mardi 17 novembre 2015

Une famille pas comme les autres: Les Bélier


La famille Bélier
Sortie : Novembre 2014
Réalisateur : Eric Lartigau
Nationalité : Français, belge
Acteurs : Louane Emera, Karin Viard,
François Damiens, Éric Elmosnino,
Roxane Duran, Luca Gelberg, Ilian Bergala

Je pense que le film a été très bien, peut-être, un petit peu trop émotionnel. Je dis ça, car je n’aime pas les films émotionnels, je préfère ceux qui ont plus d’action et parlent sur des sujets qui ne sont pas conventionnels. Curieusement, le film parle précisément d’un  sujet qui n’est pas abordé habituellement par l’industrie cinématographique: Les malentendants.
Mais ce que j’ai aimé le plus, c’est la manière très comique comment une famille, dans laquelle tous les éléments sont malentendants  sauf la fille aînée, vive dans une ferme et se dédient à la production de fromage. Chaque élément dans cette famille, a sa personnalité : le père est très calme, et adore sa fille; la mère est un peu plus stressée, mais elle aime ses enfants également; le petit garçon qui aime sa sœur beaucoup, mais il aime la meilleure amie de sa sœur encore davantage; et finalement, la protagoniste de l´histoire, qui est la fille aînée et elle s’appelle  Paula. J´aime particulièrement ce personnage, car elle a beaucoup de responsabilités, mais ça ne l´a pas empêché d'avoir une vie normale, et en même temps, de développer un talent : le chant.
Cadma Amaral 2º Bachillerato B
Le film se déroule à un petit village en France. Le couple Bélier, qui est malentendant, habite là avec ses deux enfants: Paula et Quentin. Quentin est sourd-muet comme ses parents, mais Paula, la fille  la plus âgée est différente parce que, en plus d'écouter et de parler, elle a un don spécial pour chanter.
Il est très intéressant la manière comment une qualité apparaît dans une famille qui ne peut pas la mettre en valeur et qui espère de Paula une grande aide pour la ferme de la famille, une bonne traductrice de télé journal et une bonne vendeuse de fromage, quand son rêve est d'aller à Paris à une école où elle pourrait chanter avec les meilleurs professeurs de musique.
J'ai beaucoup aimé le film. Je pense que son argument est génial. Ma scène préférée est la dernière partie, quand Paula chante dans les auditions pour l'école de Paris. C'est très touchante la manière comment elle chante pour ses parents. Le film a plusieurs scènes comiques aussi, comme les classes de chorale avec le professeur de musique ou la première fois que Gabriel va a la maison des Bélier.
En ce qui concerne les acteurs, je pense qu'ils sont bons, mais avec peu de catégorie. Ça a fait le film moins professionnel, mais ils ont réussi à donner l'ambiance d'une famille comme la famille Bélier. Mon acteur préféré est le professeur de musique. Je pense qu'il a joué bien son rôle et qu'il a donné beaucoup au film.
Je recommande ce film à ceux qui cherchent un bon film distrayant et émouvant.

Elena Amaral. 1ºBA

Ce film raconte l'histoire de Paula et de sa famille. Ils sont différents, Paula est l'unique de sa famille qui peut entendre, son père, sa mère et son frère son malentendants; pour ça le film est plein d'émotion, de moments très forts et prenants.

Le film a beaucoup de comédie aussi, nous avons beaucoup ri, par exemple avec des personnages comme la mère et le père.

L'histoire porte les mélodies de Michel Sardou, en particulier les chansons ''Je vais t’aimer'' et ''Je vole'', les moments que j'ai aimés le plus sont quand Paule chantait ces chansons.

Dans mon opinion je trouve que ''Je vole'' résume le film car elle est pleine de sentiments que Paula aurait voulu dire avant à sa famille, elle a un rêve qui est chanter à Paris, ses parents qui sont dépendants d'elle pour tout ne veulent pas qu'elle parte mais elle en s'enfuit pas, elle vole.

Les acteurs ont fait un bon travail en jouant les personnages, ils leur ont donné de la vie et ils ont transmis beaucoup de sentiments et d’émotions, pour cette raison je pense que c'est un bon film pour voir en cours pour que les élèves apprennent le joli message qu'il a: N'importe pas quel est ton rêve tu dois lutter pour lui, même si quelques personnes ne sont pas d'accord, après ils réaliseront que c'est ce que tu veux et ils seront fiers de toi.

Verónica Fernández Pereira 2BB

En premier lieu ce que j´ai aimé le plus du film est l´originalité du thème principal, que dans mon opinion est l´unité de la famille.
Tous les membres de la famille sont malentendants sauf la fille ainée c´est la seule qui peut entendre  et son plus grand désir est d’aller à l´école de chant à Paris. Mais sa famille pense qu´ils seront laissés seuls et sans communication avec les gens, mais finalement ils acceptent et l´aident  à réaliser son rêve.
J‘ai souligné l‘unité familière parce que être malentendants ce n´est pas facile, mais ils ont mis l´humour et ils sont tous une famille très proche, mais aussi parce que ce film nous fait voir l´importance de la famille, son soutien et son amour pour la vie.
Pour moi ce qui a plus de signification est la chanson qu´elle chante à la fin et comme elle la chante pour faire que ses parents la comprennent. Les paroles disent que maintenant elle vole à sa nouvelle vie, à une nouvelle étape; mais elle leur les aura présents toujours. Je m’identifie avec cette partie parce que l´année prochaine je vais partir sans mes parents à Madrid pour étudier mais je ne vais pas m’éloigner d’eux, je serai toujours en contact avec eux parce que je les aime.
María Segura. 2º Bachillerato B

C‘est la deuxième fois que j’ai vu le film « La famille Bélier » et il m’a beaucoup plu à nouveau. Je crois que c’est une histoire très agréable à voir, comique et en même temps émouvante.
Il s’agit d’une famille malentendante. À l’exception de la fille tous sont sourds, le père, la mère et le fils. Et cela complique quelque fois la situation entre eux parce que Paula est l’unique qui peut entendre et ils ont besoin d’elle pour leur traduire les choses que les autres leur disent. C’est pour ça qu’ils dépendent beaucoup d’elle. C’est une famille de fermiers et, même en ayant ce handicap le père décide de se présenter aux élections locales et je crois que cela montre le dépassement de soi-même et affirme que ça ne l’empêche d’être comme les autres.
Je pense aussi que la fille a un grand mérite parce qu’elle est la seule qui vit dans les deux mondes. Quand Paula découvre qu’elle aime chanter et qu’elle a l’opportunité d’aller à Paris pour étudier, elle doit prendre une décision, pas seulement pour elle mais aussi pour sa famille qui a besoin d’elle pour être liée avec les non sourds. C’est vrai que cette famille peut être un peu irréelle mais l’union qu’ils ont, les difficultés qu’ils surmontent et les problèmes des adolescents sont des aspects avec lesquels nous pouvons nous identifier.
Les acteurs sont très bons et j’ai aimé toutes les chansons qui apparaissent dans le film, mais la dernière, celle que Paula chant pour l’audition de Radio France a été le moment que j’ai aimé le plus parce que c’est très spécial et m’a fait pleurer à nouveau. Les paroles s’identifient avec la situation où ils se trouvent. Elle dit à ses parents qu’elle va s’envoler, qu’elle doit partir. Elle fait aussi des gestes et c’est la première fois où ils peuvent comprendre ce que leur fille dit en chantant.
Je recommande certainement ce film à tous les jeunes car ils vont probablement l’aimer.

Ana Antunes. 2ºBachillerato B


Pendant les deux derniers jours, au cours de français, on a vu le film « La famille Bélier », un film de récente parution au Portugal qui a été un succès international.
L’histoire tourne autour d’une famille de fermiers sourds, dont la fille ainée peut entendre. Pour cela elle (Paula) est devenue essentielle pour les affaires de ses parents – elle sert comme interprète et aussi un peu comme manager, même si elle n’a que seize ou dix-sept ans-. Les problèmes au sein de la famille commencent quand Paula découvre qu’elle veut aller à une école de chant à Paris, et ses parents ne comprennent pas pourquoi elle veut s’éloigner. En plus, l’adolescente tombe amoureuse de son copain de classe et de choral –Gabriel- et les rapports entre eux ne marchent pas très bien.
Bien que ce soit une comédie qui nous fait assez rigoler, c’est aussi une étude de mœurs qui reflète, au moins, très scénarios : les problèmes de ceux qui sont handicapés, l’interdépendance familiale et, bien sûr, l’amour et l’amitié.
Même si tous ces sujets sont émouvants dans le film, je pense que celui qui a le plus d’importance c’est le second, l’interdépendance.
Les parents de Paula sont sourds et pour cette raison ils ont besoin d’elle et de son aide avec tout ce qui concerne la communication avec l’environnement. Lorsqu’elle leur dit qu’elle veut aller à Paris, qui se trouve à 300km d’où ils habitent, les parents se sentent abandonnés. Qu’est-ce qu’ils vont faire sans leur fille ?
Dans le côté opposé, Paula dépend aussi de ses parents et de son frère. Même si elle en a marre de toujours les aider et de ne pas avoir temps pour elle-même, elle ne connaît pas une autre réalité. Elle les aime ; elle est encore leur fillette, même s’ils se disputent toujours. Il faut qu’elle parte, mais ils vont lui manquer.
À mon avis, on peut voir ce film un peu comme une allégorie Il nous faudra à presque tous, quelque jour, sortir de chez nous. La famille Bélier est très différente de nous mais, si on ouvre notre esprit, est-ce tellement vrai ? Sont-ils si différents de nous? Je pense que non.
J’ai bien aimé le film, l’histoire, le message, les chansons et les acteurs. Je pense qu’il mérite un 8,5 sur 10 ; le cinéma français a encore beaucoup à nous donner.


Inês Gomes-Tielas. 2º Bachillerato B

dimanche 1 novembre 2015

"Le fait du jour", une nouvelle d'Anna Gavalda


Cette année la nouvelle de Gavalda que j'ai proposée à ma classe de Terminale a été "Le fait du jour" et nous avons réfléchi sur le dilemme moral que le protagoniste doit résoudre. Voilà deux des commentaires qui sont arrivés.

Resultado de imagen de anna gavalda je voudrais que quelqu'un m'attende quelque partIl s’agit d’un rapport qu’un homme écrit sur ce qui s’est passé pendant la journée, parce qu’il ne peut pas dormir. Il nous raconte tout sur son travail (il est agent commercial chez Paul Pridault, une entreprise qui vend des produits dérivés du porc.
Le jour sur lequel il écrit, il avait un rendez-vous avec un client et il y avait tellement de brouillard sur la route qu’il avait failli rater la sortie. Quelque temps plus tard, sa femme lui a téléphoné pour lui dire qu’il y avait eu un accident catastrophique sur l’autoroute qu’il avait prise.
Quelques heures plus tard, l’homme découvre que cet accident a été à cause de lui : tout s’est passé parce qu’il avait reculé pour rattraper la sortie qu’il avait presque ratée. Donc, il s’est rendu compte qu’il était le coupable de tous les morts et les blessés.
Alors, à la fin de l’histoire, nous avons un dilemme moral : cet homme devrait-il, même sachant qu’il ne l’a pas fait exprès, aller à la police et se rendre coupable ? Ou devrait-il ne rien dire à personne ?
S’il va à la police, il se sentira probablement mieux avec sa conscience mais, en même temps, ses enfants et sa famille vont vivre avec ce fantôme pour toujours. De l’autre côté, s’il ne dit rien, personne va savoir que c’est lui qui a causé la catastrophe, mais il vivra toujours avec la faute, avec ce poids sur sa conscience.
À mon avis, il faudrait qu’il aille à la police parce que moi, au moins je  ne pourrais pas vivre de cette manière : toujours en me sentant coupable. D’ailleurs, je comprends aussi l’autre possibilité de rester silencieux mais je ne sais pas si je serais capable d’agir comme ça.

Inês Gomes-Tielas (2º Bachillerato B)

Le fait du jour
Cette histoire d’Anna Gavalda est sur un homme, Jean Pierre Faret, qui est agent commercial d’une entreprise de charcuterie appelée Paul Pridault, très connue par le jambon. Comme par son travail il doit se déplacer beaucoup en voiture, un jour où il allait à un rendez-vous, dans un moment d’inattention il rate une sortie et recule pour l’attraper. Sans se rendre compte, ça cause un accident très grave qui produit beaucoup de blessés et la mort de neuf personnes. Quand il arrive chez lui, il voit les nouvelles et il réalise qu’il est le coupable de cette tragédie. Alors, le pauvre homme doit prendre une décision, il doit choisir entre s’inculper pour homicide involontaire et aller en prison, ou ne rien dire parce que personne ne l’a identifié. Sa femme lui demande de se taire pour protéger leurs enfants et c’est pour ça que Jean Pierre est dans un dilemme moral, il ne sait pas ce qu’il doit faire.
À mon avis, je crois qu’il est dans une situation terrible et très compliquée Vraiment, je ne suis pas capable de me mettre à sa place et de décider ce qui serait le mieux. D’un côté, si Jean Pierre se rend à la police, ses enfants, sa femme et sa famille vont avoir la conséquence de le perdre pendant des années où il  va être en prison, quand en réalité il n’a rien fait volontairement, tout est arrivé par une seconde d’inattention. Mais c’est aussi vrai que même si les personnes qui sont tuées ne vont pas retourner, qu’il soit arrêté servirait au moins pour consoler leurs familles et tous les affectés. De l’autre côté, s’il ne dit rien à personne et continue sa vie comme si rien ne s’était passé, probablement la conscience lui pèsera parce que les choses ne seront plus jamais les mêmes. En conclusion, même s’il n’a pas provoqué cette tragédie volontairement, la réalité est qu’il est le coupable, et sa décision seulement dépendra de ce qui le fera sentir le mieux et ce qu’il pense qui sera le plus adéquat pour tous.
Ana Antunes (2º Bachillerato B)

Jean Molla fait de nouveaux lecteurs

Le portable noir

RÉSUMÉ
Le livre est principalement sur deux histoires: La première, où le portable noir devient important. Tout commence quand il est trouvé au bord d´un fleuve par Pauline. Cet objet était moderne, il avait mystérieusement réseau sans  operateur et avait un répertoire avec beaucoup de noms. Après, Pauline l´utilise pour téléphoner  à trois personnes pour confirmer s´il fonctionne: mamie, une amie d´une autre ville et une amie anglaise. Toutes elles sont mortes, par conséquent, ces contacts sont incorporés au portable. La deuxième histoire, est sur le triangle amoureux entre Alexandra, Pauline et Sébastien. La protagoniste est tombée amoureuse de Sébastien et le raconte à sa meilleure amie Alexandra, et elle, à cause de ça, est aussi tombée amoureuse de lui. À la fin, Alexandra et Sébastien sont devenus petits amis et ça origine une grande tension entre les deux amies. Pendant tout le livre les deux histoires ne se croisent pas parce-que Pauline ne raconte à personne qu´elle a le portable. Jusqu´a ce qu´un jour, quand Pauline était très en colère elle téléphone à Alexandra et celle-ci meurt. Enfin, sans la "meilleure amie" dans les vies de Sébastien et Pauline, les deux sont devenus petits amis et, un jour, Pauline oublie son portable noir chez Sébastien et il téléphone avec le portable noir chez Pauline, sans savoir le pouvoir du portable.

OPINION
Dans la manière comment Pauline représente Alexadra et toute la situation, il semble qu´elle méritait cette punition "divine" (et en même temps provoque la haine chez le lecteur); mais je considère, aussi, Pauline une personne vindicative, inhumaine et irrationnelle. À la fois, j´ai quelque empathie avec Pauline parce que pendant toute l´histoire il n’y a que des malheurs qui lui sont arrivés: la mort de sa grand-mère et de deux amies, la perte des amis et de Sébastien comme petit ami et quand tout semble qui va bien elle reçoit l´appel mortel de Sébastien. Pour finir je vais dire que je suis contre deux choses: TUER et ne pas se sentir coupable.
José Pedro Ribeiro-Rosa  (1º BA)

Ouverture de l'année scolaire 2015/2016

Acte d'inauguration de l'année scolaire 2015-2016

Le 22 octobre 2015 une cérémonie a eu lieu dans l´auditorium de l’Instituto Español Giner de los Ríos de Lisboa pour inaugurer l'année scolaire 2015-2016.

La cérémonie a compté avec la présence de l´Ambassadeur d´Espagne au Portugal, du Conseiller d´éducation, qui a parlé au public, ainsi que le directeur et le secrétaire du lycée. Les professeurs qui n’avaient pas cours en ce moment ont pu assister à l’acte, accompagnés de quelques élèves de Primaire et de ceux de  Première et de Terminale. L’invitée la plus intéressante, celle qui a donné la conférence: Pilar del Río, la veuve de l’écrivain José Saramago.

L´événement a commencé avec la récitation de quelques poèmes, très difficiles, par les élèves Beatriz Pereira Pinho, Cayetano Dias Cattoni et Mariana Talijan Figueira de cinquième de Primaire pour rendre hommage à Saramago, mais aussi à Pilar, et, ensuite, chaque diplomate a fait un discours.

Puis, Pilar del Río, traductrice et journaliste, a parlé sur des problèmes d’actualité come la pauvreté et le sexisme, et sur la distribution de biens essentiels pour la vie d´un être humain.

Finalement, Pilar del Río a accepté de répondre aux questions des élèves mais ils n´en ont posé aucune.

En résume, la cérémonie a été agréable et très intéressante mais il faut mentionner le manque d´intérêt de la plupart des élèves.
Sofía Viana (1ºBB)


LANZAROTE
 El placer profundo,
inefable,
que es andar por estos campos desiertos y barridos por el viento…
Subir un repecho difícil  y
mirar desde allí́ arriba
el paisaje negro,
desértico …
Desnudarse de la camisa
para sentir
directamente en la piel
la agitación furiosa del aire,
Y después …
comprender que no se puede hacer nada más.
Las hierbas secas, a ras de suelo,
se estremecen,
Las nubes rozan por un instante las cumbres de los montes
y se apartan
en dirección al mar.
Y el espíritu entra en una especie de trance,
crece,
se dilata,
va a estallar de felicidad …
¿Qué más resta, sino llorar)
José Saramago. Cuadernos de Lanzarote I

LA IGUALDAD DESCUBIERTA POR UN LEÓN.
La igualdad
descubierta por un león,
que es más listo
que quienes se creen superiores a otros;
sin darse cuenta
que somos todos pobres diablos
sometidos
a todas las contingencias.
Nadie tiene nada asegurado.
Ningún Dios protege a unos
y manda castigar
a quienes no lo aceptan:
ni sería dios,
ni siquiera es una buena idea.
¡Seamos sensatos, sabemos a pollo…!
(En la mejor de las circunstancias)
Pilar del Río,  “La igualdad descubierta por un león”