Dino Buzzati est l'auteur de"Le K", un excellent recueil de nouvelles parmi lesquelles se trouve celle que nous avons travaillée en classe : "Pauvre petit garçon!".
''Pauvre Petit Garçon'', c'est une nouvelle à chute écrite par Dino Buzzati et publiée en 1966.
Il s'agit d'un garçon de seulement cinq ans qui selon l'auteur était plutôt pitoyable. Dolfi, comme il est appelé, va comme tous les garçons de son âge, au jardin public. Les gens qui ont lu cette nouvelle , et même ceux qui ne l'ont pas lue, savent que la plupart des enfants de cet âge sont très méchants les uns avec les autres et entre eux ils se disent des choses vraiment terribles, presque tout le monde doit avoir des souvenirs peu agréables de cette époque.
Malheureusement et peut-être à cause d'être laid, les autres enfants qui étaient blonds et beaux, ne voulaient pas jouer avec Dolfi, et le bambin restait toujours seul dans son coin. Pour quelqu'un aussi jeune, le fait que personne ne l'aime peut être angoissant et cela peut aider à que des sentiments bouleversants apparaîssent.
Pourtant, un jour tout a changé et les copains de Dolfi lui ont demandé s'il voulait jouer avec eux car il avait un nouveau jouet. Dolfi accepte la proposition qui à la fin, ne sera qu'un piège, une excuse pour que tous les garçons se moquent de lui. Après cette scène, Dolfi couvert de terre et en saignant cherche sa maman qui quand regarde son fils, ne peut pas éviter de penser à comment il serait dans le futur, elle essaie de l'imaginer un homme à succès, mais pour elle ça n'arrivera jamais !. Une fois que l'auteur nous explique un jour dans la vie de ce pauvre garçon, Dino Buzzati finit d'une manière génial: Quand la mère et Dolfi s'en vont du jardin public il y a une autre personne qui leur dit: ''Au revoir Madame Hitler'' Et voilà, c'est dans la dernière ligne que l'histoire gagne un nouveau sens.
Dès le début du roman ,on croit que ce qui va se passer sera quelque chose de normal, une histoire qui est commune dans tous les jardins publics. Mais le fait qu'un garçon ne se sente pas intégré peut avoir des conséquences, et malgré que ce que l’auteur nous raconte n'est que de la fiction, on reste avec l'idée que le petit Dolfi est devenu Adolf Hitler à cause de toute la souffrance du passé.
Si on regarde l'histoire de ce point de vue on arrive à une conclusion: Hitler s'est aperçu qu'il y avait une espèce dominante: les allemands «purs» blonds et grands, comme ses copains, et une espèce plus fragile que plus tard il a identifiée avec les juifs. Peut-être la logique nous fait penser qu'il aurait dû se venger des gens qui étaient comme ses copains à lui, et pas de ceux qui étaient comme lui, mais l'objectif ici sera d'éliminer les faibles de la société de la main des plus forts, les blonds.
Tout ce que je viens de dire c'est une réflexion hypothétique car on ne sait pas si la folie d'Adolphe Hitler a commencé au jardin public ou non, d’ailleurs, on ne le saura jamais, mais il faut absolument prêter une spéciale attention à la façon que Dino Buzzati a utilisée pour nous raconter cette histoire car il réussit à nous surprendre avec une fin vraiment inattendue.
Mariana Coutinho. 2º Bachillerato
- Une nouvelle à chute est une nouvelle dont le retournement final crée un réel effet de surprise chez le lecteur.
- L'auteur utilise une stratégie d'écriture dans le but de tromper le lecteur
- Une fois la nouvelle terminée, le lecteur est amené à réinterpréter certains des indices laissés par l'auteur en leur donnant un sens nouveau.
Pauvre petit garçon! (Povero bambino! dans la version originale en italien) est une nouvelle à chute écrite par Dino Buzzati, qui a été publiée en 1966 dans le recueil Le K.
C’est l’ histoire d’un petit garçon qui s’appelle Dolfi. Il est un enfant différent des autres qui se sent seul, et qui est ridiculisé par les petits garçons. Un jour, au jardin public, les autres enfants l’ont invité à jouer à la guerre avec eux parce qu’il avait un nouveau fusil. Toutefois, les garçons s’étaient réunis pour lui faire une embuscade et lui tirer des balles d’argile. Sa mère très découragée, part avec son enfant et une autre femme luit dit : «Allons, au revoir, Madame Hitler!», en révélant que le garçon est le jeune Adolf Hitler.
L’histoire commence avec la description de Dolfi. L’auteur dit que c’est un garçon qui a cinq ans, maigrichon, et blafard, presque vert. Ses «camarades de jeu» pour se moquer de lui, l’appelaient Laitue. Sa mère, Mme. Klara (c’est un nom allemand) se sent coupable d’avoir mis au monde ce faible enfant. Elle ne s’imagine pas son fils à l’âge de 25 ans comme un soldat fort et fier. De fait, quand eux, Mme. Klara et Dolfi, ils arrivent au jardin public, quand elle lui demande pourquoi il ne va pas à jouer avec les autres garçons, elle n’écoute pas Dolfi, bien qu’il lui dise qu’ ils se moquent de lui et qu’il ne veut pas aller avec eux. Tous les autres garçons sont blonds, robustes et forts.
Cette différence entre Dolfi et les autres enfants, et le manque de compréhension de sa mère sont des éléments très importants pendant la nouvelle.Quand les autres garçons l’invitent à jouer, il croit qu’enfin, il est intégré et que sa mère sera fière de lui. Pour un moment, il se sent heureux, mais quand les enfants commencent à lui jeter des balles d’argile, il découvre la vérité : Ils sont en train de se moquer de lui, une autre fois. Ces personnages, les camarades de Dolfi, ce sont des caricatures des jeunes d'aujourd'hui, jeunes qui sont, parfois, intolérants aux différences.
Après, quand Dolfi retourne avec sa mère, elle lui dit une phrase qui le changera définitivement : « Qu’est-ce que tu as fait ? ».Avec cette phrase, il a aussi l’humiliation de sa mère. Il se sent très misérable et triste, et il veut changer de toute façon. À la fin, le lecteur découvre que le garçon est Adolf Hitler.
À mon avis, je crois que cette nouvelle à chute est très enrichissante et très facile à lire. Le thème traité est très intéressant et il y a une très grande morale derrière l’histoire. Dès le début, le lecteur peut sentir la solitude mais aussi la colère de Dolfi qui est toujours traité de "Laitue". Le lecteur devient aussi de plus en plus triste en lisant l’oeuvre, mais l’auteur donne à l’histoire un tournant décisif avec une chute choquante qui ne laisse pas indifférent.
Natalia Rodriguez. 2º Bachillerato A
Analyse de "Pauvre Petit Garçon!" de l'écrivain italien Dino Buzatti
Résumé:
Un petit enfant va au parc avec sa mère, en Autriche au début du vingtième siècle. L'enfant appelé Dolfi est faible, brun et pâle, il ne se ressemble pas du tout aux autres et il est, alors, exclu et les autres l'appellent Laitue.
Ce jour- là Dolfi a un nouveau fusil et les autres l’invitent à jouer, simplement pour se moquer de lui et le battre. Quand Dolfi retourne avec sa mère, humilié, sale et en sang elle se montre très critique et dure et pense que son fils aura un mauvais futur. Quand ils quittent le parc on découvre que le petit enfant s'agissait d'Adolf Hitler, car une autre mère dit "Au revoir Madame Hitler".
Analyse:
Cette histoire se présente sous la forme d'une nouvelle à chute car toute notre expérience de sa lecture change au dernier instant. Avec quatre mots l'auteur change toute notre perception et cette révélation est comme être frappé dans le visage.
Pendant toute la nouvelle l'auteur nous promène par tous les sentiments qu'il veut qu'on ait.
Au début avec la première description de Dolfi et l'histoire de son surnom, Laitue, nous fait rire de ce garçon qui semble avoir tous les défauts qu'un enfant puisse avoir. Après on éprouve de la peine quand on découvre que Dolfi est un exclu et profondément malheureux, en suivant on a très peur de savoir ce que les autres cruels enfants vont lui faire et on passe par l'horreur quand Dolfi est frappé et humilié par les autres et quand sa mère le récrimine et pense qu'il ne passera jamais d'un adulte triste et solitaire. Finalement nous sommes complètement écrasés par la révélation finale qui mélange la surprise et la haine avec tous les autres sentiments quand on découvre que le pauvre petit garçon est l’un des personnages les plus détestés de l'histoire.
Cette histoire nous fait penser à beaucoup de choses intéressantes:
C'est vrai que les monstres se créent? Le jeune Dolfi termine par se transformer dans l'horrible Adolf Hitler et va faire tout ce que les autres enfants lui ont fait et pire à grande échelle. Est-il une vengeance contre lui-même? Il est vrai que les juifs aussi que les tsiganes ont plus de ressemblances physiques avec Hitler que tous les allemands aryens. Peut-être toutes les atrocités commises contre ces minorités ont été un essai de détruire le petit Laitue caché chez Monsieur Hitler. Je pense que la volonté de s'intégrer a poussé ce faible petit enfant à se transformer dans ce terrible dictateur, et il a utilisé comme propagande la haine qu'il avait ressentie dans sa peau des Allemands blonds contre tout ce qui est différent et un peu plus brun qu'eux, et il a vaincu. Si les allemands ont vraiment choisi démocratiquement un homme qui représentait tout ce qu'ils détestaient et qui faisait propagande contre ce qu'il avait été en utilisant son intelligence et astuce, ils ont mérité tout ce qu'ils ont eu.
Je pense que cette histoire est très bonne et elle nous fait beaucoup penser. Je crois que l'auteur a un contrôle extraordinaire pour nous conduire et nous faire éprouver les sentiments qu'il veut, et il nous fait même sentir un peu stupides à la fin quand le masque tombe et on s'aperçoit de la vérité. Je conseille cette nouvelle à chute à tout le monde car elle est très facile à lire et très amusante. Et en plus, je crois qu'elle nous oblige à faire une promenade chez nous...
Martim Azevedo. 2º Bachillerato A
À mon avis, le thème principal traité dans cette histoire serait que les mauvaises choses qu’on peut nous faire à un moment donné ne justifieraient jamais celles que nous pourrions faire à notre tour.
RépondreSupprimerUn autre thème abordé c'est l'absence du pardon, puisque sans savoir ce que c’est que le pardon depuis l'enfance c'est très difficile de trouver le véritable amour.
Bref, cette histoire est magnifique! Le retournement final nous surprend tellement qu’il nous fait l'aimer!
À mon avis, quand on apprend que ce garçon s'appelle Hitler, on peut en déduire que peut-être l'éducation qu'il a réçue et les humiliations qu'il a souffertes, ce sont les responsables de toutes les atrocités qu'il a réalisées plus tard à l'âge adulte...
RépondreSupprimerC'est un livre très recommandable et il n'est pas difficile à lire. Moi, personnellement je l'ai beaucoup aimé.
impossible que ce petit garçon si sensible soit le petit Adolphe HITLER!
Supprimerhitler,petit,était hargneux,agressif,rancunier et aimant taper sur les autres :c'était un petit leader qui entraînait les autres à frapper ...il était même sournois .
Max ou un de ses camaades aurait pu être le petit Hitler.
le petit garçon est portant bien Hitler
Supprimerje me demande si l'auteur n'a pas utilisé la fin de son histoire pour nous montrer que nous sommes un peu stupides de croire aux sentiments au début puis à la fin d'apprendre le contraire, dans le futur,de ce pauvre garçon.De l'autre sa "technique" pour une démonstration géniale d'une histoire à chute est bien réussie.
RépondreSupprimerje ne comprend pas pourquoi la mère est nommée Mme Klara au début de la nouvelle et Mme Hitler à la fin !!!
RépondreSupprimerKlara est son prénom et Hitler est son nom
SupprimerSalut!
RépondreSupprimerLa réponse à ta question c'est que si on avait su que le nom de Klara (qui d'ailleurs était le vrai nom de la mère d'Adolf Hitler) était Hitler, il n'y aurait pas eu de chute. La surprise c'est précisement découvrir qu'elle s'apelle Klara Hitler, donc on découvre que Dolfi est éffectivement Adolf Hitler.
la chute n'est pas adaptée:elle dessert le reste de l'histoire.Dommage!
SupprimerMadame Hitler n'a pas sa place dans cette nouvelle.Dolfi soi-disant Adolf?l 'auteur a manqué d'inspiration,ou a été maladroit.La fin donc est décevante.
Oui,Klara est le juste prénom,mais ...On voit que l'écrivain a essayé de cibler le nazisme mais il aurait pu le faire autrement .La fin est trop brusque;Le bambin trop émouvant pour représenter HITLER !
Ce récit aurait très bien fonctionné sans les personnages historiques en question.GRAND DOMMAGE!Car très bien écrit.
La chute est discutable sur le plan de la vraisemblance.
SupprimerEn effet, le petit garçon présente déjà une personnalité sensible fondée sur une grande émotivité et tournée vers le regard des autres.Rien ne le prépare à une pathologie qui l'amènerait à vouloir détruire l'humanité.
Cet enfant qu'on aime ne peut être Hitler.
Il est trop sensible,très attachant.
Ceci est la faille de cette histoire.
Salut! Mon nom est Annabeth. Annabeth Chase. Il se trouve que, moi aussi, j'ai lu cette nouvelle avec mes camarades de classe cette année et ai trouvé cette nouvelle très intéressante dans l'idée qu'il faut faire deux lectures de ce texte: à la première, nous avons pitié du "pauvre" petit Dolfi. Ensuite, nous ne ressentons plus rien pour ce petit garçon, si ce n'est un peu de dégoût. La "lecture à rebours", comme cela s'intitule, du texte, nous permet d'avoir un œil différent sur cette nouvelle.
SupprimerSalut! Moi aussi je m'appelle Mariana et ai lu la nouvelle. Je trouve que cette nouvelle est très intéressante dans le "rayon" sentiments. En effet, l'auteur a su nous faire apitoyer sur quelqu'un qui, finalement, a commis des horreurs à son tours, etdes biens pires! Alors je dirais: Bravo M; Dino Buzzati!!!
RépondreSupprimerC'est sur que l'on peut ce sentir stupide a cause de tout ces indices: Dolfi, madame Klara, ...
RépondreSupprimercette oeuvre et tres enrichissante sur le fait qu elle nous laisse penser et reinterpreter d une facon specifique sur l' enfance qu aurait pu avoir hitler
RépondreSupprimerSi l'enfance de cet homme ressemblait réellement à ceci, comme cela mensemble effectivement probable, alors nous pouvons commencer à nous mordre les doigts.
RépondreSupprimerLe temps passe. Mais les mentalités n'évoluent pas. J'en suis victime tous les jours au collège.
Les enfants comme Dolfi inspirent de la pitié lorsqu'on lit leur histoire, et pourtant, nous n'en tirons pas les bonnes conclusions, nous ne changeons pas en mieux notre attitude. Mais rares sont ceux qui captent le vrai message dans cette nouvelle: nous forgeons nous-même les monstres qui nous persécutent.
Le genre humain est profondément mauvais, Hitler n'est pas un cas isolé. Si tous les enfants ainsi maltraités étaient gagnés par la même folie meurtrière, nous serions tous morts depuis longtemps.
Dans les commentaires laissés par les lecteurs, j'ai retrouvé plusieurs fois les mots suivants: "un enfant aussi atachant ne peut-pas être Hitler". Nous essayons tous de nous en convaincre, nous ressentons de la honte, parce que nous avons éprouvé de la pitié pour Dolfi.
Rappelons qu'au moment où cette nouvelle a lieu, nous ne parlons non pas d'un dictateur, mais d'un enfant encore innocent...
Cela ne retire rien à l'horreur du nazisme.
Cependant, je retiendrai la morale suivante:
Rien n'est jamais blanc; rien n'est jamais noir...
A tous ceux qui me lisent, je vous en conjure, réfléchissez au sens caché de cette nouvelle; ne vous
attardez pas sur les six dernières lettres du texte. La prochaine fois que vous serez tentés de rire de quelqu'un, rappelez-vous de cette histoire.
Pour que les Dolfi d'aujourd'hui ne deviennent pas les Hitler de demain.
Ouais t'as trop raison
Supprimeroui c'est très claire.
SupprimerJe ne crois pas que dolfi soit hitler
RépondreSupprimer?? Pourquoi, c'est pourtant clair !
SupprimerQuel effet la fanfare militaire a -t elle sur Dolfi?
RépondreSupprimeren fait les garçons a cette époque comme tu peut le voir avait tous des fusils (pour enfants) et entendre ceci était pour eux comme si on les appelaient eux au combats, c'était une immense fierté! Comme si a notre époque tu était passioner de foot et que tu entendait la marseillaise. :)
Supprimermoi je pense qu'hitler est devenu comme sa pour se venger de tous qu'on lui a fait subir a lui et a sa famille
RépondreSupprimeroù je peux trouver le texte de pauvre petit garçon car je vais surment le présenté pour le brevet ??
RépondreSupprimerOn peut le trouver dans la collection "Le livre de poche".
SupprimerTu peux le trouver aussi au lien ci dessous:
Supprimerhttp://www.michelet-vanves.ac-versailles.fr/discipline/pole_litteraire/buzzati_dolfi.html
le texte est en ligne.
Bonne chance pour ton brevet.
Fio
J'ai bien aimé
RépondreSupprimersa ne servirai a rien d'écrire cette histoire et de dire que c'est lui alors que c'est pas lui.
RépondreSupprimer"la chute n'est pas adaptée:elle dessert le reste de l'histoire.Dommage!
RépondreSupprimerMadame Hitler n'a pas sa place dans cette nouvelle.Dolfi soi-disant Adolf?l 'auteur a manqué d'inspiration,ou a été maladroit.La fin donc est décevante.
Oui,Klara est le juste prénom,mais ...On voit que l'écrivain a essayé de cibler le nazisme mais il aurait pu le faire autrement .La fin est trop brusque;Le bambin trop émouvant pour représenter HITLER !
Ce récit aurait très bien fonctionné sans les personnages historiques en question.GRAND DOMMAGE!Car très bien écrit." euuuuuuuuuuuuuuh je crois que vous avez pas très bien compris le but de l'auteur ^^ cette nouvelle n'est qu'une hypothèse, l'auteur interpréter à sa manière le parcours d'Hitler. Et qui vous dit que Hitler n'était pas victime enfant? Tout enfant né innocent, s'il est devenu un monstre c'est parce qu'il mal été éduqué ou que personne ne l'a stoppé aux premières apparitions de ses idées Nazi.
La nouvelle est superbe.
RépondreSupprimerPourquoi l'auteur a-t-il choisi de les faire jouer à la guerre ?
RépondreSupprimerc'est le jeu qu'ils jouaient tous a ce moment la
Supprimerquelqu'un pourrait t'il m'aidé pour faire une écriture d'invention?
RépondreSupprimerbonjour pouviez vous m'aider
RépondreSupprimeril y a t-il des symbole ou des objet symbolique dans cette œuvre si oui quoi ?
Vous pouvez me dire ou commence la chute et ou elle se termine svp
RépondreSupprimerSalut, la chute commence et fini à la dernière phrase
Supprimerj'ai bien aimé
RépondreSupprimerc'est quoi le type de texte, la particularité de l'oeuvre et est ce que c'est un texte engagé ou pas. SVP
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerNe serait-ce pas une façon différente de mettre au jour un mécanisme vieux comme le Monde, en tout cas vieux comme l'Humanité. L'homme avec un petit "h", qui cherche à compenser un complexe d'infériorité (Oedipe, castration...) par un complexe de supériorité, l'intensité de ce dernier étant généralement proportionnelle à la frustration originelle...?
RépondreSupprimertrop raison
RépondreSupprimermerci
RépondreSupprimermerci pour ce résumé
RépondreSupprimerTellement bien écrit: écrit un livre stp surtout la dernière phrase ��
RépondreSupprimer