dimanche 27 février 2011

BRAVO AUX ÉLÈVES DE FRANÇAIS

Cette semaine nous avons connu les résultats des examens réalisés à l'Institut français de Lisbonne où nous avons présenté 6 élèves de Terminale.
Le résultat a été fantastique car tous nos élèves ont obtenu leur diplôme B2 et une élève le diplôme C1. Félicitations à vous tous!.

LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ de Victor Hugo


En classe de Terminale nous venons de lire ce récit et voilà le commentaire d'un de nos camardes.

« Le dernier jour d’un condamné » de Victor Hugo (1829)
En publiant Le Dernier Jour d'un condamné en 1829, Victor Hugo compose un immense plaidoyer contre la peine de mort.

Argument:
Un homme qui est condamné a mort relate ce qu’il a vécu depuis le début de son procès jusqu’au moment de son exécution.. Il voit la vie d’une autre façon, maintenant plus pessimiste.
Cet homme est en premier lieu à Bicêtre, où il passera un mois avant d’aller à la guillotine. Pour lui, ce lieu est en ruines et en très mauvais état. À Bicêtre, les gardiens lui retirent tout ce qu’il pourrait utiliser pour se suicider, mais ils lui donnent du papier, de l’encre, des plumes et une lampe. Sa cellule est une petite pièce à quatre murs en pierre avec une petite ouverture servant de fenêtre.
Un jour, ce prisonnier anonyme nous raconte quelque chose qu’il a vue : le ferrage et le départ des forçats pour Toulon .Il voit tout ça comme un spectacle, et il sait qu’en six semaines , ce sera lui, le spectacle. Il arrive à dire qu’il est préférable la guillotine aux galères .Le directeur de la prison lui rend visite pour lui dire que le jour de son transfert est arrivé. Maintenant il écrit de la Conciergerie au Palais de Justice . Il y est en compagnie d’un autre condamné plus vieux que lui. Un peu plus tard, il écrit ses dernières lettres et le prêtre le visite.
A la fin, il est dans une chambre de l’Hôtel de Ville. Il est en train de vivre son exécution. Comme il n’a rien à quoi croire, il pense à la vie après la mort et il trouve du soulagement car il croit que tout le monde est condamné à mourir.
Finalement, l’heure de l’exécution est arrivée. Il se fait couper les cheveux, on attache ses mains derrière son dos et ils l’emmènent à la guillotine. Le protagoniste a peur quand il voit tout le monde furieux et en train de crier. Même en suppliant la grâce royale , il sera tué.

Commentaire critique et opinion personnelle:
En attendant la mort, un homme anonyme pour le lecteur ,consigne dans un journal, ses souvenirs, et regrets et sa peur immense de la mort. Il s’agit d’ un long monologue intérieur, où on distingue trois lieux de rédaction : Bicêtre, la Conciergerie, et l’Hôtel de Ville.
Le récit se présente comme un témoignage sur l’angoisse d’un condamné à mort :sur ses souffrances physiques et morales et sur les affreuses conditions de vie des prisonniers.
Le livre est découpé en quarante-neuf chapitres et 97 pages. Nous apprenons que le personnage principal dont nous ne connaissons pas le nom a une fille qui s’appelle Marie et que lui c’est quelqu’un qui semble cultivé. Différents thèmes y sont abordés : la peine de mort, la peur de la mort, la religion, l’injustice, la haine envers la société qui ne condamne pas la peine de mort.

C’est une histoire très touchante et très compliquée pour en discuter. A mon avis, l’auteur a eu beaucoup de courage d’écrire un livre comme celui-ci à une époque très peu développée et injuste. Une chose que l’auteur a fait et qui attire notre attention c’est qu’il ne nous dit pas le nom du protagoniste, et cela il le fait peut-être pour qu’on ne sympathise pas avec le condamné , et comme ça on condamne la peine de mort sans faire des exceptions.
Moi, en tout cas, je n’ai pas aimé le livre, car il est très philosophique pour moi, mais je le recommande a toutes les personnes qui veuillent s’informer de comment doit se sentir un condamné a mort car cet aspect est très bien peint dans le récit.

Luis Dezcallar. 2º Bachillerato A

mercredi 16 février 2011

LE MYSTÈRE PICASSO



PABLO RUIZ PICASSO: LE SYMBOLE DE TOUT UN SIÈCLE. CITATIONS


“Les autres parlent, moi je travaille” Pablo Picasso.

Je pense que Pablo Picasso voulait dire avec cette phrase qu’il était toujours en train d’innover, de créer, d’explorer un style très personnel, et pendant qu’il le faisait il n’écoutait pas les mauvais commentaires des autres à propos de ses peintures. Donc, les critiques des autres n’avaient pas d’influence sur lui. Une épreuve de cela et de sa recherche de l’innovation est le « Cubisme », un style artistique très important que Pablo Picasso a crée avec Georges Braque et qui a influencé beaucoup d’artistes des avant-gardes.

André Espírito Santo. Première B




«En peinture, on peut tout essayer. On a le droit. Mais à condition de ne jamais recommencer»

Ce que Picasso veut dire avec cette phrase est, d´abord, qu´en peinture on peut tout essayer puisque dans l´art, il existe de nombreuses façons de combiner nos idées artistiques d´une forme concrète ou abstraite car n’importe quel art, c’est un monde qui naît seulement de notre imagination. Lorsqu’il conclue avec «à condition de ne jamais recommencer», il veut dire peut-être que si on recommence ,par exemple, un tableau, la véritable essence du tableau se perd, pourtant si on continue jusqu´à la fin, en essayant, il y aura un résultat, peut-être bien meilleur que prévu. Pour ça, les tableaux de Picasso étaient magnifiques.
Les peintres, quand ils commencent à peindre, ils ne pensent pas à comment va être finalement le tableau, ils peignent d´une manière naturelle.

Si on prend la phrase dans un sens littéraire on se voit confronté à la lâcheté de l´homme face aux obstacles existants dans la vie, puisque l´homme a tendance à fuir de ses problèmes, fuir est la solution la plus facile et rapide que l´homme trouve. Or en certains aspects de notre vie, on ne recommence jamais, soit on désiste , soit on cherche des solutions.

Elena Holvikivi de Mendoza. Première B

lundi 14 février 2011

CANNIBALE de Didier Danminckx



Argument:
Gocéné est un vieux kanak qui raconte à deux jeunes militaires une histoire qui l’est arrivée quand il était jeune.
Un groupe de kanaks sont envoyés à l’Exposition Universelle de 1931, à Paris, pour être exhibés dans l’exposition coloniale. Les personnes les regardaient comme s’ils étaient des bêtes sauvages.
Pendant ce temps-là, les crocodiles de l’exposition meurent, et les organisateurs arrivent à un accord avec le cirque Hôffner, qui accepte de prêter quelques reptiles en échange de lui en donner quelques « cannibales ».
Un de ses « cannibales » qu’ils emmènent c’est Minoé, la fille du chef de la tribu, que Gocéné devait protéger. C’est en ce moment-là que Gocéné et Baudemoin (un cousin de Minoé) feront toutes les choses inimaginables (voyager en métro, échapper de la police, menacer des personnes importantes, etc.) pour récupérer leurs compatriotes, et spécialement Minoé. À la fin, Badimoin meurt.

Différentes étapes du roman:
L’état initial est quand la tribu est convaincue pour aller en France et sont installés dans ces « prisons » où ils sont traités comme des animaux.
Les complications qui apparaissent sont quand ils s’échappent et font tout ce qu’ils peuvent pour trouver Minoé ; quand ils emmènent Minoé et les autres, quand la police les poursuit, quand ils doivent parler avec les responsables de l’exposition et quand ils doivent échapper de ce lieu-là.
L’état final est quand Badimoin meurt et Gocéné est sauvé par un homme de peau blanche.

Thèmes abordés
Les thèmes abordés sont les injustices racistes, la question de « quelle est la vraie civilisation ? », l’incompréhension des autres cultures (la kanak de la Nouvelle Calédonie, dans ce cas) et l’exploitation de ceux qui sont considérés inférieurs.
C’est une histoire originale, très différente de celles dont on est habitués. Je ne l’ai pas beaucoup aimée parce qu’elle ne me paraissait pas croyable. Pourtant l’auteur apparemment s’est-il basé sur des faits historiques.

Luis Dezcallar. 2º Bachillerato.


"Cannibale" a sorti de l'ombre un épisode historique tragique. Nous sommes à Paris en 1931, le scandale éclate au Jardin d'Acclimatation, où L'Exposition Coloniale a installé ,au Pavillon de la Nouvelle-Calédonie, des Canaques avec une pancarte "Hommes anthropophages". Certains ont mission de pousser des cris de bêtes, les femmes doivent danser à heures fixes poitrine nue...
Inspiré par ce fait authentique, le livre de Didier Danminckx nous expose les faits d'une manière romancée, et à mon avis, il s'agit d'un véritable hymne contre l'humiliation.

Julia Fernández .Département de français