lundi 20 décembre 2010

TANGUY


Nous avons vu cette comédie en classe et on l'a adorée. Ce qui a été compliqué a été de faire son analyse, mais enfin on a réussi. On a suivi tous la même démarche: Synopsis, Thème abordé, Scénario (état initial, complications, résolution, état final), Commentaire critique.

Titre: Tanguy
Réalisation: Étienne Chantiliez
Scènario: Étienne Chantiliez, Laurent Chouchon
Date de sortie : 21 Novembre 2001
Durée : 108 minutes
Pays d´origine : France
Genre : Comédie
Acteurs Principaux : Sabine Azème, André Dusssolier, Éric Berger, Hélène Duc.

Synopsis : Tanguy est un jeune homme, qui avec 28 ans, habite toujours avec ses parents, qui sont fous de l´avoir dans la maison. Ils font beaucoup de choses pour que Tanguy déteste vivre à la maison et s´en aille car il ne sort jamais du nid, mais Tanguy se moque de ça. La seule solution qu´il y a pour que Tanguy sorte de la maison est de faire sa thèse à Pékin, mais il ne veut pas sortir parce qu´il sent qu´il n´est pas encore préparé. Tanguy va dénoncer ses parents parce qu´ils veulent le chasser de la maison. A la fin du film, Tanguy va vivre avec sa femme est ses beaux- parents , qui deviennent sa nouvelle famille, en Chine.

Thème Abordé : Le thème abordé est la dépendance des enfants des parents, et la dépendance des parents des enfants. Un autre thème abordé est le temps que les jeunes gens, surtout avec plus de 18 ans, restent à la maison de leurs parents, parce qu´ils ne veulent pas en sortir.

ANALYSE DU SCÉNARIO
État initial : L´état initial du film est la naissance de Tanguy, et les scènes de la vie quotidienne de Tanguy et ses parents, avec 28 ans dans leur maison de Paris.
Complications qui apparaissent et leurs conséquences : Les complications apparaissent quand Tanguy dit à ses parents qu´il ne va pas voyager en Pékin pour finir sa thèse et qu´il va rester une autre année avec eux. Ses parents, qui sont fatigués de le soutenir, décident de faire toutes les choses qu´il déteste pour le chasser de la maison. Sa mère va toujours chez le psychologue parce qu´elle croit qu´elle est folle. Ses parents décident de louer un appartement pour Tanguy, mais il a des attaques nerveuses lorsqu’il se sent tout seul. Tanguy va les dénoncer devant le Tribunal, et c´est en ce moment- là où la haine des parents envers Tanguy commence.
Résolution : Tanguy décide de sortir de la maison.
État final : Tanguy va se marier avec sa femme chinoise, et ils vont avoir un bébé en Chine.
Commentaire critique et opinion personnelle : Je crois que ça a été un bon film parce qu´il représente le phénomène « Tanguy » , qui est de plus en plus commun dans la société actuelle d´une façon comique. Enfin, c’est une critique féroce des comportements des parents et des enfants qui peuvent devenir un cauchemar et mettre en risque les rapports entre eux.

Valentina Resel. 2º Bachillerato B


TANGUY est un film français réalisé par Étienne Chatiliez en 2001.
C'est l'histoire de deux jeunes gens qui viennent d'avoir un enfant , Tanguy, avec quelques jours de retard. Pendant qu'il était petit sa mère a fait la plus grande bêtise dont les conséquences apparaitront plus tard. La gaffe qu'elle a faite fut de lui dire « Tu es tellement mignon, si tu veux tu pourras rester à la maison toute ta vie ! ».
Quelques années plus tard les conséquences ont apparu : Le jeune Tanguy de 28 ans ne quitte plus la maison . Il est diplômé et prépare une thèse en chinois qui tardera à la rendre , ce qui fera retarder la date de sont départ. Il est doté d'une gentillesse extrême mais il est chiant avec ses proverbes chinois. Mais ses parents avaient marre de lui, ils étaient désespérés , donc ils décidèrent d’utiliser tous les moyens possibles pour le faire quitter la maison.

Au début ils commencèrent gentiment en lui jetant des indirectes , puis en le faisant chier , après ils utilisèrent les manières les plus fortes. Mais rien de ça ne lui fait quitter la maison , il prenait tout à la légère. Une fois qu'il fut en Chine pour quelques jours , ses parents apprennent qu'un avion avait crashé , et là ils sentirent de la peur , ils crurent avoir perdu leur fils. Mais une fois leur fils retourné à la maison , ils se sentirent soulagés ,surtout la mère.
Mais ça ne leur a pas fait changer d’idée , donc ils terminèrent avec leur magouille, jusqu’à ce qu'ils comprennent qu’ être direct et la meilleure des choses. Le père lui laissa clair qu'il ne voulait plus de lui à la maison. Ce qui fait que Tanguy aille s'installer ailleurs , mais pendant sa première nuit et toute celles qui viendront après, il eut des crises , donc il retourna au domicile familial.
Après un long conflit , Tanguy mit ses parents en justice et il les a vaincus.
C'est là où le père décide d'aller voir un groupe d'hommes pour qu’ils cassent la gueule à son fils, mais une fois qu’il les a payés , la mère l'appelle pour lui dire que Tanguy ira s'installer en Chine. Ces hommes-là ne lui ont pas rendu l'argent , une chose qu'il voulait, il le tabassèrent en échange.
Une fois en Chine , les parents et la grand-mère furent visiter Tanguy et sa nouvelle famille .Il se maria à une Chinoise qui vivait toujours avec ses parents et ses grand-parents et leur enfant viendra au monde avec du retard aussi.

Opinion personnelle : C'est un film assez marrant où on voit jusqu’où des gens sont prêts à arriver juste pour obtenir ce qu'ils veulent. Ils oublient les sentiments et tout ce qui va avec .Il reflète assez bien la société actuelle. Pourtant, il y a quelques moments de répétition qui fait le film un peu long . Mon personnage préféré c'est la grand- mère puisque du début jusqu’à la fin c'est elle qui avait raison.

MARJANA INES BOUAZZA. 1º Bachillerato B.

jeudi 16 décembre 2010

PORTRAITS


Dans le « Coin de l’écriture » de notre livre ÇA MARCHE 4, nous avons étudié le portrait à partir d’un extrait du livre "La gloire de mon père" de Marcel Pagnol. Nous avons tous fait un portrait et nous avons aimé ceux de nos camarades Beatriz et Claudia.


Beatriz Monteiro. 4ºESO A.

Elle est la femme la plus belle que je n’ai jamais vue, elle est ma mère.
Elle est petite, elle n’est pas très grosse mais elle n’est pas très mince non plus. Elle est svelte et elle marche d’un pas énergique. Si tu la regardes tu la trouves belle mais pas trop spéciale, cependant quand elle commence à parler tu te rends compte de sa beauté. Son visage est ovale et ses joues sont roses, pas très rondes. Elle a des cheveux abondants et bouclés mais elle ne les aime pas trop, elle préfère les cheveux raides. Moi, par contre, j’adore ses cheveux, je crois qu’ils reflètent son caractère vif et libre. Elle a le nez droit et la bouche très expressive et rieuse avec des lèvres roses. Elle a des yeux en amande et ils sont marron comme le chocolat. Son regard est profond et vif. Comme dit Maurice Carême « dans ses yeux d’enfant le monde tient à l’aise ». Elle est belle, ma mère !.


Claudia Ferreira Cajada. 4ºESO A.

On dit que je suis comme elle et que je parle comme elle. Cependant je ne suis pas d’accord. C’est normal que je parle comme elle puisque j’habite avec elle et je suis avec elle tous les jours. Or, je ne suis pas comme elle car nous avons beaucoup de différences, côté physique et côté caractère.
Elle est très grande, elle a de longues jambes et un visage plus rond que le mien. Elle a les cheveux marron et raides parfois tandis que moi, j’ai les cheveux très bouclés. Elle a les yeux marron comme moi, mais je crois que les miens sont un peu en amande et les siens, non. Je porte des lunettes comme elle, mais elle les utilise depuis qu’elle avait 9 ans et moi, depuis que j’avais 13 ans. Côté caractère…bon…elle est très amusante et sympa, mais quand elle veut, elle peut être très méchante. Elle sourit beaucoup et elle aime les petits enfants. Parfois, elle semble une petit fille, et elle fait tout ce qu’elle veut. Elle est aussi timide quand elle doit parler aux gens qu’elle ne connaît pas, mais elle fait de nouveaux amis très facilement.
Je suis contente d’avoir une sœur merveilleuse et je l’adore. Nous ne sommes pas pareilles, nous avons nos différences, mais ça c’est quelque chose de bon, parce que je ne veux pas être comme elle. Je veux être comme je suis, et je veux avoir une sœur comme elle.

YASMINA REZA : "ART"


"Art" de Yazmina Reza

Cette pièce de théâtre nous raconte l’histoire de trois amis : Marc, Serge et Yvan. Ça commence quand Marc parle du tableau que son ami Serge a acheté. Marc pense que c’est une merde mais Serge le trouve génial. Le prix du tableau a été 200000 francs et c’est un tableau blanc avec des rayures blanches.
Ensuite Yvan apparaît. Il veut contenter ses deux amis, donc il dit une chose quand il est avec Marc et le contraire quand il est avec Serge.
Les trois amis deviennent de plus en plus fâchés entre eux. Ils commencent en parlant sur quelque chose de banal et à la fin ils veulent presque se tuer les uns et les autres.
Finalement, Serge permet à Marc de dessiner sur le tableau et il dessine un skieur bleu. Comme ça, les problèmes finissent et ils se rendent comte que ce n’est pas la peine de se disputer à cause d’une peinture.

À mon avis, les sujets traités dans l’argument seraient l’art, on fait surtout une critique de l’art contemporain car on a des problèmes à le comprendre et l’autre thème traité serait l’amitié car on montre les choses qu’on ne dit pas à nos amis, mais après quand on se dispute on se dit tout sans y réfléchir aux conséquences.

Quant aux personnages on peut dire qu’ils ont tous en commun, l’aisance économique et le fort désir de maintenir leur amitié au-dessus de toutes les choses.

• Marc : Il connaît Serge depuis 15 ans. Il est rationnel et sceptique à l’égard de l’art contemporain. Il est ingénieur aéronautique. Il dit ce qu’il pense, même sans penser à ce que son ami peut dire. Serge le présente : « Mon ami Marc, qui est un a garçon intelligent, (…) garçon d’une arrogance vraiment stupéfiante »
• Serge : Il est un snob extravagant qui aime le monde de l’art. Il est divorcé de Françoise et a deux enfants. Il est dermatologue. Il gagne bien sa vie aussi et il dépense de l’argent dans le domaine de l’art. Il aime les choses que Marc déteste et au contraire. Marc le présente : « Mon ami Serge est un ami depuis longtemps. C’est un garçon (…). Un garçon aisé, mais qui ne roule pas sur l’or. Aisé sans plus, aisé bon ».
• Yvan : Il est le médiateur et veut toujours éviter un conflit. Il a le sentiment d’ avoir vécu sa vie. Il va se marier en 15 jours avec Catherine, la nièce de son nouveau patron. Il se présente tout seul : « Je m’appelle Yvan. Je suis un peu tendu car après avoir passe ma vie (…) quinze jours avec une gentille fille brillante et de bonne famille ». Pour Marc : « Yvan est un garçon tolérant, ce qui en matière de relations humaines est le pire défaut ».

J’aimerais souligner que j’ai commencé par aimer l’œuvre et je crois que c’est une très bonne pièce de théâtre, mais je la trouve à certains moments confuse et absurde car, à mon avis, c’est impossible de discuter autant et de se disputer à tel point seulement a cause d’une peinture. Or, elle a des situations vraiment comiques et je les ai vraiment aimées.

Luis Dezcallar. 2º Bachillerato A.

lundi 22 novembre 2010

PABLO RUIZ PICASSO: LE SYMBOLE DE TOUT UN SIÈCLE


"Les ordinateurs sont inutiles.Ils ne savent que donner des réponses". Pablo Picasso.
Cette citation et celles ci-dessous seront analysées en classe afin de nous rapprocher du symbole, du personnage, de l'artiste, de l'homme...


1. De nos jours, l’on ne va plus à l’asile ,on fonde le cubisme.
2. Tout acte de création est d'abord un acte de destruction.
3. Certains peintres transforment le soleil en un point jaune ; d'autres transforment un point jaune en soleil.
4. Chercher ne signifie rien en peinture. Ce qui compte, c’est trouver.
5. Qui voit la figure humaine correctement ? Le photographe , le miroir ou le peintre ?.
6. S’il n’existait qu’une seule vérité, on ne pourrait peindre des centeines de tableaux au même sujet.
7. Un tableau ne vit que par celui qui le regarde.
8. C’est l’âge qui nous a forcé à arrêter, mais il reste l’envie de fumer.
C’est la même chose que pour faire l’amour. On ne le fait plus mais on en a encore envie. .
9. Je ne cherche pas, je trouve.
10. J’essaie toujours de faire ce que je ne sais pas faire, c’est ainsi que j’espère apprendre à le faire.
11. Il faut bien que la nature existe, pour pouvoir la violer.
12. Nos morts continuent de vieillir avec nous .
13. Le goût est l’ennemi de la créativité.
14. En peinture on peut tout essayer. On a le droit. Mais à condition de ne jamais recommencer .
15.Je ne peins pas ce que je vois, je peins ce que je pense.
16.La jeunesse est la période où l'on se déguise, où l'on cache sa personnalité. C'est une période de mensonges sincères.
17.Faut-il peindre ce qu'il y a sur un visage ? Ce qu'il y a dans un visage ? Ou ce qui se cache derrière un visage.
18.La peinture n’est pas faite pour décorer les appartements. C’est un instrument de guerre offensive contre l’ennemi.
19. Les autres parlent, moi je travaille.

samedi 13 novembre 2010

LE MIROIR nº 2

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Voilà le numéro 2 du journal LE MIROIR publié au mois de juin dernier et que les élèves de Première vont analyser en classe afin qu'ils puissent eux aussi publier le leur cette année. Que l'atelier de journalisme commence!!!!!!.

samedi 6 novembre 2010

RENCONTRE LITTÉRAIRE: TROIS AUTEURS, TROIS NOUVELLES À CHUTE






Le 2 novembre on a eu l'occasion exceptionnelle de nous entretenir avec des écrivains qui sont au même temps des camarades à nous. Valentina Resel, Marina Stussi et Catarina Ferreira, des élèves de Terminale de notre lycée nous ont lu les nouvelles qu'elles ont écrites en cours de français. Nous, les élèves de Première nous leur avons posé des questions et avons écrit des rapports le lendemain.
Voilà quelques photos de la rencontre à la bibliothèque et les trois nouvelles à chute qu'elles nous ont lues.

LA POUPÉE QUI TUE de Valentina Resel.Ses grands yeux bleus regardaient par la fenêtre. Elle était si petite qu’elle avait pris l’habitude de prendre une boîte de chaussures pour y arriver. Matilda restait des heures collée à la fenêtre à regarder les gens passer devant sa maison. Elle aimait imaginer ce qu'ils pensaient.
Quelqu'un a appelé au bout du couloir. Il semblait être sa mère. Matilda descendit avec précaution pour ne pas tomber, et attendit à la porte. Elle comprit que sa mère voulait sortir et qu’elle ne pouvait pas rester seule dans la maison. Matilda protesta. Elle descendit l'escalier lentement, et mit ses chaussures en cuir verni brillant. Elle faisait huit ans ce jour-là mais elle n´avait pas reçu de cadeaux. Ses parents n´aimaient pas les jouets. Matilda n'avait pas de frères, mais elle avait découvert une photo d´une fille comme elle. Son père l’avait interdit d'en parler.
Matilda est restée dans le parc pendant que sa mère parlait avec ses amies. Mais ce jour-là serait différent.
Matilda rentrait à la maison, précédée de sa mère, qui lui rappelait les normes à respecter. Elle sautait de pavé en pavé dans la rue, jusqu'à ce qu'elle s’arrêta et dit au revoir à sa mère. Mathilde resta debout en regardant l’éclat de ses chaussures, quand elle a vu un petit papillon blanc sur l'asphalte. Lors du déplacement, le papillon s'envola, et elle décida de le suivre.
Matilda aimait les papillons. Petit à petit, elle s'éloigna du parc. Un, deux, cinq, treize, vingt. Un nuage de papillons volait autour de la rue. Matilda a vu comment la fin de la rue disparaissait et la terre commençait. Les papillons ont commencé à entrer à travers les buissons, et Matilda s’arrêta un instant se demandant si elle devrait les suivre.
À la fin du chemin, elle pouvait voir une petite maison. Bien qu'elle ait été abandonnée, elle avait conservé le même style que les autres maisons de la ville. Le papillon se posa sur l’une des colonnes de l'entrée, tandis que Matilda monta les escaliers. La porte était entrouverte, et elle décida d’y entrer.
Elle était surprise de la grandeur et la luminosité de la maison. Elle avait vu toutes les pièces de la maison quand soudain elle a remarqué une lumière qui venait de la dernière salle. Elle se tenait à la porte, et jeta un coup d'œil. Il y avait des taches de sang sur le plancher, et une poupée au milieu de la pièce. Matilda regarda la poupée et décida de la prendre, essayant de ne rien toucher. Tout à coup elle frissonna. Elle se retourna et regarda que dans la salle il y avait de petites marques de chaussures, comme celles d´une poupée. Elle est sortie de la maison .Sa poupée avait un pendentif avec le nom de Gigi. Ça semblait étrange qu´ une poupée aussi belle pouvait être là, abandonnée. Elle avait des cheveux bouclés et sa robe blanche avec des papillons, comme Matilda avait toujours voulu. Maintenant, la poupée était à elle.
Après l´avoir cachée, Matilda plaça Gigi sur son lit. Et au moment de se coucher, elle prit Gigi entre ses bras.
Le lendemain matin, la maison était vide. Dans la chambre de Matilda, il y avait des taches de sang. Les papillons étaient maintenant devant sa fenêtre. Gigi avait un nouveau nom sur son pendentif.

DRÔLE DE DICTIONNAIRE de Marina Stussi.
Il restait là bas, silencieux, immobile, dans son coin. Personne ne l’avait touché depuis des années, et ça se voyait dans la couverture de poussière qui le couvrait. Qui l’avait oublié là, s’il avait été oublie ? .Sans connaître la réponse à cette question, sans même se la poser, la fillette regarda à travers la porte de l’énorme salon, et en le percevant elle courra vers lui et le prit dans ses mains. Un nuage de poussière vola vers elle, et la fit éternuer. Or, elle ouvra le bouquin et fit tourner les fines pages entre ses doigts. Le dictionnaire semblait crier : A, B, C, D. Plus vite, les pages se succédaient de plus en plus vite. Elle avait ce mot en tête depuis tellement longtemps, et enfin, elle avait trouvé un dictionnaire.
Soudainement, elle s’arrêta. Elle avait remarqué que les mots qui se suivaient devant ses yeux n’étaient pas des mots, mais des noms. Une liste longue et organisée alphabétiquement, aussi grosse que le dictionnaire, quelle tenait dans ses mains. Il y en avait de fille et de garçon, indistinctement, tous dactylographiés comme par une ancienne machine á écrire, en encre noire sur le papier un peu jaunâtre. Sans éprouver aucun sentiment de méfiance ou malaise, elle ferma le dictionnaire et regarda sa couverture, où on pouvait lire ‘Mon Petit Larousse illustré’. Elle connaissait ce genre de dictionnaires, sa mère en avait deux ou trois à la maison, puisqu’elle était professeure. D’habitude c’étaient de bons dictionnaires, mais elle n’avait jamais vu un contenant simplement une énorme liste de noms et prénoms. Et, un peu plus bas, en écriture italique, on lisait ‘La Curiosité a Tué le Chat’.
‘C’est bizarre’ -pensa la jeune fille, en agitant ses longs cheveux blonds- ‘J’ai l’impression d’avoir entendu cette phrase quelque part.’ Et quelle phrase bizarre pour ouvrir un dictionnaire !. Pas très rassurant, en tout cas. Et ce n’était pas quelqu'un qui l’avait écrit dessus, c’était imprimé dans le dictionnaire, même. Mais, même en ce moment-là, la fille ne se sentit inquiète, par contre, un énorme sentiment de curiosité s’empara d’elle. Qui étaient tous ces gens-là ? Pourquoi étaient -ils écrits sur une liste ? Et, beaucoup plus important, pourquoi n’était pas elle sur cette liste, aussi ?
Pour une raison quelconque , ça la dérangeait. Il fallait changer cela, elle aussi, elle voulait être assez importante pour figurer sur cette liste de noms distingués pour toujours, aussi longtemps que le temps , elle n’était pas moins importante qu’eux. Et de toute façon, personne n’allait jamais le savoir. Elle ne devait même pas regarder sur son épaule pour être sûre qu’elle se trouvait complètement seule dans tout le collège. Alors elle ouvra de nouveau le dictionnaire sur la page de la lettre N, et en sortant un bic noir de sa poche elle commença à écrire la première lettre de son prénom, le plus parfaitement possible, de manière que personne ne remarque jamais la différence, puis la deuxième, puis la troisième, et puis la quatrième. Nata…Cependant, elle n’a pas pu écrire les trois dernières. En fait, Natasha n’a jamais su qui ou quoi l’avait tuée. Elle est juste tombée par terre, ses cheveux blonds, ainsi que toute sa peau pâle, s’était instantanément couverte d’un étrange liquide ébène, en même temps que son bic noir se vidait aussi rapidement. Le livre, encore dans ses mains maintenant inertes, tomba aussi ouvert par terre. Doucement, dans une encre noire et une écriture belle et précise, trois petites lettres se sont ajoutées pour finir le nom de sa plus récente victime. Natasha. Elle aussi, était morte par curiosité.

CLAIR DE LUNE de Catarina Ferreira.Toute la famille était consacrée à la musique, Claudine n’était pas la première à jouer du piano. Elle a joué sur Scilor, son piano, depuis l’âge de six ans quand elle n’était qu’une enfant. Son père lui en apprit à jouer, à faire de la musique
avec du sentiment. Son père , lui ,avait aussi joué du piano, oui, il en avait joué, il n’en fait plus .
Claudine ne s’est jamais récupéré de ce trauma, de perdre son père. Il est mort pendant que Claudine jouait du piano un morceau tellement connu de tout le monde, mais jamais écouté par le grand public, quand elle avait 15 ans. Lorsque Claudine finit le morceau son père avait rendu son dernier soupir.
Ce morceau était une pièce musicale écrite par Debussy. Claire de Lune. Claudine ne l’avait jouée qu’une fois, et cette fois-ci était la première et la dernière. .
Aujourd’hui elle a 18 ans , et il y a trois ans que son père est décédé. Sa mère essaie de la faire jouer ce morceau une autre fois mais Claudine n’en veut pas.
Une nouvelle est arrivée chez elles. Le président du gouvernement a envoyé une invitation personnelle à Claudine, il aimerait que ce soit elle qui joue du piano dans une cérémonie très importante qui va être diffusée dans toute l’Union Européenne sur les chaînes de télévision et radio. Il lui demande de jouer deux morceaux. De Mozart la sonate K304 pour piano et violon en ré mineur et comme hommage à son père, Claude Debussy, « Claire de Lune ».
Elle n’avait aucune option elle devait jouer les morceaux qu’ils demandaient.
Claudine commença à répéter plusieurs heures par jour. D’abord Mozart, qui était plus difficile à jouer et après Debussy, qu’elle déjà connaissait par cœur.
Elle mettait la plupart de son temps à améliorer son Mozart, mais cela n’était qu’une excuse pour ne pas jouer « Claire de Lune ».
Le concert va être dans 5 jours, et elle doit commencer à jouer Debussy très rapidement. Mais que c’était difficile de revivre le moment de la mort de son père !. Enfin, elle va le faire pour lui, elle va dédier ce morceau à son père dans le concert.
Pendant ces cinq jours Claudine n’a fait plus que jouer « Claire de Lune », mais la veille du concert l’appartement de sa voisine a brûlé. Apparemment Mme. Julia s’était endormie pendant qu’elle avait laissé la cheminée allumée . La mère de Claudine n’était pas chez elle, elle s’était rendue à une réunion avec le responsable du concert de demain.
La police a dit que Mme. Julia était déjà morte quand le feu a eu lieu. Au moment où la police est sortie de la Rue Saint Janvier, Louis est arrivé. Le copain de Claudine. Il voulait savoir tout ce qui s’était passé.
Il n’aimait pas que Claudine passait tous les jours devant le piano, et ce jour- là elle lui dit qu’elle ne pourrait pas aller chez lui parce qu’elle avait une réunion dans l’école professionnelle de musique. – « Je n’irai pas à ton concert, je te préviens. Ne me cherche pas, désolé. Je t’aime». Voilà les derniers mots de Louis pour Claudine ce jour -là.
Le grand jour du concert est arrivé . Selon la tradition Claudine ne ferait pas de répétitions le jour du concert, sa mère insista beaucoup, mais Claudine ne le fit pas.
Son père lui avait toujours dit qu’on devait garder nos énergies pour le moment du concert.
«Soyez la bienvenue , citoyens de l’Union Européenne, le jour que nous attendions depuis le début de l’année est arrivé. Le concert de Claudine Debussy, la fille aînée du célèbre compositeur Claude Debussy, qui va jouer ce soir pour la première fois devant le grand public le troisième mouvement de la suite Bergamasque dont le titre « Clair de lune » et elle va commencer avec la sonate de Mozart avec Patrick Armstrong, le célèbre violoniste. Profitez du spectacle mesdames et messieurs ! Bonne soirée ! »

La première partie du concert a été parfaite, tout le monde a profité de la musique jouée. Ils sont de très bons musiciens. Mais maintenant c’est l’heure du solo de Claudine. Elle est très nerveuse parce que ce morceau n’a jamais été joué en public, et c’était le plus grand concert qu’elle avait donné. Elle dédia le morceau à son père et finit comme ça :- « ce que je vais faire c’est pour toi. »
La musique a commencé. Tout le monde était impressionné et surpris de la beauté de l’harmonie.
Claudine finit l’œuvre avec une grande échelle en Do mineur. Elle attendit les applaudissements mais elle n’écouta rien.
Quand elle retourna son visage vers le public, tout le monde était là assis, immobile, on dirait que les gens dormaient…Oui ,n’est-ce pas ?.

jeudi 28 octobre 2010

LA PHOTO QUI TUE d'Anthony Horowitz

EXAMEN DE « LA PHOTO QUI TUE » réalisé par Lucia Branco. 1º Bach. A

a) Le registre fantastique dans l'histoire, on le voit en premier lieu dans la magie noire que le protagoniste découvre, son enquête commence avec les meurtres de son chien et du cérisier. À partir de ce moment-là, l'histoire prend un chemin complètement différent du registre banal de la narration, et nous conduit à la chute, le climax de la nouvelle. C'est là que le texte est tout à fait fantastique. Ici, l'important c'est que le lecteur parcourt avec le protagoniste les événements terrifiants pour que, à la fin, nous restons "effrayés", comme dit le titre, "une histoire qui nous glace le sang".

b) L'écrivain nous entraîne vers les destins horribles car c'est celle-ci la structure d'une nouvelle à chute: une scène banale, normale, se transforme dans une fin incroyable, qui nous laisse sans souffle. C'est aussi une histoire avec une humour noire, et fantastique; c'est une autre raison de ces "destins horribles".

c) Le titre "La photo qui tue" se justifie au fur et à mesure qu'on lit: tous ceux qui sont photographiés, sont morts après . De cette façon, les meurtres se suivent: le cerisier, le chien Polonius, peut-être les étudiants (on ne sait pas bien s'ils sont morts à cause de la magie noire qu'ils étaient en train de faire, ou de la malédiction de l'appareil), et à la fin, Londres et ses habitants.

d) La famille King est composée par Christopher, le père, un acteur de théâtre; Elizabeth, la mère; Matthew, le protagoniste, qui achète la caméra; et Jamie, son petit frère. C'est Matthew qui nous conduit au cours de l'histoire; on suit, comme lui, l'enquête et la découverte de la malédiction. Ensuite, ce sont les photos que ses parents ont prises qui aident Matthew à deviner ce qui est en train de se passer; et Jamie, à la fin, qui prend une photo à Londres.

e) L'appareil photo a eu une importance considérable au cours de l'histoire. À cause de la "magie" qui entoure cet appareil .Les gens ont crée des mythes et légendes comme le fait de prendre des photos aux morts, avoir une photo de la personne qu'on veut maudire... justement parce qu'on ne sait pas ce qu'il y a dedans la caméra, et parce que ses photos restent dans le temps, la mémoire; c'est un moment qu'on capture. C'est pour cette raison que l'auteur l'utilise pour son histoire.

f) À la fin de la nouvelle, Matthew court vers le parc où se trouvent ses parents et son frère, avec la caméra photos. Quand il y arrive, il est soulagé de savoir qu'ils n'ont pas pris une photo ensemble, mais après, son frère lui dit qu'il a pris une photo fantastique - à la ville de Londres. L'humour noir de l'auteur se voit ici, car, juste au moment où le lecteur sait que la famille est sauvée, on lit que la victime c'est Londres, la ville entière et ses habitants. Décidemment l'auteur joue avec nous.

samedi 16 octobre 2010

AUTOBIOGRAPHIES

Après avoir lu un extrait de "les Mots" de Jean-Paul Sartre qui était dans notre manuel scolaire Ça Marche 4 de l'année dernière, on a étudié le genre littéraire de l'autobiographie et nous avons fait un atelier d'écriture. Notre professeur a corrigé nos productions et nous a demandé de publier sur le blog celles que nous préférions. En voilà quelques-unes. La première est celle qui a été réalisée par notre camarade Ana Gomes Paz.

1. (..) L’école avait fini et les vacances d’été étaient sur le point de commencer. J’avais eu sept ans ce mois-là et comme cadeau d’anniversaire j’avais demandé à mes parents de voyager en avion. J’aimais voyager en avion parce que je me demandais comment c’était possible qu’une machine si grande puisse voler. Je rêvais de la sensation qu’une personne peut éprouver quand elle est en train de voler. Je rêvais toutes les nuits de ce moment. J’imaginais que le pilote de l’avion m’apprenait à piloter l’avion et qu’à la fin nous atterrissions à Disneyland Paris ! .
J’aimais les histoires et les films de Disney. Aller à Disney c’est le rêve de tous les enfants : je voulais monter dans les différentes attractions, voir les différents spectacles la soirée, connaître les personnages Disney, et la nuit dormir dans le palais Disney. Mais malheureusement tous mes désirs ne pouvaient pas être réalisés. Mes parents avaient décidé d’aller en Russie, parce que ma mère est une passionnée des arts, et elle voulait voir l’exposition des Romanov à St. Petersburg. Ma mère me disait que je pouvais connaitre le palais de la princesse Anastasia, un des personnages Disney, mais je ne voulais pas aller en Russie. Je détestais la Russie parce que ma grand-mère m’a raconté que son oncle avait disparu là-bas pendant la guerre civile d’Espagne, ainsi que j’avais peur de disparaître , moi aussi.
Quand ma mère m’a donné la nouvelle, je suis restée très triste et terrorisée. Je faisais de mauvais rêves où je me perdais en Russie, et personne ne m’aidait parce qu’ils ne comprenaient pas ma langue ! Les cauchemars devenaient insupportables et le voyage était chaque fois plus proche. L’angoisse et la peur me faisaient tourner la tête ! .Le grand jour était arrivé et j’étais plus nerveuse que jamais ! Quand nous sommes arrivées à l’aéroport, nous avions rencontré quelques amis de mes parents avec leurs enfants : les parents de Paula et Marie, et les parents d’Eloi et Adrian. Paula et Eloi sont amis de ma sœur. Ils sont plus grands que Marie, Adrian et moi. Ils étaient dans l’aéroport parce qu’ils allaient à Saint Feliu Guíxols pour visiter leur famille.
Quand nous sommes entrés dans l’avion, nos parents nous donnèrent à chacun un sac à dos que nous ne pouvions pas ouvrir. Ma sœur et nos amis commençaient à spéculer ce qui pouvait y avoir dans ce sac, mais j’étais très occupée en parlant avec le pilote. J’étais émerveillée de tous les boutons que nous pouvions trouver dans cette cabine, et de toutes leurs fonctions. Finalement, on est arrivés et on devait changer d’avion. Comme il restait deux heures pour le charter prochain, nous avions décidé de manger dans un restaurant à Saint Feli avec nos amis.
Pour aller au restaurant nous prîmes un bus dans l’aéroport. Pendant le court voyage, nous avons commencé à voir beaucoup de cars de Disney, et quand le bus s’arrêta, nous vîmes un grand hôtel décoré avec des choses de Disney. Tout à coup, tout le monde sortit du bus et courut voir l’hôtel, sauf moi, que je suis restée avec mon père. Je suis restée immobile à côté de mon père, et après un moment de réflexion, je lui demandai : « où sommes-nous ? ». Et tout à coup j’écoutai la voix d’une femme qui disait: « Ouvrez votre sac et prenez votre stylo et le bloc denotes, Mickey est derrière vous ! » Et quand je me retourne, je vois une queue d’enfants en train de demander un autographe.(…).

Ana Gomes Paz.1º Bachillerato A. « Où sommes-nous ? ». Octobre 2010.


2. J'ai pris la main de ma mère en tremblant et j'ai écouté des enfnts crier et rire. J'avais peur, raison pour laquelle je lui avais demandé de rester là jusqu'au début des cours.
C'était mon prèmier jour de classe dans cette école et j'avais très peur. J'avais dejá connu ma professeure et je savais qu'elle était très sympa et aimable, mais je ne savais pas comment seraient mes nouveaux copains. Et en plus, ils savaient tous parler l'espagnol; moi non. Je ne savais aucun mot en espagnol, car mes parents sont portugais et je n'ai pas de famille espagnole. J'entrais dans cette école seulement puisqu'elle était considerée très bonne pour notre éducation et en plus, elle était bien située aussi.
Quand je suis entrée dans ma salle de classe, j'ai pensé 'oh non!!. Tous les enfants étaient en train de crier, sauter et courir par la classe. Tout à coup, un garçon m'a vu et a avancé rapidement vers moi, sans me donner la chance de m'échapper.
- Salut! Je m'appelle José. Comment tu t'appelles?
- Hmm... je suis Mariana.
Alors, le garçon a disparu pour informer les autres de la nouvelle présence. Puis, chacun des élèves est allé jusqu'à moi pour demander les mêmes choses: qui était moi, comment je m'appelais, etc. Quand ma professeure est finalement entrée, tous les élèves savaient dejà mon prénom. Cette recré, un groupe de filles m'a invité à jouer aves elles et j'ai rapidement fait des amis et appris l'espagnol, et j'ai laissé de confondre les noms des couleurs(rojo? roxo? quoi?).
Mon enfance dans cette école a été très amusante et complète. Après mes premiers amis, l'expérience du premier petit ami était arrivée: j'étais amoureuse du garçon qui avait les yeux les plus beaux de la classe, le plus amusant, qui passait les journées à jouer au football. Après avoir passé cinq ans de ma vie essayant de le conquérir, et non le laisser à mon ennemie Carlota, lui finalement , il m'a demandé si je voulais être sa petite amie, de la manière la plus romantique possible:
- Mariana!
-Quoi?
-J'ai une question pour toi, mais il faut que je la fasse vite, car je suis en train de jouer au football.
-Oui, c'est quoi ce que tu veux savoir? Je lui ai demandé, avec mon coeur sur le point de sortir de mon corps.
- Tu veux... être ma petite amie?
Comme la surprise était grande, je suis restée là bouche bée.
-Ah oui!
-Bien! je vais continuer mon jeu.
Ma première expérience amoureuse avait commencé. J'ai éprouvé une grande émotion en ce moment-là mais après j'ai appris une leçon qui me servirait pour toute ma vie: les hommes sont très compliqués.
Un mois plus tard, il m'avait changé pour Carlota! J'étais en colère! Pendant mon voyage de fin d'études de la Primaire, j'ai réussi à faire ce que je voulais :j'étais de nouveau sa petite amie! Ce voyage a été incroyable! Et je sais que depuis que je suis entrée dans l'ESO j'ai beacoup changé, mais je n'oublierai jamais ces souvenirs d'enfance!

Mariana Lima. 1º bachillerato B

dimanche 10 octobre 2010

CAUCHEMAR EN JAUNE de Fredric Brown


Ce texte a été écrit par Fredric Brown et traduit en français par Jean Sendy en 1992. Le titre du livre est Fantômes Et Farfafouilles et la nouvelle dont je parlerai s’appelle « Cauchemar en jaune », une nouvelle qu'on vient de lire en classe après "Pauvre petit garçon!". Il s’agit d’ une nouvelle à chute et elle parle sur un crime parfait qui finit par être gâché pour une surprise.L’idée de cette nouvelle est de tromper le lecteur et de l’emmener vers une histoire beaucoup plus crédible et populaire.
La chute de cette nouvelle se trouve a la fin du texte et c’est un seul mot. Tout le récit s’étend sur le mot « surprise ». Le narrateur de cette nouvelle est le personage principal. Il raconte ses pensées comme s’il était en train d’écrire sur son journal personnel.Cette nouvelle est très courte et n’a presque pas de personnages. Il n’y a que deux personnages en scène.
Réveillé par la sonnerie du réveil, il resta couché sur son lit pour repasser ses plans diaboliques pour le jour de son anniversaire, le jour de son quarantième anniversaire. Il voulait que tout soit parfait donc il ne pourrait pas négliger aucun détail.
Il était un homme de loi spécialisé dans les affaires immobilières. Il y avait un an, il avait « emprunté » 5000$ pour les placer dans une affaire, mais il avait perdu toute la totalité donc il commença a vendre de diverses propriétés pour gagner le maximum en argent liquide pour ne pas éveiller des soupçons. Á la fin de l’après-midi il disposerait de plus de 100000$, ce que c’était une somme parfaite pour la fin de ses jours. Son plan était donc de déménager et aller quelque part d’autre, changer son identité pour qu’il ne soit pas pris par la police et aussi… TUER SA FEMME !
Et oui, il en avait marre de cette femme, une gentille femme qui faisait tout pour qu’il soit heureux. Il la detestait. Son plan était qu’ après le dîner, il la tuerait, pour enfin être libre, chez lui et laisser le cadavre là- bas. Il voulait que tout se passe à 20:46h, l’heure où il était né, l’heure de ses 40ans. Quand c’ était l’heure, ils étaient toujours devant la maison pour ouvrir la porte donc il n’avait pas le temps d’attendre pour rentrer à la maison, de façon qu’il la tua devant sa porte, il ouvra la porte et l’apporta jusqu’à la pièce. Quand il alluma la lumière en mantenant le cadavre d’un bras, tous les invités de la fête surprise hurlèrent :« SURPRISE ! ».
Cette nouvelle nous piège car on s’attend qu’à la fin c’est la femme qui tue son marri car elle joue le rôle de la femme parfaîte, de la femme fatale qui aime son mari plus que tout, qui lui offre des cadeaux et lui prépare des surprises qu’il aurait aimées. Mais à la fin on se rend compte que c’est lui qui la tue et que son plan ne se gâche pas, jusqu’à la fin de cette nouvelle, avec un seul mot son plan est complètement gâché par les invités de la soirée surprise que sa femme lui avait préparé.
Je n’attendais vraiment pas à une fin comme celle-ci. Elle m’a très surpris car je pensais que ça allait être la femme aàle tuer.

Beatriz Mongiardim. 1º de Bachillerato.

PAUVRE PETIT GARÇON! de Dino Buzzati


« Pauvre petit garçon ! » c’est une nouvelle à chute dont l’auteur est l’italien Dino Buzzati.
Tout commence dans un jardin public, où un groupe de garçons blonds, sains, forts et diaboliques jouent à cache-cache excepté un : un petit gamin pâle, rachitique et faible, qui est l’objet de moquerie des autres garçons. Pendant que les garçons forts jouent avec de chers jouets, Dolfi joue avec son fusil de quatre sous. Puis, un des garçons qui s’appelle Max, s’approche de lui, examine son fusil et invite Dolfi à jouer à la guerre. Après un moment d’intimidation, Dolfi pense que c’est une occasion de ne pas jouer seul est il reste content. Mais à la fin il s’agit d’un piège que les garçons ont préparé pour se moquer de lui. Quand il arrive désolé chez sa mère avec l’intention qu’elle le console, elle humilie Dolfi et se fâche avec lui. Après ce moment, quand la mère se lève pour retourner chez elle son amie dit au revoir, et nous découvrons que cette femme c’est Madame Hitler !
Au début de la nouvelle nous éprouvons une variété de sentiments : la solitude, la souffrance, la compassion, l‘angoisse, la peine et la pitié pour le petit Dolfi. Cependant, nous éprouvons d’autres sentiments comme la colère, la rage et le dégoût pour les gamins forts et blonds qui se moquent de l’inoffensif Laitue. La supériorité de la race aryenne, la ségrégation des faibles, et le manque de compassion de la mère avec le fils, son les sujets les plus importants de cette nouvelle. Pendant la lecture de la nouvelle nous sommes contre les garçons blonds parce que nous avons de la peine de Dolfi, mais c’est incroyable comment nos sentiments changent quand nous nous rendons compte que ce garçon est le redoutable et terrible Hitler ! Mais ce ne sera qu’après un moment de réflexion que nous pouvons comprendre pourquoi Hitler agit d’une façon implacable avec les plus faibles ? Ce sera parce qu’il a vécu une enfance difficile ? Peut être…
Je pense que cette nouvelle a un contenu très intéressant, et au même temps étonnant. C’est une nouvelle où avec une phrase l’histoire change complètement et gagne un nouveau sens.

Ana Gomes Paz 1º Bachillerato A

”Pauvre Petit Garçon!” c’est une nouvelle à chute qui a été écrite par Dino Buzzati. Une nouvelle à chute est un type de nouvelle qui a une fin complètement inattendue.Dino Buzzati utilise les meilleures techniques pour provoquer chez le lecteur une forte impression et, à la fin du roman, changer toute l’histoire avec un mot, une image ou une réflexion. Normalement, les lecteurs lisent le livre une autre fois, et ils découvrent des petits détails qui sont en rapport avec la fin.
”Pauvre Petit Garçon!” c’est l’histoire d’un garçon qui s’appelle Dolfi. Il est faible, mince, brun et un peu marginalisé par ses copains, qui sont tous grands, forts et blonds. Dolfi était connu par le nom de ”Laitue”.
Un jour, au jardin public, Dolfi avait un nouveau fusil, et ses copains lui demandaient s’il voulait jouer à la guerre. Dolfi était très heureux: finalement, il jouerait avec ses copains. Il serait le capitaine d’une des équipes. Quand ils ont commencé à jouer, tous les garçons vont où Dolfi se trouve et ils commencent à le frapper. A la fin, Dolfi est très sale et sa mère lui demande: ”Dolfi, qu’est ce que tu as fait?”. Dolfi était triste et fâché aussi, et il était en train de partir du parc avec sa mère, quand une dame dit “Au revoir, madame Hitler!”
Voilà la fin inattendue: ”Au revoir, madame Hitler!”. C’est maintenant quand on découvre des petits détails: Dolfi peut être un diminutif pour le nom Adolf, il était brun, petit, mince… Dolfi était Adolf Hitler, l’homme que des années après, avait tué de millions de personnes et provoqué la Seconde Guerre Mondiale. Nous pouvons nous poser une question en rapport à cette histoire et à celle d'Hitler: était-ce son enfance la raison pour laquelle il était devenu une personne tellement cruelle? On peut faire des hypothèses et dire qu’il avait tué tous ces juifs parce qu’ils étaient comme lui : bruns, minces et faibles. Ou parce qu’il ne voulait pas que les petits juifs souffraient. Peut-être il avait voulu être le chef des allemands blonds et forts. Peut-être il voulait gagner comme un adulte la guerre qu’il avait perdu comme un garçon. Toutes ces hypothèses peuvent-elles devenir des faits? . Mais il n’y a pas d'épreuves. On ne va jamais savoir les raisons d’Adolf Hitler pour faire toutes les mauvaises choses qu’il a faites.

Jesús Paz Vieites. 1º Bachillerato A

LA LOGEUSE de Roald Dahl



Nous étions habitués à lire du Roald Dahl en anglais mais nous sommes restés très étonnés de l'humour noir de cette nouvelle qui se trouve dans le recueil "Coup de gigot" et que nous venos de lire en français. L'histoire est bien et facile à lire, et pour nos camarades de classe Julia, Léa et Nórida qui sont venues de passer une année aux Etats Unis ça a été une approche idéale du français à nouveau.


Argument: Billy Weaver, arrivé à Bath, voulait se trouver un hôtel pour passer une ou deux nuits. Mais il fut attiré par le petit écriteau d'une pension, hypnotisé. Une logeuse lui ouvrit rapidement et l' accueillit. Une gentillesse à faire rêver, un prix excessivement bas, enfin, l'endroit parfait. Mais derrière cette gentille logeuse se cache une horrible taxidermiste...

Étude des points suivants pour réaliser l'analyse:
a. La logeuse. Relevez dans le portrait de la dame ce qui constitue des éléments rassurants et des élèments inquiétants.
b. Les locataires. Combien sont-ils? Quels sont leurs points communs?
c.Les indices. En quoi le perroquet et le chien d'une part, et le thé d'autre part sont-ils des indices qui permettent de deviner les intentions de la logeuse?
c. Relevez les éléments réalistes et les éléments surnaturels; l'implicite, les indices de l'étrange;
d. La chute, le détail qui donne la clé

Ana Catarina Ferreira a dit:La logeuse pour recevoir Billy Weaver utilise en excès les choses que nous aimons voir chez les gens. Elle sourit beaucoup quand elle parle, elle se montre très gentille et éduquée mais parfois ça nous fait penser à qu'il y a quelque chose derrière son sourire, on se demande s'il y a quelque chose derrière toute sa séduction. Tout ce qui fait partie du monde de la femme nous attire: ses gestes, les animaux domestiques, le feu de la cheminée, voilà le début de l'attraction pour commencer l'histoire...

Marina Stussi a dit: La logeuse est une femme très douce et gentille. Son sourire, sa voix séductrice, ses bonnes manières, tout en elle semble adorable. Mais l'excès de tout cela provoque de la méfiance: elle est trop affectueuse, trop charmante. Personne n'est comme elle, elle devient bizarre...

Mariana Fandiño a dit: Les locataires sont trois: Christopher Mulholland, Gregory W Temple et Billy Weaver. Ils ont en commun l'âge, 17 ans, et qu'ils meurent après être entrés chez la logeuse. Elle les tue avec le thé, vide leurs corps et les empaille.Elle sait très bien que pour pouvoir empailler le corps de la victime ne devait pas être âbimé. Une histoire horrible et drôle à la fois!.

Mara Murias a dit: Les trois locataires ont en commun qu'ils sont jeunes, qu'ils cherchent une chambre où loger pas très cher, qu'ils ont un beau corps...mais les indices des intentions de la logeuse sont là et ils devaient être très naïfs aussi...Nous avons un indice quand la logeuse change de thème de conversation à chaque fois que Billy lui pose des questions sur les derniers locataires ou quand il découvre que le perroquet et le chien ne bougent pas car ils sont empaillés, mais le pire c'est qu'elle avoue être l'empailleuse!!

Nórida del Ser a dit: Les indices que l'auteur nous laisse pour comprendre la dernière phrase que la logeuse prononce: "Rien que vous", sont par exemple le fait que les autres locataires soient toujours au quatrième étage, et que le thé que Billy boit ait un goût d'amendes amères car l'arsenic a aussi ce goût-là et il tue...

LA PHOTO QUI TUE d'Anthony Horowitz


Parmi les neuf histoires de cet auteur anglais nous avons choisi celle qui donne le titre au livre pour la lire et l'analyser. À partir de là et grâce à "l'expérience accumulée" depuis l'année dernière en nouvelles à chute, nous avons fait un atelier d'écriture pour créer nos propres histoires et les publier.


Commentaire réalisé par Alicia Pereira Calvo-Villamañán (2º bachillerato).
Comme dans toutes les nouvelles à chute, l’auteur a l’intention de nous provoquer un choc. Il nous raconte une histoire qui nous provoque du suspense, et on imagine, quand on est en train de lire, des milliards de fins différentes. Un bon auteur se différencie parce que la fin qu’il choisit ne se trouve jamais entre celles qu’on imagine. La fin de cette histoire, comme nous expliquerons plus tard, était inattendue mais pas terrible.
Du début on nous introduit rapidement dans l ‘histoire : à Londres ,un garçon qui devait acheter un cadeau d’anniversaire pour son père va dans un marché aux puces . Le conflit commence quand il trouve un appareil photo, un objet de provenance mystérieuse qui provoque chez le garçon deux sentiments contradictoires ;d’un côté il ressent de la curiosité et veut l’ acheter, mais de l’autre il n’a pas de confiance à l’appareil. Il ne se méfie pas de sa provenance, mais de l’ appareil lui même. Avant la résolution de l’histoire, Matthew, le garçon, se sent désespéré parce qu’il découvre la vérité, il découvre la raison pour laquelle l’appareil photo tue et il ne sait pas si sa famille va être tuée ou non.
C’est quand nous arrivons à la fin que l’histoire m’a déçue. La fin est originale. Je ne l’avais pas imaginée et je pense que je ne l’aurais jamais fait, mais je ne l’ai pas aimée. Je la trouve facile. Facile pas avec la connotation de simple, mais si comme la manière de provoquer du choc de la manière la plus facile. Londres va disparaître. Les gens qui étaient à Londres vont le faire aussi. Mais ça a des conséquences pour tous, pas seulement pour Matthew. On pourrait dire que Matthew sera celui qui souffrira le moins avec la destruction de Londres, parce que sinon l’alternative serait la mort de sa famille. Et encore plus, seulement la partie de Londres qui a été photographiée va être détruite. Matthew et sa famille sont complètement sauvés !
Une autre chose que je n’ai pas aimé est l’absence de information des personnages. On ne sait rien d’eux. Je ne pourrais pas décrire Matthew, parce que tout ce que je sais de lui est qu’il a peur de perdre sa famille et qu’il a seulement commencé a se promener seul quand il avait quatorze ans.
L’appareil photo joue un rôle important dans l’histoire. Pas seulement parce qu’il tue, mais aussi par la pression qu’il exerce sur Matthew et parce que de cette manière on nous apprend en certaine mesure une morale. Nos actes ont des conséquences pour nous et pour ceux qui sont avec nous, et des conséquences aussi à long terme, pas seulement immédiates. Et parfois nos actes portent préjudice aussi à ceux que nous ne connaissons pas, tous ceux qui ne sont pas en temps et lieu.
J’adore les mythes urbains. Je les trouve inquiétants et très amusants. Je crois que la meilleure manière de connaitre une culture bien est si on connait ses peurs. La peur est crée pour ce qu’on ne comprend pas, pour nos croyances et pour notre histoire. La preuve de ça est qu’ il n’y a pas les mêmes mythes dans toutes les cultures. L’un de mes mythes préférés est le mythe d’après lequel si tu prends une photo d’un ange cet ange protège ceux qui sont photographiés avec lui et les guide au paradis. Un ange est une chose si sacrée, si spirituelle que si on pouvait en prendre une photo , l’appareil aurait une connaissance, une vie individuelle. Il porterait l’esprit de l’ange et ferait son travail. Le diable était un ange, et pour ça il aurait les mêmes pouvoirs.
En résumé, ce n’est pas la meilleure histoire qu’on a lue en classe, mais c’est une bonne histoire en général. C’est ce qu’on appelle une lecture rapide juste pour s’amuser quand on n’a rien d’autre chose à faire.

mercredi 29 septembre 2010

RENTRÉE SCOLAIRE 2010-2011



Une journée dans le monde de la techonologie
Le 22 septembre les élèves de Première ont eu l'occasion d'aller à l'inauguration de l'exposition sur la techonologie dans la FIL (Foire Internationale de Lisboa). Cette visite aurait pu être plus intéressante si elle avait été mieux organisée sans doute. Les étudiants qui n'ont pas de connaissances profondes dans le domaine de la techonologie étaient un peu désorientés car une grande quantité de produits et de projets n'étaient pas bien présentés.
Pourtant il y a eu des choses positives: il y avait des projets innovateurs comme des robots qui avaient une intelligence suffisante pour jouer avec les gens, ou des jeux interactifs qui ont intéressé les jeunes gens. D'atre part, il y avait des objets utilisés par la police dans leurs recherches criminelles, tel qu'on peut voir dans les séries de télévision et aussi de nouvelles propositions sur les énergies renouvables.
Probablement les critiques les plus négatives il faudrait les adresser aux employés qui travaillaient dans les différents stands car ils devaient faire des efforts pour attirer l'attention des jeunes qui se montraient plus intéressés aux cadeaux offerts: des fruits, des sacs, des stylos, des casquettes, des pen drivers, des agendas... Enfin ça me fait de la peine de voir qu'une foire moderne comme celle-là aurait pu nous offrir une journée différente et éducative , un bon moment pour approfondir nos connaissances sur les technologies au lieu de nous offrir seulement des trucs à collectionner.

Mariana Lima. Première B

LA FIL À L'EXPO

L'endroit était très agréable, avec des hommes en costume allant d'un endroit à l'autre à la recherche d'une personne importante, ou des enfants prenant des choses gratuitement: un stylo, un crayon, un porte-clés, un chapeau, même un petit chocolat ou un petit gâteau. Compte tenu de tout, les gens étaient sympas et gentils, nous offrant toujours des cadeaux, bon à l'exception des entreprises qui avaient de la nourriture et dès qu'elles voyaient à peine un grand groupe s'approcher, les vendeurs cachaient tout!. À part cela et que les caféterias étaient chères, le lieu n'était pas mal. Bref, la FIL je ne la recommande pas du tout, à moins, bien sûr que l'on y aille seulement prendre des dizaines de stylos, de crayons, de cahiers, de brochures et de casquettes...

Matilde Contreras Première B.


"PORTUGAL TECNOLÓGICO »
Le 22 septembre 2010, les élèves de Première A et B sont allés à la F.I.L. pour visiter une exposition technologique, qui a reçu le nom de « Portugal Tecnológico ». C´est la plus grande démonstration nationale de la technologie et l´innovation. L´édition de 2010, aura un spécial intérêt pour les projets technologiques qui sont destinés au succès des pays et des régions, au bien-être de la population et à l´augmentation de la capacité d´exportation de l´économie portugaise.
Dans cette exposition, ont participé 200 entreprises environ ,et elle a occupée pour la première fois, trois des quatre pavillons de la F.I.L.
Comme c’était le jour de l´inauguration, José Sócrates, le premier ministre portugais, y était là pour faire un discours. Pour entrer dans l´intérieur, Sócrates a été conduit pour une espèce de mini bus qui avait été construit par l’entreprise « Siemens ». À mesure qu’il avançait, quelques entreprises lui montraient leurs innovations. Par exemple, dans le pavillon ou était le Ministère d´Administration Interne, deux PSP (Police de Sécurité Publique) lui montraient le nouveau système de surveillance. Il a parlé aussi avec des enfants qui étaient en train de fonctionner avec des ordinateurs portables, Magalhães.
Dans le pavillon 1, il y avait des entreprises comme LG, Efacec, Martifer,…; Dans le pavillon 2, il y avait des entreprises comme Utis, AMA, un espace de « loja do cidadão », un espace de la police, … ; Et dans le pavillon 3, pour moi le plus amusant, il y avait quelques entreprises de télévisions, ordinateurs, et aussi de consoles.
Dans le pavillon 3, on pouvait jouer un peu avec les nouvelles technologies, comme la PS3, la Xbox360, la Wii et aussi à l´ordinateur. Il y avait aussi un espace de l´entreprise de télécommunications, MEO, qui après avoir joué à un jeu d´ordinateur on a pu gagner des prix avec un petit jeu.
En général je crois que cette exposition a été très bien, parce que c´est une forme de voir les progrès des nouvelles technologies, les nouvelles formules qui sont en train de s´installer dans notre vie quotidienne.

María Rodríguez Veloso 1ºBach.B

jeudi 24 juin 2010

LE CONCOURS LITTÉRAIRE DU LYCÉE


Comme tous les ans les élèves de notre lycée sont convoqués à participer à un concours d'écriture rapide qui est organisé par les départements d'espagnol, portugais, anglais et français. Les élèves disposent d'une heure et demie pour construire leur texte en la langue qu'ils décident (espagnol, portugais, anglais, français)à partir de la citation d'un écrivain espagnol qui a été choisie par les départements et qu'évidemment ils ne connaissent pas préalablement. Une fois les textes sélectionnés, on décerne les prix des différentes catégories: Catégorie 1º,2º ESO; catégorie 3º, 4ºESO; catégorie Bachillerato.
Les élèves qui ont réçu leur prix ont été:
Mariana Azevedo, 2ºB. ESO
Marjana Bouazza, 4ºC. ESO
Juan Sebastián Mederos, 2ºA. Bachillerato
Félicitations!!!!

mardi 22 juin 2010

LA CASA DE BERNARDA ALBA















Critique de la pièce de théâtre "La Casa de Bernarda Alba"


Cette pièce de théâtre a été écrite par Federico Garcia Lorca, et publiée autour de 1936. C’est une histoire dont la protagoniste, Bernarda Alba, est veuve pour la deuxième fois dans sa vie. Elle oblige toutes ses filles de garder 8 ans de deuil pour la mort de son mari. C’est une femme très religieuse et tout le monde la considère tyrannique. La fin est tragique : la fille la plus jeune, Adela, se suicide à cause de son amour.
L’œuvre m’a paru très bien réalisée. Pour commencer, on a vu que le salon d’actes était plein, ça veut dire qu’il y a eu une bonne publicité de la pièce de théâtre. Il y avait là des gens de beaucoup de cours.
Maintenant, les acteurs. Ils ont été géniaux dans la représentation des personnages, toujours impeccables, très coordonnés et à aucun moment les acteurs n´ont hésité (comme s’ils avaient oublié leur texte, par exemple). Aussi, la distribution des acteurs a été très bien faite, car chaque acteur ressemblait le personnage qu´il interprétait.
Finalement, la scène. Elle a été très bien construite, il semblait que le public était dans l’action de la pièce. On doit aussi mentionner le rideau :un blanc de mariée. Avec ce simple élément, la troupe a réussi à faire comme si la scène était une maison et on y était dedans. Félicitations.

Luis Dezcallar Viegas
1º Bachillerato A


CRITIQUE DE LA PIÈCE “LA CASA DE BERNARDA ALBA”


Le 25 mai a eu lieu dans notre lycée la représentation de la pièce de théâtre La casa de Bernarda Alba, dont les élèves du lycée étaient les acteurs. La directrice du groupe de théâtre “Giner de los Ríos” était Julia, notre professeur de français.
En entrant dans le salon d´actes on pouvait voir que la scène était très bien décorée ansi que les habits des acteurs et des actrices étaient très bien choisis. Cette ambiance faisait que la mise en scène représentait la même époque et le même lieu où l´histoire se déroulait. Il y avait surtout des actrices qui ont été très bien.
La pièce a été écrite par Lorca qui voulait critiquer la société de l´époque (1936) et aussi le rôle que jouait la femme.
La pièce nous raconte l´histoire d`une mère de famille qui contrôlait beaucoup ses filles. Les filles voulaient changer la situation et las péripécies se succèdent.
Une pièce très bien jouée, dramatique et qui nous a fait réfléchir. Sans doute un spectacle fantastique.

Miguel Francisco 1ºBach. A

lundi 31 mai 2010

L'eau :bien commun de l'humanité





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La Mairie de Paris s'intéresse aussi à la lutte contre la pollution. Quand nous avons fait notre voyage à Paris, nous avons pris cette photo . Les élèves de Trosième.

Naturbis - Une idée qui a de la bouteille - France 3 Bourgogne Franche-Comté

Naturbis - Une idée qui a de la bouteille - France 3 Bourgogne Franche-Comté
Dans notre éco-école le 7,8, et 9 juin nous allons travailler sur l'un des thèmes prioritaires cette année: l'EAU et notre département veut sensibiliser avec de différents documents visuels. En voilà le premier.

dimanche 16 mai 2010

ÇA MARCHE 4

Dans la rubrique "Le coin de l'écriture" de notre livre nous avons des stratégies pour rédiger des textes bien structurés. Nos professeurs ont choisi trois récits pour les publier sur le blog. Les voilà.

Lettre à Pépé

Pépé, tu me manques. Est-ce que tu te souviens quand nous allions au parc des canards et nous restions là pendant des heures et des heures parce que je voulais monter sur le toboggan, les balançoires, la toile d’araignée et d’autres?
Alors, aujourd’hui je suis allée au parc avec Sophie et j’avais la sensation d’avoir un déjà-vu.
Je sais que ça fait longtemps mais je m´en souviens encore, j’ai toutes les images stockées dans ma mémoire. Elle a fait les mêmes choses que moi : elle a joué, elle a sauté et elle a même donné du pain aux canards. Elle est très courageuse. Je pense qu’elle est un petit peu comme moi et je suis très fière d’elle. Après, elle m’a demandée une glace et je lui en ai donnée une au chocolat parce je me souviens que tu me donnais ça pour m’animer.
À six heures il a commencé à faire nuit et quand je lui ai dit qu’on devait retourner à la maison elle est restée très fâchée avec moi mais je l’ai convaincue à la fin. Au retour, je lui ai montré où j’avais l’habitude d’acheter des autocollants avec toi et nous sommes aussi passées par la maison où il y avait ce chien que j’ai tant aimé et qui je faisais toujours des caresses. Quand elle a passé sa main doucement sur sa tête il lui a fait ce regard tellement reconnaissant qu’il me faisait aussi quand j’étais petite.
Maintenant, elle dort. Je pleure.

Marta Matos 4º ESO


Une aventure à Greenwich

Chaque année notre école organise un voyage pour les élèves de la quatrième année de l’ESO. Cette année nous sommes allés à Londres. C’est le meilleur voyage que j’ai jamais fait ! Je me suis beaucoup amusée. J’aimerais vous raconter une aventure que j’ai vécue dans ce voyage : Une aventure à Greenwich.
Durant le quatrième jour de voyage nous avons visité le musée Tate Modern. Ensuite nous sommes allés à Greenwich, mais pendant le chemin, nous nous sommes perdus. Tout a commencé par une bêtise : C’était le jour de Saint Patrick et tous les cafés étaient décorés de ballons gonflables. Les ballons gonflables avaient de l´hélium, et l’un de mes amis s’est amusé à prendre une voix comique sous l’effet de ce gaz. Soudain, nous nous sommes rendus compte que nous nous étions égarés. Nous avons essayé de téléphoner à nos copains qui étaient avec les professeurs, mais leurs téléphones étaient hors service. La seule solution était d’aller à Greenwich seuls. Donc, nous avons demandé à une londonienne le chemin pour aller à Greenwich. Au début, nous avons pris un métro pour le London Bridge, et puis nous avons pris le métro pour Greenwich. Quand nous sommes arrivés à Greenwich, la prof a téléphoné. Elle était inquiète et très fâchée. Puis ils nous ont dit qu’ils sont au« Starbucks ».Comme le nombre de « Starbuck » à Londres ne manquait pas, il nous était quasiment impossible de trouver lequel était le bon. Evidement, notre intuition nous a trompés. Là il n’y avait personne. Mon amie Patricia a commencé à pleurer à chaudes larmes, et nous avons pensé à une solution. Nous étions cinq personnes de quinze ans perdus dans un pays inconnu. Tout à coup nous avons rencontré un policier qui nous a indiqué où était l’autobus qui nous conduirait au méridien 0º.
À la fin nous sommes arrivés au méridien et les professeurs étaient très fâchés.
Ce soir, en mangeant nous avons malheureusement trouvé des cheveux dans nos frites. Ce fut une aventure qui a bien tourné, mais je n’aimerais pas la refaire.

Ana Gomes. 4º ESO.



Mon Journal Intime: Mars 2010 à Londres.

Mon voyage à Londres a commencé un froid dimanche de Mars. Il était six heures du matin quand je me suis réveillée. Il faisait noir à l’extérieur. Je me levai et je m’habillai rapidement. Mon père était déjà éveillé, et nous avons quitté la maison à sept heures. Il n’y avait pas de voitures alors nous sommes arrivés à l’aéroport à sept heures et quart. Les professeurs étaient là dans l’aérogare trois, en attendant que les étudiants fassent le check-in. Le voyage a duré peu. Quand nos sommes arrivés à Londres il faisait très froid. Nous avons pris le bus qui nous emmenait à l’hôtel. L’hôtel était énorme et nous avons séjourné dans des chambres pour deux personnes. J’étais avec Elena. La journée a été longue et nous avons visité le « British Museum » un musée célèbre par le type d’objets qui se trouvent à l’intérieur. Comme nous étions très fatigués, nous sommes retournés à l’hôtel et on s’est reposés jusqu’à l’heure du dîner, quand nous sommes allés dans un restaurant italien à quinze minutes de l’hôtel. Nous sommes retournés à l’hôtel et ont a passé la nuit dans les chambres des uns et des autres. C’était très amusant, jusqu’à ce que le concierge indien nous a dit qu’il appellerait la police.

Le deuxième jour, nous nous sommes réveillés à huit heures et on a pris un bon petit déjeuner. Nous sommes sortis et sommes allés à Hyde Park. Puis nous sommes allés a à Oxford Street, une rue connue par ses boutiques. Nous sommes aussi allés à Westminster Abby et à la Cathédrale de Westminster, la première église anglo-saxonne et la seconde catholique. Nous avons dîné à nouveau au restaurant italien.

Le troisième jour nous sommes allés au London Eye, nous avons vu le Parlement, le Big Ben, le Downing Street (résidence du Premier Ministre britannique), l’église de Saint Margret. Nous avons fait la visite dans un bus qui nous a montré toute la ville.

Le quatrième jour nous sommes allés au palais de Buckingham et on a vu le changement de la garde. Ce fut une grande expérience. Nous avons pris un bateau et fait une tournée dans le Tamise. Nous sommes allés au London Bridge et à la London Tower. Ce jour nous sommes allés à Totenham Court pour voir une musical appelée « We will rock you ».

Le cinquième jour nous sommes allés au Musée Sherlock Holmes à Baker Street. Nous sommes allés à Madame Tussauds, dans le Marylebone Street. Nous avons utilisé le métro, et nous avons écouté la fameuse phrase «Mind the Gap!».
Le dernier jour nous nous sommes réveillés tôt, on a mis les bagages devant la porte de l’hôtel et on a attendu le bus pour nous emmener à l’aéroport. L’avion a décollé à deux heures de l’après midi et à quatre heures et demie nous étions à Lisbonne!!! Je crois que la chose que j’ai aimée le plus a été le changement de la garde, dans le palais de Buckingham. Ce voyage a été l’un des meilleurs de ma vie !!!


Matilde Contreras de Passos de Abreu Rocha. 4º ESO- C.

vendredi 23 avril 2010

ÇA MARCHE 2







Nous avons fini l'unité 4 de notre livre ÇA MARCHE 2 et nous avons réalisé des affiches où nous invitons nos camarades du lycée à participer à une compétition. Voilà quelques affiches que nous avons aimées.

dimanche 18 avril 2010

L'ENFANCE D'UN CHEF de Jean Paul Sartre



Résumé du livre

Dans le livre, « L’enfance d’un chef »le personnage principal, Lucien, est tout le temps en train de se questionner ; «est-ce que j’existe ?». C’est un livre existentialiste et il se questionne toujours. Lucien est un tipe bizarre; il ne sait pas s’il est homosexuel ou pas, et il pense qu’il aime sa mère.
Dans son enfance, il aime sa mère mais il déteste son père, car il le voit comme un rival. Sa mère se serre contre lui et le comprend toujours. Il dort avec ses parents jusqu'au jour où il décide d’aller dormir tout seul. Quand il y a des visites il aime les femmes qui n’ont pas de mari. Après avoir parlé avec le curé il commence à tuer des plantes et des fourmis, seulement par plaisir. Lucien convainc Riri, son cousin, qu’il est somnambule, et par la même occasion se convainc lui-même. Il est toujours très influencé par les opinions des autres, il est défini par eux. Il suffit qu’on lui répète quelque chose pour qu’il ne le questionne pas. Durant une promenade avec son père, Lucien apprend ce qu’est un chef et de ce qu’il devra faire quand il grandira. Durant son enfance et sa puberté, Lucien a toujours été un très bon étudiant.
Lucien se questionne sur son existence encore. En même temps la situation de M. Fleurier (son père) se détériore, parce que les revendications ouvrières d’après la guerre font son apparition avec les bouleversements sociaux. Les ouvriers commencent à pouvoir accéder à des biens, au grand effarement des bourgeois. Les ouvriers perdent leur respect avec Lucien. C’est alors que Lucien envisage le suicide pour fuir de son problème existentialiste.
Un nouvel élève, Berliac, se fait remarquer par ses mauvaises notes, le fait qu’il ne travaille pas, qu’il s’habille à la mode, qu’il se fasse aimer en distribuant des cigarettes. Lucien devient son ami et il se soumet à Berliac. Berliac c’est le garçon qui lui parle de la psychanalyse.
La psychanalyse conduit Lucien à avoir peur de lui-même. Berliac commence à sécher le lycée et un après-midi que Lucien le rejoint au café, Bergère entre. Lucien a une réaction passionnée, il rougit et le trouve beau ; Bergère a un chaud regard tendre pour Lucien. Bergère séduit Lucien. Il le traverse avec le regard, il lui parle de beaucoup des choses qu’indirectement sans que celui-ci se rende compte qu’il se fait draguer. Bergère ne fait que singer bêtement les surréalistes : même s’il possède des objets inquiétants (en trop grand nombre, rompant leur valeur), c’est le confort bourgeois qui domine ; il est en outre misogyne (objets humiliants pour les femmes) et antisémite.
Lucien refuse de prendre du haschich lorsqu’il rencontre Berliac chez Bergère et les deux amis rompent définitivement. Il part avec Bergère à Rouen où ils partagent une chambre. Dans la salle de bain, Lucien enfile les pantoufles de sa mère ; quand il est nu, Lucien provoque Bergère et se laisse faire mais celui-ci n’arrive pas à l’exciter. Lucien fuit par cacher sa honte ; lorsqu’il revient Bergère l’embrasse, ce qui le fait penser à Mme Besse et à lorsqu’il était une poupée.
Lucien se convainc qu’il n’a été qu’une victime. Il essaye de récupérer son rôle de futur chef, en se basant sur sa santé morale et la responsabilité. De retour à l’école un nouvel élève est là, Lemordant. Il est médiocre mais il a l’air d’un roc tranquille ; Lucien envie cette imperméabilité. Lemordant sort de son apathie seulement en rapport avec l’antisémitisme : il utilise la violence injustifiée contre Loewy (un juif).
Il est déterminé par ses responsabilités et ses droits, par son pouvoir de commander aux autres. Il existe parce qu’il a le droit d’exister. Il rêve de posséder.


Commentaire Personnel

Avant, durant et après avoir lu ce livre, j’ai toujours pensé la même chose: je n’allais pas aimer ce livre. Pour moi, c’est un livre très compliqué. Si notre professeur ne nous avait pas donné des informations et des explications sur Sartre et son œuvre, je n’aurais compris qu’une dixième partie de ce que je comprends maintenant (et même comme ça, je ne comprends pas trop). J’imagine que pour les personnes qui aiment la philosophie, ce livre sera presque une bible.
On peut quand même réfléchir un peu. Ces choses de la psychanalyse et de se questionner de notre existence, je pense que c’est bien, mais dans mon cas je n’ai jamais pensé si j’ai le droit d’exister ou pas. Ce sont des choses sans aucune importance et consacrer un livre à ça, pour moi c’est comme si on avait arraché des arbres sans raison.

Quelques notes bioographiques de Jean-Paul Sartre

Il est né le 21 juin 1905 à Paris et il meurt le 15 avril 1980 à Paris. C’est un philosophe et un écrivain français; et il a écrit des drames, des romans et des nouvelles. Prolifique et hyperactif, il est notamment connu pour ses paradigmes philosophiques que l'on regroupe sous le nom d'existentialisme, aussi bien que pour son engagement politique, de gauche radicale.
L'œuvre de Jean-Paul Sartre, à part les essais et les textes philosophiques comme L'Être et le Néant (1943) ou L'existentialisme est un humanisme (1945), il a aussi des textes littéraires comme La Nausée (1938) ou Les chemins de la liberté (1945). Notamment la nouvelle qui nous intéresse L’enfance d’un chef (extraite du recueil Le Mur) , son théâtre avec des pièces comme par exemple Les Mouches (1943), Huis clos (1944) ou Les Mains sales (1948) - est aussi une part importante de son activité littéraire durant la période existentialiste. Dans une période plus tardive, il publie aussi en 1964 un texte autobiographique très connu, Les Mots, qui porte sur les onze premières années de sa vie, ainsi qu'une vaste étude sur Flaubert (L'idiot de la famille, 1970-1971).
Intransigeant et fidèle à lui-même et à ses idées, il a toujours rejeté les honneurs (à l'exception toutefois du titre de Docteur Honoris Causa de l'Université de Jérusalem en 1976). Il refuse notamment le prix Nobel de littérature de 1964.


Luis Dezcallar, 1º Bachillerato A.