une raison de se révolter.

Le livre a deux parties, la première (chapitres 1 à 6) qui est caractérisée par la fragilité du personnage principal, Mersault, une personne sincère qui ne ment jamais. Dans le chapitre six ce personnage souffre une revelation.
Tout le livre s’insère dans la théorie de l’absurde que Camus présente : « nous sommes nés pour mourir », et ça nous fait beaucoup réfléchir.
Il y a aussi un thème polémique: le personnage Mersault est jugé par la société, mais nous ne savons pas si c’est pour quelque chose qu’il avait fait, ou pour quelque chose qu’il n’avait pas fait aux yeux de la societé.
Julia nous a décrit le livre très passionément et personnellement elle m’a captivé et m’a donné envie de commencer sa lecture.

Elena Espejo
2ème année Bachillerato

vendredi 12 octobre 2012

"Crime circus" d'Alain Demouzon

Connaissez-vous le commissaire Bouclard? C’est un policier qui « boucle » les enquêtes qu’il mène avec une efficacité digne de Maigret. Et, à différence de son prédécesseur, seulement  en quelques pages.
Alain Demouzon (1945) nous propose des énigmes à résoudre en suivant les mêmes pistes que le commissaire et son adjoint, l’inspecteur Letroc. Mais, parfois -il faut l’avouer- notre solution est un peu différente de celle de Bouclard. C’est ce qui nous est arrivé tout en enquêtant sur Crime circus.
Cliquez sur ce lien si vous voulez lire l’énigme et la solution proposée par l’auteur. Lisez après nos conclusions et dites-nous avec qui vous êtes d’accord .
 

Moi, le commissaire Bouclard, j’ai trouvé le meurtrier, ou plutôt, l’assassin, Rosita.
Tout s’est passé de la manière suivante : Cuchillo et Rosita étaient ensemble.
Ils étaient en train de parler et soudain Cuchillo a demandé à Rosita de lui tenir la cigarette qu’il fumait.
Rosita avec son rouge à lèvres a tâché la cigarette, Cuchillo a promis à Rosita de lui apprendre à jouer son numéro de lancement de poignards.
Rosita, très confiante, par hasard, lui a enfoncé le poignard et avec la peur, elle s’est échappée. 

Raquel Boullosa, Sofia Ares et Sofia Coronel   2ème année de Bachillerato

 

 

-Bon, je pense qu’il y a seulement une option.
-Et c’est laquelle ?
-Myriam – je dis finalement.
-Myriam ?- demande Alberti très surpris. – Elle n’est pas capable, vous pouvez oublier cette idée.
-Bon, je ne sais pas. Peut-être Letroc a un peu raison… - dis-je déjà avec une autre idée dans la tête.
-Oui ! – dit Letroc enthousiasmé par la reconnaissance de son travail – Il y a beaucoup de pistes : La cigarette, sa présence dans la roulotte peu de temps avant que Cuchillo soit tué…
-Bon, je ne peux pas l’accuser avec ces pistes, je vais rechercher autour d’elle.
-Ok, nous  y allons maintenant ?
-Je retourne au poste de police. Letroc, restez ici et  assure-toi  que le corps arrive à la morgue en sécurité. Je parlerai avec vous plus tard, M Alberti – cela dit, je fais demi tour et je vais à la voiture de police en écoutant un tout bas « À bientôt » de M Alberti.
Dans mon bureau, je prends une tasse de café et je m’assieds dans le grand fauteuil devant la table en bois.
Je pense à ce meurtre, très étrange, très complexe, avec beaucoup de possibles assassins.
Je prends une feuille de papier et j’écris :
-Myriam
-Rosita
-Chuck
-Alberti
Alberti ne pouvait pas le faire, il avait été dans les coulisses pendant tout lepetacle, et n’importe qui pourrait dire que c’était vrai. Myriam avait une raison et l’opportunité ; elle pouvait. L’avoir fait avant d’aller aux coulisses, après sa dispute avec Cuchillo.
Rosita était la copine de Cuchillo, mais pourquoi  sa visite à la roulotte de son amour avant le spectacle? Peut-être une derrière révision du numéro avant d’entrer en piste ? Ou non... Peut-être elle avait découvert son affaire avec Myriam et elle l’a tué dans une démonstration de rage.
Mais non, mon instinct me dit que c’est pas Rosita… Elle n’était pas si faible pour suivre un élan de rage.
Enfin, il y a Chuck. Il avait une raison aussi… Il était jaloux parce qu’il aimait Rosita. C’est possible. Il tue Cuchillo  et il gagne Rosita. C’est ça ! Je l’ai découvert ! Je me lève et je prends le portable pour demander à Letroc quelle était la déclaration de Chuck et où il avait été pendant le meurtre.
Nous parlons pendant 5 minutes.
Dans la conversation, j’étais en train d’expliquer mes soupçons sur Chuck, mais Letroc insistait sur Myriam. Il m’a dit que Myriam avait des motifs plus forts pour tuer Cuchillo, et que les pistes que j’avais sur Chuck n’étaient que des soupçons. Enfin on a décidé   d’interroger Myriam ce jour-là.
Plus tard, dans le cirque, nous parlons avec Myriam et on lui pose des questions :
-Mademoiselle, pourquoi la dispute entre vous et Cuchillo le jour de sa mort ? Quel était le sujet de la conversation ?
Myriam avait l’air confus et elle nous raconte que le jour du meurtre elle n’avait pas eu de dispute avec personne. Elle était toute la journée dans les coulisses pour pratiquer un nouveau numéro.
-Ça change tout ! – dit Letroc.
-Pardon ? Je ne comprends pas – dit Myriam avec l’air plus perdue qu’avant.
-Ça change tout !! – J’insiste.
-Mais inspecteur, pourquoi vous dites ça ?
-La clé était ici ! – je dis à Myriam.
-Je ne comprends rien.
-Si vous ne vous êtes pas disputée avec Cuchillo… - je dis alors que je vais jusqu’à la fin de la roulotte de Myriam et je retourne -, pourquoi on pensait ça ? Je vous donne la réponse, car il y a une personne qui n’avait pas dit la vérité…
-Et…
-Et cette personne c’est le garçon de piste !
-Le garçon de piste? Vous voulez dire Julien ?
-Oui, Julien ! Alberti m’a dit qu’il travaille ici depuis longtemps, et que depuis trois ans il était différent.
-Pensez avec moi ! – je dis comprenant tout le mystère. – trois ans c’est le temps que Cuchillo a travaillé ici, et Cuchillo n’aimait pas le garçon.
-Ah ! Je comprends ! Je me rappelle d’une chose bizarre. – dit Myriam. – la semaine dernière j’ai écouté une conversation entre Julian et une femme quand il était en train de nettoyer les cages des lions. Je les ai écouté parler d’un plan, mais ils l’appelaient « le plan », et c’est ça qui a attiré mon attention. Ça vous aide ?
-Oui ! Merci, mademoiselle. Au revoir !
Plus tard dans mon bureau je parle avec Letroc.
-Avec qui tu penses que Julien était en train de parler ?
-Je ne sais pas- je réponds.
Quelque chose manque… À la fin il y a eu seulement une dispute, entre Rosita et Cuchillo, Julien avait parlé avec une femme, et il avait menti sur la présence de Myriam dans la roulotte.
-Vous croyez que… C’est possible ? Julian peut-il être l’assassin ?
-Mais oui ! La femme avec qui il avait parlé c’était Rosita. Peut être, il aimait Rosita, et c’était clair qu’il voulait le travail de Cuchillo depuis longtemps. Il nous a menti car après la visite de Rosita à Cuchillo (ça explique la cigarette), il est entré et il a tué Cuchillo !
-Et Rosita ? Elle l’a aidé ?
-Je ne crois pas. Elle était dans les coulisses avec Chuck et Alberti.
-Mais elle est peut être une complice aussi. Elle savait du plan de Julien.
-Venez ! Nous devons visiter Julian ! – je dis finalement.
Deux  jours plus tard :
-Nous avions raison, l’assassin était Julian, et nous avons gagné dans le tribunal, la vie est bonne !! – Je dis à Letroc.

Claudia Ferreira Cajada, María Freitas de Amaral et Vicente Teixeira  de Sampayo  Rodrigues
2ème année de Bachillerato

mercredi 26 septembre 2012

On a joué avec la LITTÉRATURE

Oui, avec la littérature en majuscule. Les vacances étaient trop près, notre français un peu engourdi et on nous a proposé ce petit exercice : À partir d’un extrait du roman Nana, d’Émile Zola, il fallait créer une histoire, deviner ce que Georges, dont nous ne connaissions ni l’âge ni les propos, allait faire en s’échappant par la fenêtre. Voilà le texte de Zola et la suite que nous avons donnée à la fugue de Georges. Même si nous n’avons pas lu Nana , nous nous sommes un peu approchés de la figure de cet écrivain dont nous avions entendu parler à propos du célèbre J’accuse.

L'après-midi, elle éprouva une inquiétude. Georges, qui tout de suite, au sortir de table, s'était plaint d'une lourdeur de tête, parut peu à peu envahi par une migraine atroce. Vers quatre heures, il voulut monter se coucher, c'était le seul remède; quand il aurait dormi jusqu' au lendemain, il se porterait parfaitement. Sa mère tint à le mettre au lit elle-même. Mais, comme elle sortait, il sauta donner un tour à la serrure, il prétexta qu'il s'enfermait pour qu'on ne vînt pas le déranger; et il criait : « Bonsoir! À demain, petite mère ! » d'une voix de caresse, tout en promettant de ne faire qu'un somme. Il ne se recoucha pas, le teint clair, les yeux vifs, se rhabillant sans bruit, puis attendant, immobile sur une chaise. Quand on sonna le dîner, il guetta le comte Muffat qui se dirigeait vers le salon. Dix minutes plus tard, certain de n'être pas vu, il fila par la fenêtre, en s'aidant d'un tuyau de descente; sa chambre, située au premier étage, donnait sur le derrière de la maison. Il s'était jeté dans un massif, il sortit du parc et galopa à travers champs, du côté de la Choue, le ventre vide, le cœur sautant d'émotion. La nuit venait, une petite pluie fine commençait à tomber.
Émile Zola, Nana, chapitre VI

Il est arrivé au sol, et il a éprouvé une sensation de bonheur, il s´est senti comme un prisonnier en train de s´échapper.
Sa mission: arriver le plus rapidement possible chez Michelle. La fête avait déjà commencé. Il allait demander à ses parents s´il pouvait y aller, mais il savait que c´était impossible à cause de ce qu´il avait fait dans le passé.
Il avait déjà couru la plupart du chemin, et il écoutait la musique au fond de la rue. Quand il était arrivé, la fête était dans son point culminant. Il est entré dans la maison et tout de suite il a vu Michelle avec ses amis Elle portrait une jupe blanche avec une blouse bleue serrée et brillante.
Il a gagné du courage et il est allé à côté d´elle et ils ont commencé à parler amicalement. “Qu´elle est jolie!”, a –t-il pensé. Il a parlé aussi avec quelques amis de Michelle, et il a commencé à s´amuser alors qu´il buvait un verre d´un jus qui avait un goût étrange.
La musique était géniale, Michelle était parfaite…. Mais il n´était pas heureux. Les conséquences de sa fugue ne seraient pas bonnes. Sa mère probablement se sentirait trompée, et son père, bon… son père serait furieux avec lui pour s´être échappé de la maison pour aller à une fête.
Une fête seulement. Ses parents seraient capables de lui interdire d´aller au camp de vacances avec son cousin Jean-Pierre. Il pouvait être avec Michelle dans l´école, n´est-ce pas?
Ou il pouvait l´inviter au cinéma, c´est vrai. Donc, que faisait-il lá, dans cette fête, entouré de jeunes qu´ils ne connaissait pas? Il est allé s’excuser auprès de Michelle et lui dire au revoir, et il s’est senti bien quand il a vu qu´elle préférait qu´il reste. Il a dit une dernière fois: -Je suis desolé.. Et il est sorti de la maison, qui était pleine d´ados amusés qui dansaient au rythme de la musique disco.
Le chemin pour retourner chez lui, tout de suite lui paraissait trop long, plein d´obscurité et de silence.
Avant, quand il était en train d´aller à la fête, il n´avait pas réalisé ça avec l´enthousiasme et l´adrénaline.
Pendant son retour, il s´est rendu compte qu´il avait été très stupide et irrationnel. Il est entré chez lui par la porte de la cuisine. Il pouvait écouter la télé et le petit ronflement de sa mère. Son père était déjà dans leur chambre, probablement, le travail dans le magasin était dur les dernières semaines.
Il a monté les escaliers en silence et il a ouvert sa chambre avec la clé qu´il avait sauvée dans ses pantalons. Il est tombé et il a coupé son portable.
Au moment où il ferme ses yeux, il écoute la porte qui s´ouvre.
Il sent la main de sa mère sur sa tête et il écoute un doux “ Bonne nuit!”
Sa mère n´avait pas encore fermé la porte et il s’était déjà endormi.
Claudia Ferreira Cajada et María Freitas do Amaral
2ème année de Bachillerato
 
George s’est échappé de sa maison et,  la vérité est qu’il n’était pas malade du tout! Son objectif a été de prétendre qu’il était malade pour que sa mère pense qu’il était seulement dans sa chambre en train de dormir.
Il est arrivé au jardin, vide et sombre. Dix heures du soir. Aucun bruit dans la rue. Soudain Tommy, son chien, est apparu et il a commencé à aboyer comme un fou, mais Georges a été capable de l’apaiser. Cependant, quand Georges était en train de calmer Tommy, il s’est écrasé contre la boîte aux lettres du jardin. Il a vu beaucoup de lettres  dans le sol, et aussi une clé d’or brillant avec le numéro 13 enregistré sur elle. “Qu’est ce que cette clé ouvrira?” Georges a pensé. Il est allé a la maison numéro 13, qui était abandonnée. Il a ouvert la boîte aux lettres de la maison et soudain…. Puff. Il était dans la mer. Dans la nuit presque d’une autre planète. Il a commencé à plonger  mais il s’est écrasé contre une pierre marine et il est tombé inconscient…
Georges n’a jamais eu une famille, ni un grand château, n’il s’est échappé de sa maison. Georges est un garçon de 17 ans, orphelin, qui habite dans un hôpital psychiatrique où habitent aussi d’autres jeunes avec le même problème que lui: la schizophrénie. Il a eu une attaque et il s’est endormi. Tout a été seulement un rêve, ou …, est-ce que ça a été un cauchemar?
 Alessandra Monedero, 2ème année de Bachillerato


lundi 25 juin 2012

GROUPE DE THÉÂTRE "GINER DE LOS RÍOS"

Pour tous les acteurs qui ont joué dans le groupe de théâtre du lycée espagnol... UN GRAND MERCI.

LE MIROIR Nº4

http://www.scribd.com/doc/98230676/Le-Miroir2012http://www.scribd.com/doc/98230676/Le-Miroir2012
Nous venons de publier le dernier numéro du journal LE MIROIR réalisé par les élèves de Première AB. Nous vous souhaitons une bonne lecture. Bonnes vacances à vous tous. Et peut-être à l'année prochaine, avec le nouveau professeur de français du lycée!!.

INTOUCHABLES



Nous avons analysé ce film réalisé par Olivier Nakache et Éric Toledano, la dernière semaine de cours et nous avons choisi deux commentaires de deux copains pour les publier. Nous avons tous adoré ce film et nous le recommendons à tout le monde.

Synopsis :
Philippe était un homme riche qui à la suite d’un accident de parapente est devenu tétraplégique et il engage comme aide à domicile  Driss qui est un jeune homme de banlieue qui vient de sortir de la prison.

Situation initiale :
Driss n’avait pas de travail et pour continuer à recevoir  le paiement de l’état il devait avoir des signatures pour démontrer qu’il était en train de chercher un emploi.
Un jour il est allé à un entretien d’un homme, qui s’appelait Philippe, et son assistante, qui s’appelait Magalie. Il était un homme riche et tétraplégique à cause d’un accident de parapente qui a perdu son épouse aussi.  Il  voulait trouver un auxiliaire de vie. Driss ne voulait pas ni attendait pas d’être embauché, il seulement voulait la signature de Philippe. Philippe lui dit de revenir le lendemain pour prendre le papier avec la signature.
Ce jour-là, après l’entretien Driss est rentré chez lui, un appartement où il vivait avec sa tante et beaucoup d’enfants, ses frères.  Quand sa tante l' a vu, elle lui a demandé de sortir parce qu’elle était très  fâchée avec lui car il n’avait pas donné signe de vie durant six mois.

L’élément perturbateur :
Le matin,  Driss s’est rencontré avec Philippe pour prendre le papier et c’est quand Philippe lui a dit qu’il était embauché.  Après il est emmené à la chambre où il allait rester durant le travail et il l'a aimée à l'instant, car elle était très luxueuse.

Complications et résolutions :
Driss allait avec Philippe partout et comme Philippe aimait l’art moderne ils sont allés dans un musée. Ils sont restés une heure en train de regarder un tableau que Driss croyait que ce n’était pas art (comme ça Driss a commencé à peindre un tableau lui-même).
Quand ils sont sortis du musée Philippe a parlé avec Antoine, un bon ami qui voulait parler avec lui pour lui dire que Driss n’avait pas un bon passé. Philippe n'a pas donné d'importance à ce qu'il lui a raconté de Driss et ils sont retournés à la maison.
Au bout du temps, Driss et Philippe deviennent plus proches. Tout le monde  dans la maison aimait Driss. Et il aidait Philippe avec ses crises régulières de douleurs d’une manière que seulement il savait le faire: en conduisant  Philippe dans la rue pour prendre de l'air.
Driss a aussi aidé Philippe avec sa fille, Élisa, qui était très grossière avec les gens, et avec sa relation épistolaire, avec une femme, Éléonore, qu'il n'a jamais vue et à qui il envoie des poèmes. Il ne voulait pas se rencontrer avec elle parce qu’il avait  peur que si elle savait qu’il était handicapé, elle ne voudrait plus parler avec lui. Driss lui ai téléphone et a donné le téléphone à Philippe. Ils ont marqué un rendez-vous et ils se 
sont envoyé des photographies. Philippe demande à Yvonne d’envoyer une photo avant l’accident. Le jour du rendez-vous Philippe attendait Éléonore avec Yvonne et comme elle était en retard Philippe n'a pas voulu l'attendre.Quand il est sorti du café Éléonore rentrait .
Après, dans le jet privé de Philippe il a donné à Driss l’argent du tableau qu’il avait peint. Un autre jour, dans l’anniversaire de Philippe, il a montré à Driss de la musique classique et il lui a montré la musique qu’il aimait.
Driss a aussi aidé Élise avec son petit ami. Adama était le petit frère de Driss et il avait des problèmes avec la drogue. Un jour il est allé se réfugier dans la maison de Philippe. Driss lui a raconté tout sur sa famille et tous ses problèmes. Philippe a dit à Driss qu’il devait retourner et s'occuper de sa famille.Driss est retourné à la maison de sa tante, et aide son petit frère à sortir du gang. Maintenant comme il avait une expérience, il est allé à un entretien de travail dans une société de transports. Philippe a cherché un nouvel auxiliaire de vie mais il n’aimait aucun de nouveaux  candidats, et il fait une depression. Pour encourager Philippe, Yvonne a appelé Driss. Driss a pris Philippe dans la voiture, il a conduit a toute vitesse et après la police les a arrêtés.  Philippe a simulé que Philippe avait une crise et la police les a aidés à arriver à l’hôpital. Quand la police est partie ils sont partis aussi.
Situation finale :
 Driss emmène Philippe à  un restaurant où il lui avait marqué un rendez-vous avec Eléonore mais Philippe ne le savait pas. Quand ils sont arrivés au restaurant Driss l' a laissé assis à une table et puis il en est sorti. Un peu après Éléonore est arrivée. Driss regarde la scène de la rencontre et s'éloigne sur la plage.

      Commentaire et Opinion personnelle :

J’ai aimé ce film. Je crois que c’est une comédie pleine de tendresse très spéciale et émouvante surtout parce que nous savons que c’est une histoire vraie. Et les acteurs ont fait un jeu fantastique.
C’est très intéressant de voir  comment deux personnes complètement différentes, deviennent de bons amis. Le titre, Intouchables, nous dit exactement que les deux hommes ensemble sont imparables, personne ne peut les arrêter. Mais nous pouvons voir, dans le film, comment chacun a ses problèmes et comment ils  sont fragiles seuls.Philippe embauche Driss surtout car il n’a pas de la peine envers lui et il est fatigué que les personnes le traitent de forme différente, Driss ne le faisait pas. En principe nous ne croyons pas qu'il soit la personne indiquée pour ce travail mais après on voit que les deux avaient le sentiment de partager et les deux étaient ouverts à connaitre de nouvelles choses et les deux avaient de la bonne humeur. 
Dans ce film nous pouvons voir aussi la manière comment est traité ce cas si délicat comme celui de  la tétraplégie. Ils nous montrent comment doit être traitée une personne avec ce handicap, comment est son hygiène intime…
C’est aussi très intéressant de voir la manière comment ils s'approchent durant l’histoire, comment ils commencent à se préoccuper l’un de l’autre; comment ils deviennent amis pour le reste de leurs vies; comment Philippe reste après le départ de Driss, il ne veut plus rien faire, il veut se laisser mourir.
C’est un film qui a  beaucoup de succès parce que c’est une histoire éloignée de la réalité, elle nous montre un monde très peu connu. Il nous montre que nous devons cohabiter tous mélangés  pour nous complémenter, et être prêts à connaitre d'autres formes de vie .

Rita Amado. 4ºESO C   


"Les Intouchables" est une comédie dramatique française dirigée par Olivier Nakache et Éric Toledano. Le 2 novembre 2011 le film a été montré dans les cinémas français et a eu un grand succès de ventes parce qu'il a été déclaré l'un des meilleurs films de ces années, entre autres comme "Bienvenue chez ils Ch'tis" en 2008.
L'histoire est inspirée dans la vie  de Philippe Pozzo Borgo, tetraplegique avec beaucoup d’argent et de sa relation avec Abdel Yasmin Sellou, son assistant au domicile.
Le film raconte, par conséquent, la relation entre un homme tetraplegique et riche qui s’appelle Philipe et un autre homme plus jeune de race noire, qui vient  d'accomplir une peine de six mois dans la prison,  Driss.
Ils se connaissent dans la maison de Philipe, puisqu' il cherche l'assistant compétent pour prendre soin de lui durant un temps. Driss est le type avec le meilleur profil et il est embauché. À partir de ce moment, ceux-ci deviennent de grands amis.
Ce sont deux personnes complètemnt différentes, provenantes de milieux sociaux différents et avec différentes manières de penser, cependant, ils sont très aimables l'un avec l'autre et les deux ont quelque chose en commun qui est indispensable pour le bien être des deux :le sens de l'humour.
Driss est une personne avec un grand coeur, parce qu' il est toujours disponible pour aider Philipe sans qu'il ne manque, évidemment, l'humour entre ceux-ci. Nous pouvons voir la situation, par exemple, entre d'autres plusieurs, dans une scène dans laquelle Philipe se trouve mal dans le lit  la nuit en respirant très fort. Driss se présente dans sa chambre et la première chose qu'il fait est de l'amener à prendre de l' air pur, à faire une promenade.
L'amitié qui est fortifiée dans le film est immense, et les deux sont comme deux persones inséparables.
À la fin, nous voyons que Driss revient dans sa maison avec sa famille mais il prépare d'avance une surprise dans un restaurant à Philipe.

Opinion personnelle: Ce film est l'un des meilleurs film  que je n'ai jamais vus et je crois qu'on devrait réaliser plus de films de ce type. C'est un film qui nous transmet beaucoup de sentiments positifs, comme le respect, la tendresse, l'humour, … des sentiments qui nous font sentir très heureux à la fin du film. C' est incroyable comment Driss s'occupe de son ami Philipe!. C'est sans doute, une leçon de vie qui nous apprend assez pour que nous sachions évaluer ce que nous avons réellement.

Alexandre Bastos. 4ºESO C