jeudi 26 janvier 2012

CAUCHEMAR EN JAUNE, UNE NOUVELLE QUI NOUS INVITE À CRÉER DES HISTOIRES OÙ L'ON SE FAIT AVOIR.


Une fois que nous avons analysé cette nouvelle à chute et nous avons fait une épreuve écrite ,nous publions celle de Barbara Pereira (élève de 4ºC)car elle a eu une bonne note. On a tellement aimé la nouvelle qu'on a aussi lu du même auteur "Cauchemar en bleu" et enfin on a fait un atelier d'écriture . Les nouvelles écrites par nous sont publiées plus loin, et nous espérons que vous les aimerez.


CAUCHEMAR EN JAUNE de Fredric Brown

1.L’histoire parle d'un homme qui avait un plan pour faire une escroquerie et tuer sa femme le jour de son anniversaire. Il avait préparé le plan depuis des mois et il allait tuer sa femme parce qu’il la détestait et il avait décidé que laisser sa femme morte était beneficieux pour lui parce que le cadavre ne pouvait pas appeler la police. Mais le plan n’était pas bon parce que sa femme, pendant le dîner a fait du temps et le rêve de l’homme n’a pas été possible: tuer sa femme à vingt heures quarante-six, l’heure quand il est né. Ils sont arrivés à la maison avec quelques secondes de retard. Devant la porte de sa maison, il a tué sa femme et quand il est rentré à la maison, il a découvert qu’elle lui avait préparé une fête surprise.

2.Situation initiale : Un homme qui veut tuer sa femme et s’échapper avec l’argent de l’agence immobilière où il travaille. Il a un plan fignolé et préparé. Le soir, il tuera sa femme et puis il s’échappera.
- L’élément perturbateur : c'était la femme. Quand ils sont allés dîner, elle a fait du temps et ils sont arrivés en retard à la maison.
- Les péripéties : la femme a attendu en beaucoup de lieux pour faire écouler du temps.
- Résolution : L’homme tue sa femme devant la porte de la maison pour ne pas perdre plus de temps.
-Situation finale : Il rentre à la maison avec le cadavre et il voit les invités à sa fête surprise qui hurlent «surprise».

3.Il y a deux personnages, l’homme et sa femme. L’homme était très fignolé et superstitieux. Il détestait sa femme, il avait beaucoup de rêves. Il était ambitieux. Sur la femme nous ne pouvons pas savoir beaucoup de choses mais elle était gentille, parce qu’elle lui a donné un cadeau et lui a préparé une fête surprise. Nous ne pouvons pas affirmer qu’elle ne connaissait pas les plans de son mari.

4.La préparation est importante car ça fait que le lecteur arrive à la chute. La préparation est fignolée.

5.L’homme est surpris à la fin du texte car il ne savait pas que sa femme lui avait préparé une fête dans sa maison et ça a détruit son plan.

6.L’auteur du texte nous concentre dans les idées de l’homme donc nous (les lecteurs) sommes surpris aussi. La chute n’est pas prévisible mais après l'avoir lue , on sait la raison pour laquelle la femme a fait du temps (pour terminer d’organiser la fête).

7.Le récit est celui d'une nouvelle à chute. Elle est très courte et la chute n’est pas prévisible. C’est intéressant comme un seul mot peut surprendre autant. La nouvelle est très intéressante et, pour moi, la chute est géniale. La nouvelle est très facile à lire et ça nous montre que dans une nouvelle courte, on peut dire beaucoup de choses aussi.

Bárbara Pereira 4º ESO C

NOUVELLES ÉCRITES PAR LES ÉLÈVES DE 4ºESO C (Seconde)

1. CAUCHEMAR À HALLOWEEN par Carlota Santiago

La nuit était claire et froide, des enfants jouaient dans la rue. Ils étaient tous déguisés parce que c’était Halloween. François et Louise se promenaient dans les rues de Paris, la main dans la main. Les autres enfants frappaient aux portes pour demander des bonbons et des friandises. Quand la nuit était tombée les enfants rentraient chez eux avec les sacs remplis de bonnes choses. On ne voit plus de jeunes dans la rue sauf François et Louise. Ils se sont échappés de chez eux à cause des coups.Ils ne pouvaient plus supporter d’être battus. Soudain , un homme masqué apparaît et se dirige vers les deux frères. Quand ils se rencontrent enfin, les frères commencent à courir. Mais François tombe et ses derniers mots en criant sont : « Non, Papa! »

2.LE CHIEN QUI VOULAIT ÊTRE UN HOMME par Christian Benjumea

Je n´oublierai jamais cette nuit. Je n´oublierai jamais Toby.
Tout a commencé quand mes parents sont sortis dîner pour leur anniversaire. J´étais seule avec Toby. Pour moi Toby était comme un policier, j’étais toujours en sécurité avec lui quand mes parents sortaient dîner . J´ai allumé la télé. Je regardais les nouvelles, le présentateur a prévenu qu´un psychopathe s´était évadé de la prison.
J´étais calme parce que j´étais avec Toby. Il était une heure quand mes parents ont appelé. Ils ont dit qu´ils allaient passer la nuit dans un hôtel parce que les routes étaient barrées. Je n´aimais pas l’idée, mais je l´ai acceptée et me suis endormie. J´ai dit à Toby qu´il devait lécher ma main. Pendant la nuit j´ai commencé à entendre de drôles de bruits . J´ai mis ma main et Toby l´a léchée. À nouveau j´ai entendu des bruits et Toby l´a léchée .Pendant la nuit c´était très normal de faire ça. Soudain ma main a ressenti le manque de chaleur, j´étais nerveuse, mais Toby était là, ou au moins c´était ce que je croyais.
Une onde lumineuse pénètre dans ma chambre, J´ouvre les yeux, Je suis mouillée…de sang. Je suis effrayée, une angoisse m’envahit. J’enlève les draps fortement. Je trouve mon chien Toby, bon J´ai trouvé le cadavre de Toby. J´ai appelé mes parents et la police aussi.
Pendant que je parlais à la police , j´ai laissé tomber l’appareil. Là sur le miroir on pouvait lire :“PAS SEULEMENT LES CHIENS LÈCHENT”

3. LA BALLE par Athenea Olsson Serna

Une fille est en traìn de jouer avec une balle dans la rue. Elle est heureuse de courir et de jouer avec sa petite balle. Sa balle s’échappe au centre de la rue. Une voiture apparait au moment où la fille veut récuperer sa balle. La fille est paralysée, elle ferme ses yeux et tombe par terre. La voiture accélère laissant la petite allongée dans la rue. La fille se lève, ouvre ses yeux et continue à jouer avec sa petite balle . Tout semble aller bien mais sa mère, qui avait tout vu de sa fenêtre est sortie tout en courant de la maison. La fille la voit et commence à crier ‘’Maman!’’ ‘’Maman!’’, mais la mère n’arrête pas de pleurer, le corps de sa fille morte serré dans ses bras.

4. CHRISTINE ET MATHIEU par Rita Amado

Mathieu est dans sa voiture. Il est en train de retourner chez lui après une courte journée de travail. Son chef lui avait laissé sortir du travail avant l’heure habituelle. Sa femme, Christine, ne travaillait pas.
Mathieu était un homme qui ne faisait pas attention aux détails. Il était un homme qui prenait ses décisions très rapidement, sans y réfléchir.
Sa fille, qui s’appelait Caroline, était à la maison mais il ne le savait pas. Ses professeurs ce jour-là étaient tous partis pour une excursion , donc elle était aussitôt retournée à la maison. Elle était ce genre de jeune fille qui était toujours dans sa chambre et avec la musique bien forte dans ses oreilles.
Mathieu arrive, il gare la voiture en face de la maison, il ouvre la porte et il entre chez lui. Dans sa chambre il laisse tomber tout ce qu’il avait dans ses mains. Pétrifié, il vient de découvrir sa femme. Elle était là, allongée sur le lit, immobile. Christine avait des ciseaux bleus dans une main et dans l’autre , une lettre. Mathieu s’est approché de sa femme et a lu la lettre. C’était une des lettres que sa maîtresse lui avait envoyées. Christine sans doute s’était tuée après avoir découvert qu’il avait une maîtresse. Il se sentait coupable. Ce sentiment était très fort. Il ne le supportait pas. Il voulait se tuer. Il a pensé à sa fille, et si elle découvrait que c’était lui la cause de la mort de sa mère elle ne le pardonnerait jamais. Il prend des ciseaux bleus et les enfonce dans son cœur.
Deux heures après la fille sort de sa chambre. Elle ne savait pas que son père était arrivé à la maison. Elle va dans la salle de bains qui était à côté de la chambre de ses parents et demande en hurlant : « Maman est-ce que tu as déjà pris tes médicaments pour dormir ? »

5. CAUCHEMAR EN VERT par Beatriz Seco

Marie et son mari avaient décidé de partir quelques jours de vacances avec leurs amis aussi mariés dans un gîte rural. Ses amis s'appelaient Julie et François. L’atmosphère de cette nuit d'été était très tendue mais tous agissaient normalement, en cachant la haine que tous ressentaient envers Marie.
Marie était détestée par tous. Son mari la détestait parce qu'il avait découvert qu'elle lui avait été infidèle avec son ami François. François la détestait parce qu'il était déjà fatigué d'elle et voulait finir avec leur relation. Finalement, son amie Julie la détestait parce qu'elle était jalouse d’elle. Mais tous se comportaient normalement comme si rien ne se passait. Le lendemain matin de leur arrivée au gîte, Marie avait disparu. La police est arrivée et a commencé à faire l'enquête. Ils ont trouvé le corps sans vie de Marie. La police n'a pas trouvé l'assassin, ils cont été accusés tous et conduits en prison. Dix ans plus tard, un inspecteur a révisé l’affaire , et a trouvé un papier dans la bouche de Marie qui disait : « Chers amis, j'espère que vous irez bien en prison. Votre femme, amante et amie, Marie. »

6.LA QUINZIÈME FLEUR par Sara Pérez Ardila

Lisbonne. C’est la capitale de Portugal. Un pays au sud de l’Europe et qui est à côté d’Espagne.Lisbonne est une ville très jolie et ses habitants très accueillants.
Shirley est une adolescente de 15 ans avec beaucoup d’amis et elle est aimée de tout le monde. Elle était née en Espagne mais ses parents étaient allés à Lisbonne pour travailler et elle est venue à Lisbonne comme un bébé.
Shirley est douce, très intelligente, aimable, ravissante, en résumé, quelqu’un avec une personnalité enviable. Tout le monde souhaitait être come elle.
Shirley aime faire de longues promenades et tous les jours elle passe sur le pont 25 Avril, par le chemin piétonnier, où elle peut voir la cité de Lisbonne au pied du Tage. Elle aime principalement aller fin soirée quand le pont est complètement illuminé, et elle ne se trompe pas, parce que c'est le meilleur moment de la journée. Voir Lisbonne sur le pont 25 Avril, au pied du Tage, sous l’intense regard de la lune… ce moment n’est pas comparable à rien.
Shirley fait des promenades tous les jours et après elle va acheter des fleurs et retourne au pont d’où elle les jette. Elle s’assoit près d’une balustrade et elle regarde naviguer les fleurs.Ça lui fait se sentir calme et tranquille. Elle pense à tout, bon, mauvais, important, moins important… Et puis, elle rentre à la maison. Ça, jour après jour. Les parents de Shirley ont parlé avec elle parce qu’ils doivent retourner en Espagne. Elle pense que c’est le meilleur, aucun problème.
Le jour du depart arrive… Et dans la soirée de la veille elle va une dernière fois au pont 25 Avril. Cette fois elle achète 14 fleurs et elle les jette une à une. Elle jette la quatorzième fleur et elle ne s'assoit pas ni regarde comment elles naviguent… Elle est debout en regardant pour la dernière fois sa bien aimée Lisbonne sous la pleine lune. Elle dit adieu avec la main, commence à pleurer et ses larmes tombent au même temps que la quinzième fleur sur l’eau froide du Tage. Elle restera toujours à Lisbonne.

7.CAUCHEMAR SACRÉ par Enrique Caballero

Il y a longtemps déjà il y avait un prêtre qui était très dévot. Il avait décidé de tuer toutes les personnes qui étaient athées, parce qu’il était convaincu que seulement de cette manière la paix mondiale pourrait exister.
Il avait cinquante ans environ, il disait la messe du mercredi au dimanche. Il était mince, grand, avait les yeux verts et de grandes oreilles.
Un jour après avoir tué un personne avec ses “flêches sacreès”, et la laisser dans la cave avec les autres corps inertes, il s’est dirigé vers l’église, où il a dit la messe, mais quand il est arrive chez lui sans changer ses vêtements liturgiques, il a rencontré un homme qui disait être le père de quelqu'un qu’il avait tué. Effrayé d’être découvert, il ne l’a pas douté, il a pris une arbalète qui était toujours sous sa chasuble. Quand il est venu récuperer sa flèche sur la poitrine, l’homme, avant son dernier soufflé, lui a dit:
-“Pour votre insolence, vous venez de tuer votre Dieu”.

8.DRÔLE DE BRUIT par Nuria Pérez Martins

Ángela et Martin se sont couchés comme d´habitude. Cette nuit , Ángela ne pouvait pas s´endormir à cause de quelques bruits. Ces bruits qu´elle écoutait depuis quelques jours, toutes les nuits. C´était une espèce de coups de marteau. A chaque fois elle descendait les escaliers effrayée pour voir ce qui se passait mais jamais elle ne voyait rien, elle écoutait seulement les bruits. Son mari, Martin, ne les écoutait jamais. Une nuit, un tableau s´est décroché, et Martin s´est dirigé pour le remettre à nouveau. Il a pris un marteau et un clou et a commencé à marteler le mur de la cuisine. Ángela, une autre fois, avec le bruit du marteau, s´est réveillée, mais cette fois, le bruit venait de la cuisine. Elle s´est dirigée vers là, et en silence , Ángela a pris un couteau et s´est approchée de la silhouette. Tout à coup, une lumiére blanche s´est allumée et la silhouette a disparu. Ángela venait de tuer la personne qu´elle amait le plus sur terre.

9. LA MALÉDICTION par Margarida Gouveia

Jenny átait une fille ordinaire, avec rien de spécial, au moins ce fut ce que tout le monde pensait. Jenny a vécu seule avec son père parce que sa mère est morte. On n'a jamais su pourquoi.Depuis la mort de sa mère, Jenny était toujours très en colère, elle a peine mangeait ni dormait. Son père très inquiet l'envoya voir un psychologue, mais il n'a pas aidé du tout. Jenny était une très heureuse fille de 15 ans,qui après la mort de sa mère , a appris que toutes les femmes de sa famille sont mortes quand elles avaient environ 40 ans. Jenny a commencé à paniquer parce qu´elle était la prochane à mourir. Elle s´enferma dans sa chambre et essaya de se calmer.Au bout d'un moment elle s´est endormi et a fait un rêve. Cette nuit-là son père est passé dans sa chambre et a vu sa fille allongée sur son lit si paisible et tranquille.Il se met à genoux et à crier:
“Noooooooooooooooo! Pas encore”

10. LE VRAI PÈRE NOËL par Alexandre Manuel Cruz Bastos

Joseph se réveilla! Il était cinq heures et tout le monde dormait. Il alla à la cuisine pour faire un café. De la terrasse on pouvait apprécier les décorations que
d'autres familles avaient placées dans les fenêtres. Il faisait très froid et le soleil n’était pas encore levé. Il est retourné au lit et il a essayé de dormir paisiblement.
Le lendemain matin ses deux enfants et sa femme étaient très heureux car c’était Noël et aussi pour la curiosité de recevoir des cadeux du Père Noël. Ils avaient décidé que cette année ce serait Joseph qui s'habillerait en rouge comme le Père Noël. Ainsi, les plans ont été définis: il serait habillé en rouge et avec une veste de la même couleur, il viendrait à la porte exactement à minuit pour surprendre Ruben et Andrea.
Julia et ses deux enfants étaient dans la salle quand finalement quelqu’un a frappé à la porte. C’était un peu plus tard de minuit, ce qui a surpris Julia parce que son mari n’a jamais retardé dans ce genre de choses. Ils ouvrent la porte et là, il y avait le Père Noël avec sa grosse barbe blanche et avec un chapeau qui couvrait toute la tête! Ruben et Andrea étaient très surpris de voir la figure du Père Noël. Il entra et mit le grand sac sur le sol. Les enfants étaient super excités d’avoir vu cette quantité de cadeux quand, soudain, quelqu’un a frappé à la porte. Qui? Personne ne bougea. Julia ouvrit la porte pour voir qui il était et c’était son mari. Il avait la tête couverte de sang. Alors en regardant le Père Noël qui était en train de jouer avec ses enfants, elle demanda en hurlant:
- Qui es-tu???!!!

11. LA VENGEANCE par Bárbara Pereira

La rue devant le château du roi était légendaire. Toutes les petites choses qui se déroulaient dans ce village avaient lieu dans cette rue. Elle était courte, obscure et très calme. Cette fois, une femme était tombée. Elle ne semblait pas morte, elle semblait endormie. Les personnes qui sont passées dans un côte de son corps ne la regardaient pas, c’était comme s’il n’y avait personne par terre. Un homme l’observait. Il est resté là pendant beaucoup de temps, sans bouger. Il était le seul à la regarder. Tout d’un coup, la femme s’est levée et l’homme s’est rapproché. Elle s’est mise à courir .L’homme est descendu jusqu’au sol et a pris un morceau de papier que la femme avait laissé par terre. Sur le papier, une phrase : «Cherche moi». L’homme l’a cherchée pendant des heures et l’a rencontrée dans un bois. Elle était immobile avec ses deux enfants qui hurlaient «Papa». La femme lui a dit «Voilà tes enfants. Maintenant, tu vas me voir mourir» et lui a montré le couteau qu’elle avait dans sa main. C’était le couteau qu’il lui avait donné pour l’obliger à tuer ses enfants. En ce moment, un enfant a pris le couteau et a tué sa mère. Ensuite, il lui a donné à son père le couteau recouvert en sang. L’homme a pris le couteau et s’est rendu compte de sa bêtise : maintenant, le couteau était recouvert de ses empreintes. Il a lâché le couteau et son fils lui a dit: «La vengeance est un plat qui se sert froid ».

12. RESTEZ FIDÈLE À VOUS-MÊME par Mariana Azevedo

François est un homme qui veut changer sa vie. Aujourd’hui il veut changer complètement.L’homme qui était timide et hesitant mourra et naîtra un homme confiant. Il a quitté sa route pour aller dans un café. Il est vraiment nerveux, c’est la première entrevue d’emploi depuis longtemps.
Au café, il connaît une belle demoiselle. Il décide de lui raconter l’histoire d’un homme nouveau, pas sa vieille histoire. Porquoi lui dire qu’il est un homme sans emploi ,pauvre et ridicule? Ce serait fou! Non, il lui raconte l’histoire de comment il est un magnifique entrepreneur dans une entreprise très connue. Il habite une énorme maison dans un quartier riche de Paris, sans aucune femme, bien évidemment.Il regarde sa montre et il sait qu’il doit attendre son entrevue. Il dit au revoir à la demoiselle, et elle enchantée lui dit qu’elle doit partir aussi. Il prend le métro, et elle, un taxi.
Quand il arrive au rendez-vous, il cherche le département de Ressources humaines.La secrétaire lui dit que sa supérieure l’attend. Quand il ouvre la porte il voit une femme de dos, qui lui dit:
-“C’est vous François Fetcher, le canditat pour le travail?”
Quand il voit la tête de la femme, il dit:
-“Ups, c’est vous?”


13.NE SOIS PAS EN RETARD par Miguel Doblado

C’était un jour triste ,froid ,humide .Comme les restants 364,il s’échapperait encore une fois de la destination que tous les êtres humains prenaient quand ils se coisaient avec cette créature mystérieuse , rapide ,insaisissable et dangereuse qui habitait les rues désertes de cette tanière qu' ils appelaient ville.
Maintenant il était en train de courir pour arriver à l’école .
Ce n’était pas une grande surprise la sensation qui voyageait dans son corps ( un mélange de peur et d'adrénaline )jour après jour et chaque fois qu’il se déplaçait à pied à l’école . Mais ce jour-là ,il y avait quelque chose de différent . Il s’était endormi et à cette heure-ci , toutes les personnes travaillaient dans leurs maisons, leurs bureaux ou les écoles . L'école, le lieu où il aurait dû être.
Il était une proie facile . Le silence profond qui était à l’extérieur ,seulement était perturbé pour le bruit assourdissant qu’il provoquait avec son sprint .
Il avait la conscience du danger qu’il courrait ,mais il ne pouvait pas arriver en retard à l’école , puis il a décidé d'utiliser le vite sprint qu’il avait .
Au même temps qu’il était en train de courir ,dans l’autre extrémité de l’avenue une personne courait .
Quand il était à la moitié du chemin , et la fatigue l'envahissait déjà, il a commencé à écouter des pas similaires aux siens ; d’abord il pensa que ce serait l’écho ,mais quand il commença à ralentir , il écoutait les pas d’autrui chaque fois plus proches et plus fréquents .
Il ne savait pas quoi faire et quand il a senti les pas , encore plus proches ,il est entré dans une ruelle à faible éclairage . Il s'arrête quand il voit une silhouette au fond de la ruelle . Il était convaincu que les pas appartenaient à cette créature mystérieuse , puis il continua à un rythme accéléré envers l’étrange silhouette .
Quand il s’approche , la silhouette étend le bras , et il accélère le pas pour s’approche plus vite et quand il arrive à côté de la silhouette , dans l’autre coin de la ruelle , sa mère crie !NON ¡

14.J’AI UNE NOUVELLE VOITURE! de Peter Harrison

Lui c’est un homme qui aime beacoup les voitures. Il doit avoir toujours le nouveau modéle le plus rapide. Un jour il va dans un concessionnaire avec l’intention d’acheter une nouvelle voiture. Son intention c’est de surprendre sa femme. Il va à la gare pour la chercher. Mais sa femme lui téléphone. Elle dit que dans la gare elle s’est fait mal au pied. L’homme et sa femme vont se rencontrer à l’entrée de la gare. En ce moment il voit deux hommes autour de sa voiture. Il pense qu’ils vont la voler. Il décide de protéger sa voiture. Mais il voit un homme étrange. Un homme, petit avec des cheveux gris. Sa femme lui téléphone une autre fois: “Pierre, tu viens?” L’homme entre dans la gare mais el ne voit pas sa femme. Il écoute une vitre brisée. Il court vers sa voiture. Il voit l’homme aux cheveux gris au volant de sa voiture, à côte de l’homme il y a une femme, MA FEMME!!!

15. SURPRISE!!! de Sebatian Hincháustegui

Les dernières années avaient été les plus heureuses de la vie de Damian. C’était parce qu’il les avait passées avec Lindsay, une jeune femme qu’il avait connue il y avait peu de temps, mais qui était déjà l’amour de sa vie.
Il se rappelait de comment ils s’étaient connus. Un jour pluvieux il l’avait vue marcher dans la rue avec son criard parapluie jaune, la femme la plus belle qu’il n’avait jamais vue. Il l’avait suivie jusqu’à un café où il l’avait invitée. Il y avait de la chimie depuis la première minute. Et maintenant cette chimie s’était transformée en amour. Il n’avait jamais été amoureux, mais avec Lindsay tout était très facile, tout était parfait.
Les idées sortaient de la tête de Damian au même temps qu’il sortait de la boutique de fleurs. Aujourd’hui c’était leur anniversaire et il voulait arriver tôt à la maison où les deux vivaient pour lui faire une surprise et après l’emmener à dîner. Mais il devait se dépêcher ou bien il se ferait un peu tard. Donc il est allé vers sa voiture pratiquement en courant.
Il y avait beaucoup de trafic mais il ne voulait pas se fâcher. C’était un jour spécial. Donc il pensait à tous les moments qu’il avait passés avec Lindsay, à toutes les discussions, mais aussi à tous les moments joyeux, principalement à ces moments qu’ils avaient passés seuls. Avec toutes ces pensées , le voyage s’était passé très rapidement.
Il est allé à la porte très vite. Il ne pouvait pas attendre pour voir Lindsay sourire. Il à tourné la clé très doucement pour surprendre Lindsay. Il est entré et il a commencé à écouter de petits cris qui venaient de la chambre. –Oh Alex, ne t’arrêtes pas ! – résonnaient les cris de plaisir de Lindsay dans le couloir.
Cela ne pouvait pas être vrai, probablement c’était la télévision. Mais quand il a ouvert la porte de la chambre il les a vus.
«Lindsay,… papa? VOUS ME DÉGOÛTEZ !»

mercredi 25 janvier 2012

LE HÉRISSON, UN FILM DIFFÉRENT.


Le hérisson
Titre : Le hérisson
Réalisation : Mona Achache
Scénario : Mona Achache, Muriel Barbery
Date de sortie : 3 juillet 2009
Durée : 100 minutes
Pays d´origine : France
Genre : Drame
Acteurs Principaux : Josiane Balasko, Garance Le Guillermic, Togo Igawa.

Synopsis : Paloma est une jeune fille qui veut se suicider le jour de son douzième anniversaire parce qu’elle trouve que le milieu où elle habite est absurde et elle ne veut pas être comme ça, “comme un poisson dans un bocal”. Elle vit dans un luxueux immeuble, où travaille la concierge, Mme. Michel, qui apparemment suit le modèle de l’archétype de concierge d’immeuble : vilaine et vieille. Personne ne s'intéresse à elle. Pourtant, l’arrivée d’un nouveau voisin japonais, Kakuro Ozu, un intellectuel, va tout changer, et il est la première personne qui s’intéresse à la concierge. Paloma aussi a le plaisir de connaître Mr. Ozu parce qu’ils partagent leur goût pour la culture japonaise, et elle commence à s’intéresser à la concierge aussi. Ils découvrent la vraie personnalité de Mme. Michel , qui est comme un hérisson, qui se cache au dessous de ses piquants.
Mais un jour, elle est renversée par une voiture et elle meurt. Ce jour-là, Paloma change ses plans de se suicider et décide de vivre, parce qu’elle comprend que ce qui est important ce n’est pas mourir, mais ce qu’on fait en ce moment-là, et Renée était prête à aimer.

Thème Abordé : Le film traite le thème de la vie et la mort, et c’est une leçon de vie, parce que nous devons profiter la vie et profiter chaque moment, car tous les moments sont uniques. On peut regarder aussi une critique de la classe riche, composée de beaucoup d’ignorants.
Analyse du scénario

État initial : Le film commence avec une scène en noir, dans laquelle Paloma allume une lampe de poche et sa caméra. Paloma est une fille qui veut mourir, elle ne trouve aucun sens à sa vie, et elle ne veut pas devenir un poisson dans un bocal, comme toute sa famille, et la classe haute. Elle a décidé de se suicider le jour de son douzième anniversaire et finir avec sa souffrance. Mme. Michel est la concierge de l’immeuble où habite Paloma, et elle suit parfaitement l’archétype de concierge d’immeuble. C’est là que souvent, Paloma se cache de sa famille, pour trouver un lieu tranquille, où personne ne peut l’ennuyer.

Complications qui apparaissent et leurs conséquences :
La complication qui apparaît et qui va changer l’état initial du film est l’arrivée d’un nouveau voisin, Mr. Ozu. Il est un homme japonais, très intellectuel, et qui s’intéresse aux autres.
Quand il connaît Mme. Michel, elle lui dit une phrase célèbre : “Les familles heureuses se ressemblent toutes”, et elle reste surprise quand Kakuro continue la phrase: “mais les malheureuses le sont chacune à leur façon”.
L’arrivée de Kakuro change la vie de Paloma et de Renée. Il sort avec Renée, et elle s’ouvre au monde, elle “sort de l’intérieur du hérisson”. Mais aussi Paloma s’approche de la concierge, et elle découvre son petit secret: elle est une amante de la littérature, elle a trouvé “la bonne cachette”.

Résolution : Un jour, quand Renée sort dans la rue, elle est renversée par une voiture et elle meurt. Kakuro et Paloma restent complètement épouvantés.

État final : Paloma s’est rendu compte que la vie est très courte, et que la mort « ne pas revoir les personnes qu’on aime » est “la tragédie que l’on dit”. Paloma est prête à vivre. Le film finit avec une scène en noir, après avoir fermé la porte, et Paloma qui dit, que ce qui est important ce n’est pas mourir, mais ce qu’on fait en ce moment-là, et Renée était prête à aimer.

Commentaire critique et opinion personnelle : La fin de ce film est complètement inattendue, on reste complètement étonné. J’ai beaucoup aimé ce film parce que c’est une leçon de vie que nous n’oublierons jamais, et parce que l’intelligence et l’astuce de Paloma attirent l’attention du public. C’est un film vraiment intéressant que je recommanderais à n’importe qui.


Daniel Oliveira Royo 1ºA





ANALYSE DU FILM: “LE HÉRISSON”
RÉALISÉ PAR : Mona Achache
GENRE : Comédie Dramatique
DATE DE SORTIE : 3 juillet 2009
DURÉE : 1 heure et 40 minutes
TYPE DE FILM : Long-métrage
ACTRICES ET ACTEURS PRINCIPAUX :
-Josiane Balasko = Renée Michel
-Garance le Guillermic = Paloma Josse
-Togo Igawa = Kakuro Ozu
-Anne Brochet = Solange Josse
-Wladimir Yordanoff = Paul Josse
-Sarah Le Picard = Colombe Josse
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SYNOPSIS :
QUI ? : Paloma, une petite fille de 11 ans et Madame Michel, une concierge parisienne solitaire et triste.
OÙ ? : Paris, pour être plus précis, dans un immeuble de familles riches.
QUOI ? : Paloma veut se suicider, et au même temps, elle établit une grande amitié avec la concierge et aussi avec monsieur Kakuro Ozu.
COMMENT ? : Paloma veut prendre les médicaments de sa mère, et pendant le film, nous voyons qu’elle les garde dans une boîte.
POURQUOI ? : Parce qu’elle croit que sa vie est absurde.
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ANALYSE DU FILM :
SITUATION INITIALE : Le film commence d’une façon très intéressante, tout est noir et nous ne pouvons rien voir.
Mais soudain, nous entendons un clic, et nous voyons une lampe de poche et une caméra. Puis, apparaît une petite fille, qui se présente et nous dit qu’elle s’appelle Paloma, qu’elle a 11 ans, sa famille est très riche et elle veut se suicider, le 16 juin, car elle croit que sa vie est absurde. Paloma nous fait savoir aussi que seulement manquent 165 jours pour ça.

Après, nous connaissons Jean-Pierre, qui est un ami de Madame Michel, qui est la concierge, et qui en ce moment est en train de lire un de ses plusieurs livres, qui s’appelait « Éloge de l’ombre ». Nous voyons aussi qu’elle aime beaucoup le chocolat noir, parce que dans son réfrigérateur il y a beaucoup de boîtes de chocolat.
Dans cette partie du film, nous écoutons une phrase très importante : « Peu importe à quel l’âge tu meurs, mais ce que tu es en train de faire en ce moment ».
Ce soir, la famille de Paloma, les Josse, avaient un dîner avec les Tibères, tous les gens s’amusent mais Paloma non. Elle est tout les temps avec sa caméra, pour filmer tout ce qui se passe autour d’elle.
Ses parents, montrent la maison à leurs amis, les Tibères, et son père, monsieur Paul Josse, dit que la chambre de Paloma ressemble la caverne de Ali Baba.

COMPLICATIONS QUI APPARAISSEINT : Monsieur Atches meurt et monsieur Kakuro Ozu va habiter chez lui, donc il va être un nouveau voisin de Paloma et des autres habitants de l’immeuble.
Monsieur Kakuro établira une amitié avec Paloma, et elle rentre chez lui pour manger quelque chose. Ce soir là, ils ont parlé sur beaucoup de choses, comme par exemple, le nom des chats de Paloma, « Constitution » et « Parlement ».
Et nous nous rendons compte dans cette conversation, que Paloma ne prend pas du tout la caméra comme avant.
Quand Paloma filmait, elle répétait les phrases de sa mère. Sa mère, Madame Solange Josse, a des problèmes aves les narcotiques et l’alcool, et pour ça, Paloma aura l’avantage de prendre les antidépresseurs de sa mère.
Sa sœur, Mademoiselle Colombe Josse, veut être comme ses parents, et son père, Monsieur Paul Josse, travaille beaucoup et il ne s’intéresse pas aux problèmes de sa famille.
Paloma rentre dans sa chambre, et commence à dessiner sur le mur, des cubes qui représentent les jours qui manquent pour qu’elle se suicide.
Monsieur Kakuro Ozu invite Madame Michel à dîner avec lui le lendemain.

NOUVELLE SITUATION : Madame Michel accepte et pour le dîner, elle sollicite l’aide de son amie, qui lui dit que Renée doit aller chez le coiffeur et qu’elle lui prêtera une robe.
Renée suit les conseils et quand elle sort du coiffeur elle est très belle, ses cheveux sont magnifiques, et avec la robe de son amie, elle est vraiment très jolie !
Après tout ça, Madame Michel rentre chez Monsieur Oku pour dîner. Mais avant qu’ils commencent, elle demande d’aller à la salle de bain.
Cette partie va être très amusante, car comme Monsieur Oku est japonais, il a des coutumes différentes de celles de madame Michel, que quand elle s’assied dans les toilettes, Mozart commence à sonner, et elle trouve sa très humoristique et commence à rire.
Puis, pour sortir de la salle de bain, Renée n’est pas capable d’ouvrir la porte, donc monsieur Oku va l’aider et quand elle sort, elle lui dit qu’elle ne savait pas comment les choses fonctionnaient.
Renée lui dit toute la vérité à monsieur Oku. Que la robe est prêtée, qu’elle est seule depuis longtemps et qu’elle n’est jamais sortie. La nourriture est japonaise, et elle ne savait pas comment manger ça, mais monsieur Oku lui dit, qu’elle doit manger ça avec du bruit.
Quand ils finissent, monsieur Oku l’invite pour le lendemain soir, regarder un film ensemble, et madame Michel accepte.
Pendant ce temps, Paloma, chez elle, commence à essayer de comment elle va se suicider et le soir, elle jette le poisson de sa sœur par le WC. Le lendemain, sa sœur lui demande ce qui s’est passé avec son poisson et Paloma lui dit, qu’elle l’a jetté dans les toilettes, parce qu’il était mort.
Colombe va chez Madame Michel pour lui demander une chose, mais elle ne veut pas l’écouter et elle lui ferme la porte, parce que ce n’était pas 8 heures, que c’est l’heure quand la conciergerie ouvre.
Donc Colombe rentre chez elle, très fâchée, et demande à Paloma de rentrer chez la concierge pour parler avec elle. Paloma fait ça, et quand elle rentre chez Renée, elles commencent à parler sur le chocolat noir.
Après, Paloma et Renée vont ensemble nettoyer la robe. Paloma filme madame Michel et lui dit de parler un petit peu sur elle.
Donc Renée commence à dire qu’elle s’appelle Renée Michel, qu’elle a 54 ans, qu’il y a 27 ans qu’elle travaille dans cet immeuble. Qu’elle n’a pas de mari, parce qu’il est déjà mort. Qu’elle n’a pas étudié et que son mari était un concierge aussi.
En ce moment, nous nous rendons compte qu’elle est une personne très solitaire et triste, car elle dit que la mort d’un concierge, n’a pas la même importance que la mort d’une personne riche, comme par exemple, celle de Pierre Atches et elle s’appelle à lui-même « vieille folle ».
Paloma s’amuse beaucoup ce jour là, et quand elle rentre chez elle, elle commence à dessiner à Madame Michel et aussi à sa grande étagère de livres. Elle a aussi deux petits cahiers, dans l’une d’eux il y a un hérisson et dans l’autre il y a une porte.
Renée rentre chez monsieur Oku pour voir le film japonais, et elle connaît la femme de monsieur Kakuro, qui était déjà morte et qui s’appelait Sanae. Il lui dit que Sanae est morte il y a 10 ans d’un cancer.
SITUATION FINALE :
Paloma décide qu’elle va être aussi concierge, et le dit à la famille quand ils sont en train de manger et le dit aussi à madame Michel.
Monsieur Oku dit à madame Michel qu’il s’est beaucoup amusé le dernier jour et que le lendemain va être son anniversaire et il veut qu’ils aillent dans un restaurant japonais, mais Renée lui dit non, parce que, à son avis ça va être mieux.
Puis, la concierge rentre chez elle, et elle commence à pleurer beaucoup, elle se dit à elle même qu’elle n’a aucune valeur. Paloma qui était avec elle, parle avec madame Michel et elle l’a fait changer d’opinion.
Donc Renée écrit une lettre à monsieur Oku, pour lui dire qu’elle veut dîner avec lui et elle l’a mis dans se boîte.
Après, elle rentre chez elle pour s’habiller et quand elle finit sa douche elle regarde un poisson dans son WC et elle le prend, et le met dans une vase.
Monsieur Oku et madame Michel sortent pour dîner ensemble et Paloma prends plus médicaments de sa mère, et elle les écrase et les met dans une bouteille.
Monsieur Kakuro dit à madame Michel, deux fois qu’ils peuvent devenir amis et tout ce qu’ils veulent. Et la concierge regarde le dessin que Paloma lui fait quand elle rentre chez elle.
Puis, Renée prend un livre et lit en haut le phrase suivante « toutes les familles heureuses se ressemblent, mais toutes les familles tristes le sont chacune à sa manière ». Elle sort de sa maison et elle regarde Jean Pierre qui danse au milieu de la rue, donc pour l’aider elle l’appelle mais en ce moment, une voiture heurte, Renée sans se rendre compte et elle meurt.
Monsieur Oku voit ça et il va le dire à Paloma qui commence à pleurer beaucoup et sort de la maison pour voir madame Michel, mais elle seulement est capable de regarder l’ambulance.
Paloma, très triste va chez la concierge pour prendre le poisson de sa sœur, qui s’appelle Hurbert et rentre chez elle. Puis elle et monsieur Oku vident toute la maison de la concierge et le film finit avec une scène en noir.

COMMENTAIRE PERSONNEL : J’ai beaucoup aimé ce film, parce que c’est une histoire très bonne, avec un peu d’humour mais au même temps triste.
C’est curieux comment l’auteur du film à été capable de commencer et finir le film avec la même scène, tout en noir, mais en situations très différentes.
Les deux phrases citées dans le film, je les ai trouvées très intéressantes, et principalement la première, qui à la fin a changé.
J’ai trouvé Paloma une fille avec beaucoup d’imagination car les noms de ses chats sont très originaux ! (Constitution et Parlement). Et il est important aussi de dire que son père était un politicien !
Je crois que la relation qui a entre le nom du film « le hérisson » et les deux personnages principaux, Paloma et Renée est qu’elles ressemblent à un hérisson. Paloma, parce qu’elle aime se cacher et Renée car, elle ne laisse pas quelqu’un s’approcher d’elle.
Au début, j’ai trouvé Renée une dame triste et invisible, mais avec l’arrivée de monsieur Kakuro, elle laisse d’être invisible, principalement pour lui.
Le premier changement qui a eu lieu dans le film, c’est quand elle s’habille pour sortir avec monsieur Ozu et lui dit toute la vérité. Et aussi, quand Paloma connaît monsieur Kakuro Ozu, elle laisse de prendre la caméra par rapport à l'époque où elle le faisait. La fin est complètement inattendue , à mon avis, parce que, nous pensons que celle qui va mourir va être Paloma, mais celle qui meurt est madame Michel. Avec cette fin je suis restée très choquée et aussi avec une grande tristesse, parce que je n’y attendais pas.
C’est une histoire géniale ! Je la recommande sans aucun doute !

Raquel Boullosa. 1º Bachillerato B

mardi 17 janvier 2012

ALBERT CAMUS


52ème anniversaire de la mort d'Albert Camus, philosophe de l'absurde, et de l'humanisme.
Né le 7 novembre 1913 à Mondovie (Alger), le Prix Nobel de littérature (1957) n'avait que 46 ans quand il a disparu. Le 4 janvier 1960, il meurt dans un accident de voiture, sur une route de l'Yonne près de Sens (France).
Son roman "L'étranger" (1942) est l'objet d'étude en Terminale. Les 19 élèves qui étudient le français en option cette année scolaire ont déjà fait l'analyse de la première partie du roman et en ce moment sont en train de lire la seconde. Pour le moment, on publie quelques examens qui viennent d'être réalisés la semaine dernière dont les résultats ont été variés.


ANALYSE DE LA PREMIÈRE PARTIE DU ROMAN "L'ÉTRANGER" réalisé par Mariana Lima. 2º Bachillerato B

Le roman qu'on est en train de lire fut écrit par Albert Camus en 1942. Dans la première partie du roman on connait le protagoniste, Mersault, qui est aussi le narrateur de l'histoire, un simple employé de bureau qui travaille à Alger et qui suit toujours la même routine, de façon automatique. Le récit commence avec la mort de Mme. Mersault, sa mère, à l'asile où elle habitait depuis quelques années. Mersault demande quelques jours de congé et il y va pour la veiller et aller à son enterrement.Dans cette situation qui sort de sa routine, on trouve un homme qui suit les rituels normaux et qui pense et réagit toujours de façon automatique, sans volonté propre. La chaleur y est présente et ça va être un élément de grande importance pour le déroulement de l'histoire. Mersault continue sa vie normale,content de récupérer sa routine,une fois rentré à Alger.Au port il rencontre une ancienne dactylo de son bureau, Marie Cardona,avec qui il va au cinéma et ils font l'amour comme si rien n'était changé dans sa vie, malgré la mort de sa mère. L'attiude de Mersault continue à être la même attitude d'indifférence envers tout son entourage, enevers les sentiments, envres Marie. Deux autres personnages apparaîssent après Marie et son patron: ses deux voisins. D'un côté, il y a le vieux Salamano qui vit avec un chien qu'il déteste, mais il s'est habitué à lui et quand le chien s'échappera ce sera un grand changement dans sa vie et il en souffrira.De l'autre côté, il y a Raymond Sintès, qui, dès son apparition, on a l'impression que quelque chose va changer. Raymond est un maquereau, un homme violent qui cherche la complicité de Mersault dans une de ses bagarres. Mersault se montre comme d'habitude indifférent et aide Raymond à écrire une lettre à son ancienne maîtresse, qu'il a battue.
La vie continue, mais depuis la présence de cette femme et son frère, un Arabe qui a eu une bagarre avec Raymond, les événements se précipitent: quand Mersault va passer le dimanche à la plage avec Raymond et Marie au cabanon de Masson , un ami à Raymond,ils rencontrent les Arabes qui les suivaient(l'un d'eux c'est l'Arabe qvec qui Raymond avait eu la bagarre) et la journée qui avait commencé d'une façon agréable, va se dérouler de manière surprenante. Raymond provoque l'Arabe et il est blessé. Mersault le convainc de lui donner son revolver et quand tout semble plus cakme, Mersault décide de retourner à la plage et il rencontre de nouveau l'Arabe.
Le soleil et la chaleur, décrits comme insuportables, jouent un rôle essentiels. Mersault, confus et fatigué, finit par tirer sur l'Arabe, une réaction mécanique. En ce moment il prend conscience de ce qu'il a fait et pour la première fois il prend le contrôle de soi même et tire encore quatre coups sur le corps inerte de l'Arabe, furieux de ne pas s'être contrôlé et conscient de que ça signifie un grand changement et l'entrée du malheur dans sa monotone et satisfaisante vie.
Mersault montre jusqu'à ce moment une immense indifférence envers tout ce qui se passe; des phrases et des expressions comme "ça m'est égal" sont fréquentes chez lui. L'explication la plus sincère qu'on trouve sur ce type de comportement que les autres classifient comme peu ambitieux, a lieu pendant une conversation avec son patron, lorsque celui-ci lui fait la proposition d'avoir un bon travail à Paris, il explique que ça, c'est égal car "on ne change jamais de vie" et il dit que depuis qu'il a dû abandonner ses études, il n'a plus de rêves ni d'ambitions d'aller plus loin ou d'améliorer sa vie. Pourtant, c'est impressionant la froideur du protagoniste en situations comme quand il dit à Marie avec une honnêteté brutale, qu'il ne l'aime pas mais qu'ils peuvent se marier, si elle veut; ce type de situations se répètent constamment et par rapport à tous les gens avec qui Mersault communique, et cette caractéristique est très bien exprimée dans l'écriture. Camus écrit d'une manière désincarnée, directe, honnête, avec une simplicité qui choque le lecteur, une indifférence immense; il met très peu d'adjectifs et sentiments, et la plupart des cas, il se limite seulement à décrire exactement la manière comment l'action se déroule, sans rien dire de plus.
Par rapport aussi à l'écriture, il utilise normalement le passé composé, en décrivant exclusivement les faits dans son écriture simple et précise, et c'est impressionnant comment,d'une façon si simple, sans de grands trucs littéraires, on est engagés et intrigués par ce personnage froid et insensible.
La première partie de ce roman nous montre comment la vie d'un homme simple, apparemment content, qui aime sa routine et qui ne s'engage jamais à rien, peut changer par l'action de ce qui est inattendu et des agents externes sur lesquels il n'a aucune influence. Cela nous oblige à réfléchir: est-ce qu'on est contrôlés par le destin?; est-ce qu'on est conditionnés par la société, par notre entourage, et qu'on ne peut rien faire pour le changer?
Je trouve très intéressant de finir cette première partie du livre avec des événements si inattendus et qui provoquent finalement une reflexion chez Mersault. On suppose que la deuxième partie du livre représentera la prise de conscience de Mersault des conséquences de ses actions, l'obligation de s'engager, de faire attention, de ne plus rester à côté de ce qui se passe parce que, cette fois-ci, il sera obligé de devenir responsable de ses actions. La deuxième partie est, ainsi, fondamentale pour mieux comprendre l'histoire de Mersault, ses attitudes et les changements qui, sans doute, auront lieu.


Analyse réalisée par Elena Holvikivi. 2º Bachillerato B


L´ Étranger est un roman d’ Albert Camus dont sa date de parution est 1942. L´histoire traite sur la vie de Meursault qui est un employé de bureau à Alger. Le roman a deux parties, la première est écrite sous la forme d´un journal et la deuxième partie sera un récit rétrospectif .
Le récit commence avec la nouvelle que la mère de Meursault était morte à travers un télégramme. Il prend le bus pour aller à l´asile. Là, il parle avec le directeur et reste là jusqu´au lendemain. Le lendemain, il y a des rituels funéraires qu´il ne peut pas comprendre car il pense que les gens (vieux) sont là pour le juger. Il est dehors de sa routine et quand il retourne chez lui, il est soulagé. Il retourne à son travail, à sa vie quotidienne et un jour quand il décide de se baigner il trouve Marie Cardona (une ancienne employée de son bureau).

À partir de ce moment, ils ont une relation amoureuse. Comme il retourne à sa vie quotidienne et à sa routine, il retrouve son voisin Salamano qui a un chien et ils parlent de leur voisin Raymond. Meursault décide d´aider Raymond qui avait eu une bagarre avec le frère de sa maîtresse.
Pendant le weekend, il fait sa vie mais il y a des évènements qui peuvent changer sa vie, comme la proposition de travail à Paris (manque d´ambition) ou la proposition de mariage de Marie Cardona ( "ça me fait égal" ). Il montre une indifférence envers les autres et aussi sa vie (manque de sens). Le weekend est arrivé et Meursault ,avec Marie, vont chez les amis de Raymond pour passer ensemble toute la journée là. Il y a une tragédie, Meursault tue un des Arabes qui avaient suivi Raymond par vengeance. C´est la fin de la première partie où la fatalité et le hasard se sont installés. C´est le début de la transition de la deuxième partie.

Le personnage principal du livre est Meursault. Il vit à Alger et il est un employé de bureau. Au début du récit, on peut remarquer que Meursault est une personne très directe, distante, froide mais surtout sincère. Socialement, il montre une indifférence envers les autres par exemple, la mort de sa mère ( il ne montre aucune émotion), la proposition de mariage de Marie Cardona (pour lui c´est égal) ou la proposition de travail faite par son patron ( manque d´ambition et absence de futur). Dans les rituels funéraires ( la mort de sa mère) il reste à côté comme un étranger, donc il ne comprend pas le sens de la tradition. La raison de son attitude , l´indifférence envers les autres c´est parce que l´ennui, la monotonie, la routine et la quotidienneté dominent sa vie. C´est le monde mécanique, il est dominé par le mécanique, c´est à dire , il vit dans l´instant et pour ça il fait les choses automatiquement , sans y penser. Un autre élément qui le caractérise est sa totale sincérité.

Les autres personnages du livre «les autres» interviennent dans sa vie et peut-être changeront le cours de la vie de Meursault mais il ne laisse pas car il est très mécanique et lui manque de sens de sa vie. Marie est son amour, peut-être, on ne sait pas exactement car on peut déduire par son attitude qu’elle est un besoin primaire plus, comme le fait de fumer ou manger. Raymond, son "copain" selon Raymond, Meursault ne montre aucune émotion d´amitié vraie. Finalement, son autre voisin, Salamano qui est un vieux peut-être représente la morale (le cas de la perte de son chien, qu´on donne valeur aux choses une fois que nous les avons perdues).
Le narrateur du roman, est Meursault, à la première personne. Ça permet que le lecteur puisse connaître sa véritable personnalité (attitude) et ses sentiments. La première partie est narrée en style d´un journal intime et la deuxième partie, aura un caractère rétrospectif.
Les temps verbaux les plus utilisés sont le passé composé pour donner au roman un caractère fort et pour donner un sens de manque de temps: ni présent ni futur.
Par rapport à la manière d´écrire, le livre a une écriture désincarnée pour que le lecteur s´identifie et comprenne sa personnalité. Par exemple, du début du récit on peut remarquer quel type de personne est Meursault. L´auteur utilise un langage simple et des mots forts et intenses.
De la situation de départ à la situation d´arrivée, les choses ont beaucoup changé car au début on introduit les personnages et on nous fait voir que la vie de Mersault est normale (routine) jusqu´à la fin de la première partie, car avec le désastre ( le meurtre ) la fatalité et le hasard se sont installés. Ça a changé complètement le cours de sa vie vers le malheur de son destin.
Mon opinion sur la première partie du livre est très bonne, j´ai beaucoup aimé car l´histoire et Meursault ont du mystère et quand le récit avance on découvre plus de détails. J´ai très envie de lire la deuxième partie pour savoir ce qui se passera.

Analyse réalisée par María Rodriguez Veloso. 2º Bachillerato B


Ce roman, L’étranger, est écrit par l’auteur Albert Camus et publié en 1942.
Le roman raconte l’histoire de Mr. Meursault, le personnage principal, sa vie quotidienne et monotone. Elle est une personne sans opinion, tout va bien est bien pour lui, quand sa routine n’est pas touchée. L’histoire commence avec la nouvelle que sa mère est morte et qu’il doit aller à l’asile où elle se trouvait, à Marengo. Pendant le chemin, il a l’idée de voir sa mère une dernière fois, d’être avec elle, mais quand il y arrive, il change d’idée et il décide de ne pas voir sa mère dans la bière. Pendant la journée qu’il est là, il ne pleure pas et il regarde toutes les personnes comme si elles étaient là pour le juger. Pendant l’enterrement avec la chaleur qu’il faisait là, la seule chose qu’il voulait c’était retourner à Alger. Déjà à la maison, il commence à penser à sa mère mais on peut voir qu’à la fin tout est égal pour lui, et il veut ça. Un jour qu’il va au port, il rencontre une ancienne collègue de travail, Marie Cardona, qui après avoir passé la nuit chez lui, deviendra son amante. Elle est une femme amusante qui aime Meursault.
Au travail, il continue sans donner aucune importante à ce qui se passe autour de lui. Une chose dont il se rend compte, c’est qu’il ne sait pas beaucoup de sa mère, par exemple, l’âge qu’elle avait, et pour ça, il évite d’en parler.
À l’édifice où il habite, il connait deux voisins qui sont le vieil Salamano qui habite avec son chien depuis huit ans et Raymond, qui est un magasinier. Sur le vieil Salamano, le narrateur, nous raconte qu’il est toujours en hurlant avec le chien et qu’ils se détestent mutuellement, mais qu’à la fin, le chien s’échappera à la première occasion qu’il rencontrera dans une promenade de routine qu’ils font comme d’habitude. L’autre c’est Raymond, qui deviendra son ami, après qu’il lui demande d’aider pour écrire une lettre à la maîtresse qu’il veut punir. Comme tout est égale pour Meursault, il accepte de l’aider. Le plan de Raymond est de se coucher avec elle et un peu avant de finir l’acte ,la cracher, mais quand il met son plan à fonctionner, il finit par frapper la femme et ce sera Meursault qui l’aidera à s’échapper de cette affaire quand la police entre dans l’histoire et elle l’accuse de la frapper. Meursault fera de témoin de Raymond en altérant la vraie histoire de ce qui s’est passé.
Marie continue sa relation amoureuse avec Meursault et elle lui dit qu’elle l’aime mais quand elle lui demande s’il l’aime, il lui di que ça n’a pas d’importance, mais que la réponse est non. Pendant la première partie du livre il lui dit ça deux fois. Dans cette situation, nous pouvons voir l’attitude d’indifférence en rapport à sa vie. Nous pouvons voir ça aussi quand son patron lui propose d’aller travailler á Paris, et il refuse parce qu’il n’a pas d’ambition et il veut continuer avec sa vie comme il a fait pendant les derniers ans.
Tout va changer quand Raymond les invite, Meursault et Marie, à aller passer la journée chez son ami. Quand ils sont en train de prendre le bus, Raymond raconte à Meursault que le frère de son ancienne maîtresse est là et qu’il l’a suivi les derniers jours.
Après avoir passé quelques temps à la plage et d’avoir déjeuné, les trois hommes décident d’aller se promener sur la plage. Là ils trouvent l’Arabe, le frère de l’ancienne maîtresse, avec un autre homme. Raymond distribue les rôles pour la bagarre qui va se passer. Pendant la bagarre entre Raymond et l’Arabe, ce dernier sort son couteau pour se défendre de Raymond et le blesse. Raymond a besoin d’aller chez le médecin. Quand Raymond décide d’aller se promener une autre fois, Meursault l’accompagne et ils rencontrent une autre fois l’Arabe et son copain mais rien ne se passe. Sans savoir pourquoi, Meursault qui a déjà le revolver que Raymond lui a donné, retourne de nouveau à la plage, cette fois, seul. Meursault est très touché avec la chaleur et le sel de la mer, et pour se protéger du soleil, dans un acte involontaire et un peu stupide, il avance d’un pas. Ce sera le dénouement de toute la situation qui aura lieu. Avec ce mouvement, l’Arabe sort de nouveau son couteau pour l’attaquer et Meursault sans y penser, le descend. Après ce coup, fait, de certaine manière, sans penser à ce qu’il avait fait, il tire quatre coups sur le corps qui était tombé.
Le narrateur de ce roman est le personnage principal, Mr. Meursault, qui à travers ce qu’il pense il nous raconte ce qui se passe et ce qui s’est passé. Les temps verbaux qu’il utilise le plus sont le passé composé et l’imparfait, les temps du passé. Le livre a une écriture très simple à comprendre, sans beaucoup de mots difficiles.
Cette première partie du livre est très intéressant, surtout le chapitre six qui va changer toute l’histoire pour la faire plus intéressante encore. L’histoire pouvait terminer avec ce chapitre, mais je crois que ce ne serait pas si intéressant.
À mon avis, l’attitude du personnage, d’indifférence, n’a pas une explication concrète, mais c’est la personne qui décide de vivre avec cette attitude, sans aucune ambition.

LE PETIT PRINCE. UNE NOUVELLE LECTURE, UN NOUVEAU REGARD

Le petit prince n’est pas un ouvrage dédié aux enfants. Comme Antoine de Saint-Exupéry dit au début de son livre « Je demande pardon aux enfants d’avoir dédié ce livre à une grande personne. J’ai une excuse sérieuse : cette grande personne est le meilleur ami que j’ai au monde ». Bien que cet ouvrage ait un langage très simple et dépouillé, chaque mot est couvert d’une subjectivité digne d’être analysée. C’est pour ça que « le petit prince» est classé comme un conte poétique et humaniste lequel a un sens moral profond dedans la fantaisie.
L’histoire commence avec une explication du narrateur, qui nous raconte que quand il était petit tout le monde critiquait ses dessins. C’est pour ça qu’il a rejeté l’idée de devenir un peintre et il nous dit qu’il décida d’être pilot. Il nous raconte aussi que pendant un des ses voyages il tomba dans le désert Sahara. Pendant qu’il est en train de réparer son avion, il écoute quelqu’un qui lui demande de dessiner un mouton. Il se rend compte que la voix venait d’une petite personne : le Petit Prince. Au début il refuse de le faire, mais à la fin, après avoir dessiné trois moutons que le Petit Prince n’a pas aimé, il dessine une boîte. C’est très curieux ce dessin, et on peut l’analyser : le narrateur veut montrer avec se boîte que la vertu est toujours dans l’intérieur. Après le Petit Prince parle de sa planète et les autres qu’il a visité. Au début le Petite Prince était une personne très naïve, mais dans sa planète il a appris à se méfier des autres. Il nous raconte l’histoire de la fleur qu’il aimait, mais qui l’a menti. Il s’est senti très mécontent avec la fleur, mais il l’aimait. La fleur qui était très orgueilleuse, lui a dit de partir, et le Petit Prince commence son voyage.
Chaque planète représente des défauts des adultes comme l’autorité, la vanité, l’ambition et l’orgueil lesquels sont critiqués férocement. La première planète que le Petit Prince visite est habitée par un roi qui seulement savait donner des ordres sans raison. La seconde planète était habitée par un vaniteux, qui voulait que tout le monde l’applaudisse. La planète suivante était habitée par un buveur, une visite très courte mais qui plongea le petit prince dans une grande mélancolie. La quatrième planète était habitée par un businessman qui ne faisait rien que travailler. Et finalement, les deux planètes suivantes étaient habitées par un allumeur de réverbères et un ancien géographe. Quand le petit prince quitté les planètes il disait toujours « Les grandes personnes bien étranges, bizarres, ou quand même, elles sont décidément tout à fait bizarres ». Ça nous fait réfléchir à combien les adultes sont ridicules. Dans chaque planète il y a une morale qu’on apprend à partir des actes absurdes de chaque personnage. Tous les personnages partagent l’idée de l’égoïsme humain et la capacité d’agir sans raison ou sans un sens réel, et le fait d’être limités à leur fonction sans se demander le pourquoi et le comment de le faire. Ils ne vivent pas vraiment comme les gens, ils sont des automates et pour ça ils ne sont pas heureux. Les personnages vivent toujours inquiets et occupés, mais ils ne trouvent pas une vraie mission.
Quand le petit prince retourne chez sa planète il atterrit en Afrique et il parle avec un serpent lequel lui dit qu’il est plus puissant que le doigt d’un roi et énigmatique parce qu’il résout tous les énigmes. Après le petit prince croise le désert et il trouve seulement une fleur de trois pétales qui lui dit qu’il y a seulement six ou sept hommes sans racines et qui sont toujours portés par le vent.
À la fin le petit prince découvre une route et il trouve un jardin de roses. Il se rend compte qu’elles sont semblables à sa fleur, et en ce temps-là il s’éprouve malheureux parce que sa rose lui a dit qu’elle était l’unique rose de l’univers.
Tout à coup, il rencontre un renard, et le petit prince lui demande s’il veut jouer avec lui. Pourtant, le renard lui dit qu’il ne peut pas parce qu’il n’est pas apprivoisé, et être apprivoisé signifie avoir des liens. Ce personnage montre au petit prince l’importance d’être unique et nécessaire pour quelqu’un et que « l´essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien qu´avec le cœur ». Le renard c’est un personnage compréhensif, sincère et affectueux, il connaît l’être humain. Le petit prince apprendra que l’amour qui se crée à partir des liens plus tard entrainera de la douleur, mais il est nécessaire pour être heureux.
Le huitième jour arrive, et le pilote et le petit prince cherchent une fontaine pour boire. Le pilote, qui représente l’auteur du livre, est un homme flexible, persévérant, qui écoute les enseignements du petit prince.
À la fin le petit prince retourne à sa planète grâce à l’aide du serpent qui l’a mordu. Mais le petit prince laisse un cadeau au pilote : quand il regardera les étoiles il se souviendra du petit prince parce qu’il sera présent en elles.
Mais la fin peut être interprétée de plusieurs manières. Je l’interprète comme un suicide du petit prince, puisque il ne peut pas accompagner le pilote au monde des adultes au moins physiquement, mais il l’ accompagne dans son cœur. Le petit prince représente l’enfant que le pilote a été et qu’il a oublié parce qu’il a dû s’adapter au compliqué monde des adultes, c’est pour ça que le petit prince c’est la seule personne qui comprend les dessins du pilote. C'est-à-dire, l’histoire représente le rencontre entre le pilote, son innocence et ses rêves perdus. C’est pour ça que quand l’avion est prêt, le petit prince disparait.
Dans cet ouvrage le petit prince se demande le sens des actions des adultes, lesquelles il ne comprend pas, mais à travers ses actions il se rend compte des choses simples qui existent comme l’amour qu’il a pour sa rose. Ce livre nous fait réfléchir à ce qu’on ne doit pas faire des actions seulement pour le faire, et qu’on doit faire des choses qui aient de sens pour savoir profiter de la vie : dans notre planète il y a beaucoup de choses qu’on peut admirer et aimer.

Ana Belén Gomes Paz 2ºBachillerato
AImage du Blog franieblues.centerblog.net
Source : franieblues.centerblog.net sur centerblog.