dimanche 10 octobre 2010

LA LOGEUSE de Roald Dahl



Nous étions habitués à lire du Roald Dahl en anglais mais nous sommes restés très étonnés de l'humour noir de cette nouvelle qui se trouve dans le recueil "Coup de gigot" et que nous venos de lire en français. L'histoire est bien et facile à lire, et pour nos camarades de classe Julia, Léa et Nórida qui sont venues de passer une année aux Etats Unis ça a été une approche idéale du français à nouveau.


Argument: Billy Weaver, arrivé à Bath, voulait se trouver un hôtel pour passer une ou deux nuits. Mais il fut attiré par le petit écriteau d'une pension, hypnotisé. Une logeuse lui ouvrit rapidement et l' accueillit. Une gentillesse à faire rêver, un prix excessivement bas, enfin, l'endroit parfait. Mais derrière cette gentille logeuse se cache une horrible taxidermiste...

Étude des points suivants pour réaliser l'analyse:
a. La logeuse. Relevez dans le portrait de la dame ce qui constitue des éléments rassurants et des élèments inquiétants.
b. Les locataires. Combien sont-ils? Quels sont leurs points communs?
c.Les indices. En quoi le perroquet et le chien d'une part, et le thé d'autre part sont-ils des indices qui permettent de deviner les intentions de la logeuse?
c. Relevez les éléments réalistes et les éléments surnaturels; l'implicite, les indices de l'étrange;
d. La chute, le détail qui donne la clé

Ana Catarina Ferreira a dit:La logeuse pour recevoir Billy Weaver utilise en excès les choses que nous aimons voir chez les gens. Elle sourit beaucoup quand elle parle, elle se montre très gentille et éduquée mais parfois ça nous fait penser à qu'il y a quelque chose derrière son sourire, on se demande s'il y a quelque chose derrière toute sa séduction. Tout ce qui fait partie du monde de la femme nous attire: ses gestes, les animaux domestiques, le feu de la cheminée, voilà le début de l'attraction pour commencer l'histoire...

Marina Stussi a dit: La logeuse est une femme très douce et gentille. Son sourire, sa voix séductrice, ses bonnes manières, tout en elle semble adorable. Mais l'excès de tout cela provoque de la méfiance: elle est trop affectueuse, trop charmante. Personne n'est comme elle, elle devient bizarre...

Mariana Fandiño a dit: Les locataires sont trois: Christopher Mulholland, Gregory W Temple et Billy Weaver. Ils ont en commun l'âge, 17 ans, et qu'ils meurent après être entrés chez la logeuse. Elle les tue avec le thé, vide leurs corps et les empaille.Elle sait très bien que pour pouvoir empailler le corps de la victime ne devait pas être âbimé. Une histoire horrible et drôle à la fois!.

Mara Murias a dit: Les trois locataires ont en commun qu'ils sont jeunes, qu'ils cherchent une chambre où loger pas très cher, qu'ils ont un beau corps...mais les indices des intentions de la logeuse sont là et ils devaient être très naïfs aussi...Nous avons un indice quand la logeuse change de thème de conversation à chaque fois que Billy lui pose des questions sur les derniers locataires ou quand il découvre que le perroquet et le chien ne bougent pas car ils sont empaillés, mais le pire c'est qu'elle avoue être l'empailleuse!!

Nórida del Ser a dit: Les indices que l'auteur nous laisse pour comprendre la dernière phrase que la logeuse prononce: "Rien que vous", sont par exemple le fait que les autres locataires soient toujours au quatrième étage, et que le thé que Billy boit ait un goût d'amendes amères car l'arsenic a aussi ce goût-là et il tue...

3 commentaires:

  1. Voilà des phrases qui pourraient constituer la chute de l'histoire et qui ont été inventées par des élèves de Première:
    "Un autre pour ma collection". Marta M.
    "J'espère que M. Mulholland et M. Weaver ne nous dérangent pas trop..." Beatriz M.
    "Viens avec moi au deuxième étage après avoir bu ton thé", Elena H.
    "J'espère que vous avez apprécié mon thé". Guilherme M.

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  2. j'ai pas compris la dernière phrase du texte, en quoi elle constitue la chute ?

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