mercredi 14 avril 2010

STUPEUR ET TREMBLEMENTS


Nous avons analysé en classe ce roman d'Amélie Nothomb qui lui a valu le Grand Prix du roman de l'Académie française en 1999. Au début des années 1990, la narratrice est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise.Entre le rire et l'angoisse, elle fait une satire des nouveaux despotismes...


STUPEUR ET TREMBLEMENTS, un roman d'Amélie Nothomb.1999.

Le personnage principal est une jeune fille, qui s’appelle Amélie. Elle a 25 ans (plus au moins, car elle a fini ses études universitaires très récemment) et selon Mori elle ne se ressemble pas du tout à David Bowie.
Elle est embauchée par Yumimoto, une grande firme japonaise. Là, elle découvre comment marchent les entreprises de ce pays. Dans cette entreprise elle fait beaucoup de fonctions : elle commence par écrire une lettre à un monsieur qui s’appelle Adam Johnson en lui acceptant une proposition pour jouer le dimanche au golf, et elle doit réécrire la lettre plusieurs fois; après elle apprend tous les noms de personnes, de leur familiers et de sa date de naissance qui travaillent dans cette entreprise; elle doit faire quelques calculs pour vérifier des frais que les personnes de l’entreprise veulent; etc. Elle fait tout type des choses, elle-même dit qu’elle ne savait qu’elle était sa fonction exactement.
Il y a un moment dans l’histoire dont la protagoniste va faire un rapport complet, le plus détaillé possible, sur un nouveau type de beurre allégé. Elle rédige le rapport avec une vitesse et une perfection incroyable et extraordinaire. Tout parait que tout va bien se passer et que peut-être elle obtiendra une promotion. Mais elle se trompe, car Mademoiselle Mori la dénonce, pour ne pas perdre son poste de travail. Amélie donc se fâche avec elle, mais Mademoiselle Mori lui répond qu’elle faisait seulement son obligation. A partir de ce moment, on voit que Mademoiselle Mori fait tout ce qu’elle peut pour essayer de faire la vie impossible à la protagoniste. Elle la place même aux toilettes pour substituer le papier toilette qui manque.

Je pense que ce roman veut principalement exposer les différences entre le système de travail japonais par rapport à l’européen. Le système japonais demande la perfection de ses employés, c’est mieux de se suicider à présenter la démission, etc. On voit des exemples de ça dans quelques situations, comme quand Monsieur Tenshi demande au protagoniste si elle veut qu’il dise son nom quand il parle du rapport.
Je crois que le titre pourrait signifier que dans le monde japonais il y a un protocole très strict et imposé (si on compare avec les européens). Avec ça, on veut nous rappeler que jusqu’en 1947 on considérait l’Empereur un dieu vivant, et tout le monde avait des stupeurs et tremblait dans sa présence.
Moi, je n’ai pas du tout aimé ce roman. Je n’ai pas compris beaucoup de choses qu’ils disaient, pas seulement à cause du vocabulaire, mais aussi des choses qu’ils faisaient. J’ai trouvé l’argument un peu bizarre. Le personnage principal me semblait un peu étrange aussi. Par exemple, elle ne voulait pas présenter sa démission parce que comme ça elle pouvait perdre l’honneur; elle pouvait toujours le faire car elle est européenne et les habitudes japonaises lui devaient être égales, même si elle avait grandi au Japon.


Luis Dezcallar. 1ºBachillerato A

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