Nous venons d'analyser ce film en cours de français et nous voulons partager avec vous tout ce que nous avons repéré.
FICHE TECHNIQUE DU FILM
Titre : Elle s’appelait Sarah
Réalisation : Gilles Paquet-Brenner
Scénario : Serge Joncour et Gilles Paquet-Brenner
Date de sortie : 13 Octobre 2010
Durée : 111 minutes
Pays d’origine : France
Genre : Drame
Acteurs principaux : Kristin Scott Thomas : Julia Jarmond
Mélusine Mayance : Sarah Starzynski
Niels Arestrup : Jules Dufaure
Frédéric Pierrot : Bertrand Tezac
Synopsis: Elle s'appelait Sarah est un film réalisé par Gilles Paquet-Brenner d'après le roman de Tatiana Rosnay. Ce film est basé sur un fait historique réel qui s'est déroulé en 1942 à Paris : La rafle du Vel d'hiv. Ce film raconte l'histoire d'une journaliste Américaine qui emménage dans un appartement à Paris dans les années 2000.Cette journaliste est chargée d'écrire un article sur la rafle du Vel d'hiv, mais tout à coup elle s’intéresse par le destin d’une jeune fille qui s'appelait Sarah, et elle va peu à peu essayer de retrouver les traces de cette jeune fille. La relation qui lie Julia à Sarah c'est que l'appartement où elle vient d'emménager, appartenait à la famille de son mari. La famille de son mari à emménagé dans cet appartement en 1942 et Julia cherche à savoir qui habitait dans cet appartement avant que la famille de son mari s’y installe. Pour retrouver la trace de Sarah et de sa famille elle décide de se rendre au mémorial de la Shoah. C'est ainsi que Julia apprend qu'une famille de juifs vivant à Paris habitait dans l'appartement qu'elle occupe maintenant. Elle y retrouve aussi les deux parents qui ont été déportés et sont morts à Auschwitz mais elle ne retrouve nulle part la trace de leurs deux enfants Michel et Sarah. Puis c'est ainsi qu'elle mènera des recherches auprès de Michel et surtout de la petite Sarah, où la recherche de la vérité dévoilant d’un enjeu personnel dans un mystère familial.
Thème aborde : Le thème principal c’est la recherche de la vérité et les conséquences qu’elle apporte à nos vies : l’homme a l’espoir d’oublier son passé et commencer une nouvelle vie sans souffrance, mais c’est toujours impossible parce que la vérité persiste et elle fera son apparition un jour plus tard ou plus tôt. Nous devons l’accepter parce qu’elle fait partie de notre identité. Un exemple c’est la vie de Sarah, car elle a toujours essayé de cacher qu’elle était juive pour éviter la souffrance. Un autre thème abordé c’est comment un passé dur peut avoir de l’influence sur notre bonheur. Enfin on peut voir comment le destin fatal de la famille a influencé sur la profonde tristesse de Sarah.
ANALYSE DU SCÉNARIO
État initial : Au début du film on peut voir deux petits enfants qui jouent dans leur chambre. Tout à coup on écoute quelqu’un qui frappe à la porte : c’est un agent de la GESTAPO qui demande où sont les enfants et le père de la famille Strarzynski. Sarah décide de cacher son frère dans le placard et elle ferme la porte avec une clé. Ensuite,Sarah et ses parents seront conduits au Vel d’Hiv.
En parallèle, soixante ans plus tard, la vie de Sarah se croise avec celle d’une journaliste, Julia, laquelle est chargée d’écrire un article sur la rafle du Vel d’Hiv. à Paris.
Complications qui apparaissent et leurs conséquences : Quand Sarah et sa famille sont arrivés au Vel d’Hiv avec les autres juifs, une femme qui en sortira leur dit qu’ils vont y rester longtemps .Tout à coup Sarah se rappelle son frère fermé à clé au placard et elle lui demande si elle peut lui ouvrir la porte. Mais son père se méfiant d’elle, ne laisse pas que Sarah lui donne la clé. Effectivement ils voient comment la femme s’en va, et ils sont déportés au camp de Beaune-la-Rolande. Dans le camp la famille est séparée, mais pourtant Sarah réussit à s'enfuir avec une amie qu’elle a connue dans le camp et l’aide d’un officier qui a eu de la pitié pour elle. Ensuite elles arrivent chez les Dufaure et ils aident Sarah à retourner à Paris pour sauver son frère, mais son amie, qui était malade, finit par mourir. Quand ils sont arrivés dans l’appartement du Marais, Sarah rencontre son frère mort à l’intérieur du placard. Julia, la journaliste, qui est en train d' emménager dans l'appartement qui appartenait à la famille de son mari, découvre que là habitait la famille juive de Sarah . Julia va continuer ses recherches d'une manière de plus en plus personnelle et elle découvre qu’elle est enceinte .Son mari lui demande d'avorter, cependant elle réfuse et voyage à New York, la ville où elle a grandi, pour continuer à la recherche de Sarah.
Résolution : Julia découvre que Sarah a été élevée par la famille Dufaure et après elle s'est mariée à un Américan. Ensuite elle va à New York est elle trouve la famille du mari de Sarah. L’actuelle femme du mari de Sarah lui dit que Sarah est morte mais qu’elle a un fils qui habite en Italie. Alors, Julia va à la rencontre du fils de Sarah qui ne reçoit pas bien la nouvelle que sa mère était juive, parce qu’il ne veut pas accepter l’idée que tout sa vie a été un mensonge. Après cette rencontre il décide d’aller visiter son père qui lui donne une boîte contenant des souvenirs de sa mère quand elle était petite et qui démontrent qu’elle était juive. Il lui dit aussi que sa mère n’ai pas eu un accident et que la vérité c’est qu’elle s’est suicidée. Jules, blessé par la découverte de la vérité, se rend compte qu’il n’a jamais connu sa mère.
État final : Quelques années plus tard, Jules appelle Julia pour se rencontrer. Elle va avec sa fille, qui avait déjà deux ans, dans une caféteria au top d’un gratte-ciel, où Jules l’attendait à une table. Il reste content de la revoir, et ils parlent pendant toute la soirée. Soudain il regarde la fille de Julia et il se rend compte qu’elle s'appelait Sarah comme sa mère. Jules s’émeut, et le film termine avec l’image de la nouvelle petite Sarah en train de jouer.
COMENTAIRE CRITIQUE ET OPINION PERSONNELLE
À mon avis, je trouve très intéressant le thème de la rafle juive à Paris, lequel je ne connaissais pas auparavant. C’est très intéressant aussi l’alternance entre la période de la Seconde Guerre Mondiale et la période actuelle, la première vue avec le regard d’un enfant et la seconde avec les yeux d’un adulte qui regarde de l’extérieur. Normalement, les films où il y a deux vies qui se croisent sont un peu confus mais dans ce cas la couleur aide à bien les situer car la période plus ancienne présente une couleur plus jaunâtre.
Pour conclure, le thème sous-jacent plus important c’est la recherche de la vérité et l’impossibilité de la cacher même quand elle nous blesse. Comme dit l’éclairé Voltaire « On doit aimer la vérité et pardonner les erreurs ».
Ana Belén Gomes Paz. 2º Bachillerato A
COMMENTAIRE RÉALISÉ PAR MARTA MATOS, ÉLÈVE DE 2º BACHILLERATO A.
Ce film est basé dans un roman de Tatiana de Rosnay et réalisé par Gilles Paquet-Brenner en 2010.
La première image qu’on voit ce sont des enfants qui jouent, plus précisément il y a un gros plan d' une petite fille appelée Sarah. Nous trouvons un état initial où on nous présente la protagoniste Julia Jarmond, une journaliste américaine qui est mariée à un architecte français et qui habite avec lui et sa fille à Paris. L’appartement où ils vont emménager se trouve au Marais et appartenait à la famille de son mari donc il veut faire des travaux de restauration pour qu’ils vivent là. Julia décide de faire un article sur le Vel’ d’Hiv (Vélodrome d’Hiver), une arrestation massive des juifs qui avait lieu à Paris pendant la Seconde Guerre Mondiale. Pendant qu’ils commencent à s’y installer, Julia commence à découvrir des pistes jusqu'à ce qu'elle découvre que dans cet appartement-là vivait une famille des juifs autrefois. Elle s'interésse à cet évènement et commence à enquêter plus en profondeur . Elle rapidement découvre une histoire qui va l'accompagner en parallèle pendant le reste du film, l’histoire de Sarah.
Sarah était une petite fille juive qui habitait au Marais en 1942 et qu’un jour a été arrêtée avec ses parents. Mais, avant son arrestation, elle cachait son petit frère dans un placard et gardait la clé avec elle pour pouvoir lui ouvrir la porte quand elle reviendrait à la maison. Malheureusement elle n’avait pas aucune idée où elle serait emmenée. Une fois qu’ils prennent conscience d’où ils sont (au Vel D'Hiv), ils perdent l’espoir de sauver l’enfant qui restait à la maison, les gendarmes les séparent et tout semble perdu.
Plus Julia s’interroge, plus elle découvre et plus elle se sent engagée avec l’histoire de cette fille. Elle veut chercher la vérité, chercher cette fille si elle est encore en vie et écouter son histoire racontée par elle-même, son expérience et sa survie.
Cependant, des choses se passent dans sa vie : elle découvre qu’elle est enceinte et elle reste très heureuse mais cet enthousiasme meurt quand son mari lui dit d’avorter avec l’excuse qu’elle n’est plus jeune pour avoir un enfant et que son style de vie ne permet pas un nouveau membre dans la famille. La relation entre Julia et Sarah commence a être évidente.
De nouvelles informations sont dévoilées par Julia. Sarah peut s’échapper avec une autre fille grâce à l’aide d’un policier et elle est accueillée par un couple qui avait perdu son fils, cette situation va faire qu’ils l’habillent avec des vêtements de garçon et comme ça elle pourra passer inaperçue pour la police car elle veut aller a son appartement pour libérer son petit frère.
Lorsqu'ils sont arrivés à l’appartement, beaucoup du temps avait déjà écoulé et une autre famille habitait là. Ils ouvrent le placard, et le petit garçon qui restait là silencieux, comme sa sœur lui avait dir pour le protéger, était mort.
Il arrive un moment où Julia est tellement engagée dans cette histoire que ses instincts ne la laissent pas avorter comme son mari veut, elle sent qu’elle ne peut pas mettre un point final à une vie quand elle a juste découvert que le petit fils de cette famille juive était mort si jeune.
Julia continue avec sa recherche et des pistes la font rencontrer celui qui avait été le mari de Sarah, celui-ci habitait à Manhattan. Il lui dit que Sarah s’était suicidée mais que son fils ne savait pas la vérité sur sa mère car elle n'avait jamais voulu qu'il la connaisse. Sarah croyait que s’il ne savait pas qu’elle était juive ça pourrait le protéger et l'éviter toute l’horreur quelle avait connue. Sachant cela Julia décide d’aller à Florence où le fils de Sarah se trouve pour lui raconter la vérité de sa mère. Au début, le fils de Sarah, déjà un homme, ne pouvait pas croire un mot de ce que Julia lui disait et lui demande de partir. Pourtant le fils de Sarah voyage aux États-Unis pour parler avec son père et il avoue tout.
À la fin, notre état final nous montre comment Julia habite à Manhattan avec sa fille et que son mari habite à Paris, ils semblent divorcés , ou aparemment il a déjà une autre femme (peut-être la raison réelle pour laquelle il ne voulait pas que Julia ait un autre enfant). Julia et le fils de Sarah se sont à nouveau rencontrés et ils semblent plus intimes, plus amis, ou peut-être plus que ça.
Soudain, une petite fille apparait, la nouvelle fille de Julia, celle qu'elle a appelé Sarah.
C’est un film plein d’émotions où on peut toujours se mettre dans la peau des personnages et sentir exactement tout ce qu’ils sentent. C’est aussi une histoire qui touche beaucoup nous montrant la souffrance que les juifs ont expérimentée, mais surtout, qui nous fait nous poser une question : est-ce qu’on veut toujours savoir la vérité ou est-ce qu’on vit mieux dans l’ignorance ?
COMMENTAIRE RÉALISÉ PAR INES BOUAZZA, ÉLÈVE DE 2º BACHILLERATO B
Elle s’appelait Sarah est l’histoire de deux jeunes femmes , Sarah ,
une jeune fille deportée au Vél d'Hiv en 1942 et de Julia Jarmond une
journaliste américaine qui fait une enquête sur la rafle du Vélodrome d'Hiver à Paris. Leurs vies se rejoignent et pendant tout le film on les voit en alternance. Les principaux thèmes abordés montrent comment le passé peut
mélanger le présent, car Sarah essaie toujours de fuire son passé
jusqu´à ce quelle se suicide. Un autre thème abordé est
limportance de la famille , puisque Sarah fuit du centre de
concentration principalement pour aller rejoindre son petit frère.
Le film se déroule entre les années 1942 et 2009, en alternance entre
le passé et le présent.
En 1942, à l'âge de 10 ans, Sarah Starzynski (Mélusine Mayance) ment aux
autorités françaises qui collaborent avec les Allemands que son frère Michel est à la maison oú elle l´avait enfermé dans un placard pour le cacher. Elle lui avait demandé de rester là à l'attente de son retour.Elle prit la clé avec elle lorsqu´ elle et ses parents furent transportés vers le Vélodrome d'Hiver par la Police de
Paris et les services secrets français où ils furent détenus dans des
conditions inhumaines.
Les déportés sont transférés à la Beaune-la-Rolande, le camp de détention de transit de déportation, oú ils sont gardés dans des conditions inssuportables avec une chaleur brûlante sans avoir suffisamment d'eau . Les hommes sont déportés les
premiers au camp d'extermination d'Auschwitz, suivis par les femmes.Quant aux enfants ,la police parisienne les garde après les avoir cruellement séparés de leurs mères.
Sarah tente de s'échapper avec une amie, Rachel dès qu'elle découvre un petit trou dans le sol .Sarah arrive à gagner la sympathie d´un gardien, et le supplie de les
laisser s´enfuir afin qu'elle puisse sauver son frère.Après une hésitation, il les laisse partir. Après une longue marche à la recherche d´un endroit sûr , Sarah et
Rachel, s'endorment dans l'étable d'une maison de village .Le lendemain,elles sont découvertes par les propriétaires,un couple de personnes âgées qui décident de
les aider. Rachel tombe très malade, alors ils appellent un médecin,un officier allemand,qui leur demande s'ils savent quelque chose au sujet d'une deuxième enfant et les avertit des conséquences désastreuses de cacher des Juifs,mais ne continue pas son enquête.Cependant Rachel meurt et son corps est caché. Quelques jours plus tard, Jules et Geneviève, le vieux couple , ramènent Sarah à son appartement de famille à Paris. Sarah court vers son appartement, frappe à la porte furieusement. Un garçon, âgé de douze ans, ouvre. Elle se précipite dans sa chambre et déverrouille l'armoire.Horrifiée,elle découvre son frère mort, et se met à hurler
d´horreur et de douleur.
Après la guerre, Sarah reste avec le vieux couple à la ferme, en compagnie de leurs deux petits-fils, qui la traitent comme leur propre sœur, jusqu'à ses 18 ans. Dans des lettres, le couple décrit la tristesse et la mélancolie de Sarah . A ses 18 ans, Sarah elle part aux Etats-Unis,avec l´espoir de fuire son passé et change de nom en
utilisant celui de la famille Dufaure avec qui elle avait vécu.Sarah se marie et a un fils, Guillaume.Elle arrête la correspondance avec le vieux couple.
Lorsque son fils a 9 ans, Sarah n´a plus le courage de supporter la mort de son frére ,dont elle se sent résponsable et se suicide en conduisant et en choquant contre un camion. Cependant son fils avait toujours cru que sa mort était dûe à un accident . Dans le présent, le mari de la journaliste française Julia (Kristin
Scott-Thomas) hérite l'appartement de ses grands-parents (son père âgé était le garçon qui avait ouvert la porte à Sarah, en août 1942).
Ayant déjà fait un article sur la rafle du Vel 'd'Hiv', Julia découvre que la famille de son mari avait acquiert l´appartement au moment de la rafle, et elle commence à enquêter sur ce qui était arrivé 65 ans plus tôt.Alors son beau-père , connaissant l'histoire et pour protéger sa mère âgée (qui avait été la femme du couple qui avait pris possession de l'appartement saisi) , trouve indiscrète Julia, mais il se rend compte qu'il devra lui raconter l'histoire . Alors Julia poursuit son enquête afin de trouver la moindre trace de Sarah,et decouvre à Brooklyn sa
mort et arrive à localiser son fils en Italie. Elle le rencontre et confirme à sa grande surprise qu´il ne connait pas l'histoire de sa mère, et même pas qu'elle était juive, il pensait seulement qu'elle était française. Il refuse de croire ce que lui raconte Julia et la rejette. Plus tard, son père mourant lui avoue le
secret de Sarah, et la raison de son suicide . Quant à Julia ,elle découvre qu'elle est enceinte, après avoir abandonné l'espoir d'un deuxième enfant malgré plusieurs tentatives.Mais son mari refuse d´ avoir un autre enfant . Il veut
lui faire subir un avortement, en disant qu'il est trop vieux, même qu'il chérit leur fille adolescente, Zoé. Elle hésite à se faire avorter, et conserve finalement l'enfant. Plus tard, elle divorce et s'installe à New York City,oú elle donne naissance à une fille.
Julia rencontre Guillaume dans un restaurant où il lui donne des informations supplémentaires sur sa mère. Julia était accompagnée de sa fille bébé.Guillaume pensait que le nom de la petite fille était Lucy, mais il se rend compte que Lucy est le nom de la girafe jouet, et que la petite s´appelle Sarah. Il en est très ému.
C´est une très belle et émouvante histoire qui prouve que dans la vie il y a beaucoup de hasard et que les destinées et les chemins se croisent.
ANALYSE DU FILM “ELLE S’APPELAIT SARAH”
« Elle s’appelait
Sarah » c’est un film réalisé par Gilles P aquet-Brenner
en 2012. Ces acteurs et actrices principaux son Kristin Scott Thomas, Mélusine
Myance , Frédéric Pierrot, entre beaucoup d’autres.
Ce film nous raconte
deux histoires apparemment déconnectés mais, en effet, une des histoires est le
passé de l’autre.
Le film commence avec
deux enfants qui jouent dans un lit quand des hommes en uniforme entrent
chez-eux pour les conduire où commence la déportation des Juifs en France
durant la collaboration : le Vel’ d’Hiver. Pour protéger son frère, Sarah,
l’une des deux enfants, le ferme dans un placard caché. A partir de ce
moment-là commence l’histoire de cette fille. Parallèle à cette histoire, une
journaliste américaine mariée à un architecte français qui est en train de
faire un reportage sur le sujet du Vel’ d’Hiver, découvre des choses et elle
rejoint toutes les pièces pour construire le puzzle que c’est la vie de cette
fille. Tout ça commence parce que, la maison qu’elle et son marie vont habiter,
qui était à son beau-père, a appartenu à une famille juive pendant la
collaboration française avec les nazis et, curieusement, cette famille a été la
famille de Sarah.
Les deux histoires se
développent avec des scènes terribles et
des grands traumatismes psychologiques chez Sarah qui l’a conduite à la fin de l’’histoire et à une situation
différente de la vie de la journaliste qui a eu une enfant avec laquelle se
présente la dernière scène, la même qu’au début du film.
La forme comment
l’auteur nous raconte les deux histoires en parallèle est très bien structurée
parce qu’il nous permet un développement constant des deux. Au même temps, il y
a des aspects de la réalisation du film que marquent la séparation parfaite des
deux situations. Un des ces aspects sont les couleurs du film, qui sont très
obscures dans toute l’histoire de Sarah et moins obscures quand nous sommes au
vingt et unième siècle. Mais, l’aspect que j’ai
pu le plus observer c’es la contraste sonore du film. Il y a un bruit
presque assourdissant quand nous sommes dans la vie de Sarah jusqu’à ce qu’elle
trouve la famille qui l’a accueillie, mais dans l’histoire de la journaliste on
peut écouter un silence très calme et apaisé jusqu’au moment où elle change sa
vie par les problèmes familiers. Je crois que le bruit a un rôle très important
en montrait aux spectateurs l’état d’esprit des personnages et, dans ce cas, celui
de Julia et Sarah.
J’ai bien aimé ce
film, bien que ce soit très dramatique en raison de l’époque où nous étions.
Toutes les productions littéraires, cinématographiques, musicales, etcétéra,
qui se remontent à cette période de l’histoire ont une charge émotionnelle très
forte et elles sont d’une dureté psychologique qui nous fait presque toujours
les aimer. Je ne comprends pas pourquoi les êtres humains ont cet instinct
mais, à mon avis, c’est bon parce que des choses comme celle-là ne devraient
pas être un tabou parce que, bien que cela nous coûte beaucoup les croire, toutes
ces choses-là ont vraiment eu lieu et nous,
les êtres humains ,nous sommes ceux qui les avons provoquées.
Ana Teresa Carrilho, 1º Bachillerato A
ELLE S’APPELAIT SARAH
Date de
sortie: 13 octobre 2010
Durée: 1h 51 min
Réalisé par: Gilles Paquet-Brenner
Genre: Drame
Résumé du
film:
Le film
commence avec les petits enfants, Sarah et son frère, qui jouent dans leur chambre. Et tout de suite, la police arrive à la maison pour les conduire au
Vél’ d’Hiv, et enfin rentrer en Allemagne.
Sarah
cache son petit frère dans un placard, et garde la clé avec elle, et lui
promiet qu’elle rentrera chez-eux pour le libérér. Enfin elle sort avec
la police, sa mère et son père, et partent tous ensemble
au Vél’ d’Hiv.
Parallèlement,
le film nous raconte aussi l’histoire de Julia, une journaliste américaine, qui
vit à Paris avec son mari et sa fille.
Et une
histoire va se mettre dans l' autre, car Julia, pour son travail, doit faire un
rapport, sur le soixantième anniversaire du Vél’ d’Hiv, et celui-là va lui permettre de connaitre l’histoire de Sarah.
Sarah,
est une fille de 10 ans, qui a été capable de s’échapper avec une autre fille,
du camp de concentration, et elle est capable de survivre et faire sa vie.
Elle est
accueillie par un couple, et lui demande de rentrer chez-elle pour libérér son
frère, mais quand elle arrive là, son frère est mort.
Maintenant,
nous nous apercevons que Julia est enceinte, et que son mari ne veut pas avoir
le bébé et essaie de la convaincre d’avorter, mais elle ne veut pas.
Julia va
découvrent des informations, et elle parle avec son gendre in law et découvre
que la maison qu’il à habiter c’est la même maison que Sarah à vivre quelques
années avant.
Sarah à
la fin va se suicider et Julia, va raconter toute l’histoire de Sarah à son fils, qui dans un premier moment ne la crots pas, mais qui , après avoir
parlé avec son père sur ça et savoir que c’est la vérité, la recherche pour
savoir plus. Le film termine avec Julia, disant que sa fille s’appelait Sarah.
Commentaire:
J’ai
vraiment beaucoup aimé ce film. À mon avis, c’est un film très original et
intéressant.
L’histoire
est très frappante, et le moment qui m'a marqué le plus, à été probablement,
quand Sarah rentre chez elle et regarde son petit frère mort.
Mais au
même temps, en partie, je suis contente, car elle s'est sauvée, et n’est pas alleé au
camp de concentration .
Son
suicide à été une chose très triste, car je ne l’attendais pas, mais je
comprends pourquoi l’auteur a choisi cette fin pour elle.
Raquel Boullosa. 1º Bachillerato B.
Commentaire du film « Elle s’appelait Sarah »
À
mon avis ,ce film est vraiment exceptionnel car le réalisateur a été capable de
nous montrer l´histoire de deux vies qui
changent radicalement à cause de leur passé.
D’autre
part ,on montre un point très important de la II Guerre Mondiale que c’est
l’invasion nazi de la France, quand les propres Français, vus par l’histoire
comme les héros de la Guerre, ont été capables de faire des choses terribles
les uns contre les autres.
C’est
une partie de l’histoire qui était bien cachée par le gouvernement à cause de
sa nature honteuse, mais c’est important d’informer et d’admettre les erreurs
faites.
Avant Pâques, nous avons analysé ce film en classe et j'ai adoré. J'ai été très choquée car l'histoire est difficile mais je crois franchement q'il devrait y avoir plus de films de ce type. Ce n'est là qu'un de nombreux événements qu'on ne doit pas oublier. Amener les gens à s'ensouvenir n'est pas seulement un droit mais une obligation.
RépondreSupprimerÀ mon avis, ce genre de films sont importants parce qu'ils nous apprennent beaucoup de choses aux gens étrangers. Le rôle joué par la France pendant la Seconde guerre mondiale, moi personnellement je ne le connaissais pas de la façon que ce récit nous apprend. La cruauté de ces terribles événements et à la fois, la démonstration d'une humanité incroyable , comme celle des personnes qui adoptent Sarah, ou le soldat qui la laisse sortir du camp avec son amie. J'ai adoré le film et je crois que tout le monde devrait le voir, au moins une fois dans la vie.
RépondreSupprimerLe scénario est construit d'une manière magnifique et ça attire l'attention du public du début à la fin. Les acteurs sont génials et les petits, mais très importants détails, laissent tout le monde qui voit le film bouche bée, par exemple le commentaire que Julia fait:- "ce n'était pas l'oeuvre des Allemands mais des Français"- Génial!!. Un autre détail à souligner est l'analogie entre le début et la fin avec les "deux" Sarahs. Plus rien à dire. Film recommendé à tout le monde.
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