vendredi 9 novembre 2012

"La photo qui tue" d’Anthony Horowitz


Les élèves de seconde ont lu La photo qui tue d’Anthony Horowitz et  nous avons emprunté à Sofía le compte-rendu de cette histoire de suspense qu’elle avait rédigé comme préparation à son examen oral. Pensez-vous que Mathew a raison ou plutôt que son imagination va trop loin ?


Image du Blog poeme2.centerblog.net                Mathew est un garçon qui vit à Londres . Il décide d’aller faire un tour au marché aux puces qui a lieu chaque samedi pas très loin de chez lui, même s’il sait que les affaires qu’on y trouve n’ont pas un grand intérêt; mais Mathew avait du temps à perdre et il voulait acheter un cadeau d’anniversaire pour son père.
                Quand il était sur le point de rentrer une Volkswagen rouge est arrivée et un home élégamment vêtu est sorti de la voiture. Il avait à vendre des vètements, des CD, une Gameboy, une tablette ouija et un appareil photo. C’étit un Pentax en bon état. Mathew a proposé 40 livres et l’homme a accepté. Ensuite l’homme lui a expliqué que les propriétaires des affaires qu’il vendait étaient trois étudiants de Beaux-Arts à qui il louait des chambres. Il y a trois mois qu’ils ont disparu et il vend leurs affaires parce qu’ils lui devaient le loyer.
                Mathew a photographié un miroir et quelques instant plus tard il est tombé,  il s’est brisé et le propriétaire a accusé un garcon qui passait par là en ce moment.
                Mathew prend l’appareil et il rentre chez lui. Il offre le cadeau à son père et celui-là prend deux potos: le cerisier du jardin et Polonius, leur chien. Le lendemain le cerisier était mort .
Mathew se sentait mal à l’aise mais il ne savait pas pourquoi. Ensuite sa mere est venue et a expliqué comment Polonius, qui ne courait jamais, s’était élancé sur la chaussée pendant la promenade,  une Land Rover l’avait écrasé et il n’avait pas survécu.
                Maintenant Mathew a les 24 photos qui étaient su la pellicule oubliée à l’intérieur de l’appareil photo: une photo de groupe, six personnes et les trois étudiants de Beaux –Arts, tous  vêtus de noir. Il regarde toutes les photos. Les étudiants s’étaient réunis dasn une maison abandonée, avec un grimoire et la tablette ouija pour tenter d’invoquer quelque chose. Mathew ne voulait pas regarder la photo de la créature invoquée, il avait peur.
                Il retourne chez lui, Mme Bailey, la femme de menage, lui dit que sa famille est allée au parc de Hampstead. Mathew y va pour les prévenir. Et il croit être arrivé à temps, tout allait bien mais Jamie, son petit frère, dit qu’il a pris une photo, une seule photo, une photo de Londres. Tout d’un coup le soleil disparaît et Mathew reste figé… comme sur une photo.
                J’ai aimé l’histoire parce qu’elle est originale et drôle mais je n’ai pas aimé la fin parce qu’elle est difficile à croire, elle est vraiment “tirée par les cheveux”.

Sofía Segura Falcão.

4º ESO A

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